La Suisse expliquée aux nouveaux résidents
Résumé
Les étrangers qui choisissent de résider en Suisse s'attendent, pour la plupart, à trouver un pays original mais ils ne tardent pas à rencontrer des particularités inattendues. Ils doivent revoir beaucoup d'idées préconçues ou simplistes et se méfier de leurs premières impressions trop influencées par le microcosme géographique et professionnel dans lequel ils s'insèrent. Francis Léonard leur apporte des clés pour comprendre la culture helvétique. La douzaine de thèmes qu'il examine correspond aux éclairages qu'il aurait aimé trouver lui-même - mais qui lui ont manqué - pendant ses premières années dans ce pays si singulier. L'ouvrage se termine par des données et des réflexions sur la Suisse comme pays d'accueil avec l'intégration comme thème central.
Lu par :
Isabelle Chabanel
Genre littéraire:
Société/économie/politique
Durée:
5h. 20min.
Édition:
Gollion, Infolio, 2014
Numéro du livre:
20730
Produit par:
Bibliothèque Sonore Romande
ISBN:
9782884749466
CDU:
32(494)
Documents similaires
Lu par : Isabelle Chabanel
Durée : 1h. 44min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 16819
Résumé:Les jeunes seront toujours davantage impliqués dans de multiples relations interculturelles auxquelles ils doivent être bien préparés. Francis Léonard explique à ses petits-enfants adolescents pourquoi et comment les humains sont à la fois semblables et différents dans leur manière de penser, de ressentir, de se comporter. Dès lors, comment profiter de la richesse de cette mixité croissante ? Comment réduire les risques d'incompréhension réciproque ? Tout en dialoguant, l'auteur traite, entre autres, des effets des différences culturelles en fonction des personnes, de leur distance culturelle et cultuelle, des situations, du milieu et du contexte.
Lu par : Suzanne Lilla
Durée : 4h. 20min.
Genre littéraire : Psychologie/médecine
Numéro du livre : 13422
Résumé:Quatrième de couverture : Y a-t-il un âge pour être heureux, pour ressentir et vivre le bonheur ? La réponse de l'auteur est claire : le bonheur n'a pas d'âge. Bien au contraire : le sentiment de vivre une vie épanouie, d'être conscient de l'importance de l'instant et de ses possibilités d'épanouissement croît souvent au fil des ans. Le bonheur est donc un état qui se cultive, comme le rappelle Francis Léonard....
Lu par : Isabelle Chabanel
Durée : 4h. 13min.
Genre littéraire : Psychologie/médecine
Numéro du livre : 16356
Résumé:Accéder au troisième âge est un privilège qui ne se limite pas aux années supplémentaires qui nous sont offertes. [...] Les textes présentés ici revalorisent l'âge, relativisent certaines de ses misères et rappellent des côtés gratifiants de la vie qui restent vivaces. Ils nous parlent des principaux moyens dont nous disposons pour exercer un certain pouvoir sur le cours des choses. Ils nous invitent à rééquilibrer toute vision exagérément critique de notre condition. En dernière partie, l'auteur propose de multiples manières concrètes de penser et d'agir pour vieillir sans devenir vieux, pour faire de la retraite un temps fort - le temps fort ? - de notre vie.
Générations barrages: la place des hommes dans les sociétés alpines au XXe siècle
Vouilloz Burnier, Marie-France
Lu par : Francine Crettaz
Durée : 11h. 36min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 66097
Résumé:Ce livre traite de la vie des hommes dans la vallée d’Hérémence et vient,10 ans après, compléter le point de vue féminin du livre «A l’ombre de la Dixence. Vie quotidienne des femmes dans l’arc alpin». Au début des années 2000, la Société Patrimoine Hérémence a pris le parti d’évoquer le destin des femmes de la vallée d’Hérémence dans le livre «A l’ombre de la Dixence». «Générations barrages» traité sous l’angle masculin, interroge les hommes sur la représentation qu’ils se font de leur rôle, de leur statut, de leur pouvoir et de leur insertion sociale. Ces témoignages permettent de comprendre cette société alpine, d’analyser les relations tissées entre femmes et hommes à l’époque de la construction des grands barrages. Le point de vue masculin, sous forme d’entretiens, permet d’explorer et de compléter la compréhension de cette société alpine sur les dimensions suivantes : • l’accès au savoir • la division du travail • la famille • la vie publique et associative • le travail manuel et le travail intellectuel La réflexion menée sur ces différentes dimensions permet de montrer si le début du salariat commence dans cette vallée avec la construction des barrages, comment l’artisanat participe à l’économie agro-pastorale et où se situe le début d’une économie de marché dans la vallée d’Hérémence.
Lu par : Anne-Lise Zambelli-Blanc
Durée : 11h. 58min.
Genre littéraire : Histoire/géographie
Numéro du livre : 13018
Résumé:Présentation de l'éditeur : La Suisse ? Harmonie de maisons au permanent souci de propreté ? Harmonie d'une circulation réglée sans heurts ? Harmonie aimable des paysages de lacs et de montagnes ? Harmonie paisible des visages des gens qui affirment n'avoir jamais cherché à changer la face du monde, aussi fiers de leur chocolat qu'attachés à une armée de nos jours inutile quand on est neutre ? Tout en Suisse est beau... Etait beau, car il est définitivement obsolète le cliché pour dépliants touristiques. Ce livre, d'un journaliste français qui a vécu en Suisse pendant plus de quatre décennies, est un douloureux faire-part, fruit de solides investigations, d'observations quotidiennes, à l'intention d'une nation qui n'a pas su prendre le virage du XXIe siècle et qui, par ses archaïsmes, son repli sur soi, son refus de s'intégrer dans l'Europe en devenir, glisse insensiblement mais inéluctablement vers la médiocrité, avant d'être peut-être condamnée à disparaître. Faillites... Scandales à répétition... Mensonges et malversations de politiciens sans envergure... Argent sale protégé... Chômage en hausse... Croissance nulle... Hôtellerie vieillotte en chute libre... Extrême-droite de plus en plus majoritaire dans une population où le " chacun pour soi " est devenu la règle... l'image trompeuse d'une Suisse, îlot de bonheur égaré au coeur de l'Europe, est définitivement ternie. La Suisse deviendra-t-elle, comme le pressentait il y a cinquante ans le romancier vaudois C. F. Ramuz, " un peuple de portiers d'hôtels " ...
Lu par : Thérèse Fontaine
Durée : 5h. 8min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 71485
Résumé:Des années durant, l’écrivain Yves Pagès a glané toutes sortes de statistiques, notant dans un carnet des centaines de pourcentages. De ce vertigineux inventaire, il a fait un livre étrange qui, entre jeu littéraire à la Raymond Queneau et réflexions philosophiques à la Theodor Adorno, reconstitue par fragments le tableau d’une société infestée par une vision comptable du monde. Difficile de rompre la glace du monstre statistique, d’échapper à ses ordres de grandeur qui prétendent tout recenser de nos faits et gestes, quantifier nos opinions, mettre en coupe réglée nos vies matérielles. Sous emprise comptable, chacun se sent casé d’office, sondé de bas en haut, pris au piège. Mais alors, comment nous soustraire au grand dénombrement ? Sans prétention d’exhaustivité, l’auteur se propose de passer ces données brutes au tamis de rêveries interprétatives, pour traquer leurs failles implicites ou les confronter à d’autres cas de figure. À la logique de la quantification de toutes choses, il oppose, par collage, accumulation et divagation, une poétique de l’absurde. Par-delà cet art du détournement stylistique, il nous livre en pointillé une analyse caustique de la condition des vivants à l’ère de la gouvernance par les nombres, agrémentée de quelques suggestions paradoxales pour passer entre les mailles du filet statistique.
Lu par : Véronique Pinquié
Durée : 3h. 48min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 68563
Résumé:"C'est l'histoire de petits lynchages ordinaires, qui finissent par envahir notre intimité, assigner nos identités, et censurer nos échanges démocratiques. Une peste de la sensibilité. Chaque jour, un groupe, une minorité, un individu érigé en représentant d'une cause, exige, menace, et fait plier. Au Canada, des étudiants exigent la suppression d'un cours de yoga pour ne pas risquer de "s'approprier" la culture indienne. Aux Etats-Unis, la chasse aux sorcière traque les menus asiatiques dans les cantines et l'enseignement des grandes oeuvres classiques, jugées choquantes et normatives, de Flaubert à Dostoïevski. Des étudiants s'offusquent à la moindre contradiction, qu'ils considèrent comme des "micros-agression" , au point d'exiger des "safe space". Où l'on apprend en réalité à fuir l'altérité et le débat. Selon l'origine géographique ou sociale, selon le genre et la couleur de peau, selon son histoire personnelle, la parole est confisquée. Une intimidation qui va jusqu'à la suppression d'aides à la création et au renvoi de professeurs. La France croyait résister à cette injonction, mais là aussi, des groupes tentent d'interdire des expositions ou des pièces de théâtre... souvent antiracistes ! La police de la culture tourne à la police de la pensée. Le procès en "offense" s'est ainsi répandu de façon fulgurante. "L'appropriation culturelle" est le nouveau blasphème qui ne connaît qu'une religion : celle des "origines"." C. F. Sans jamais vouloir revenir à l'ancien temps, Caroline Fourest trace ici une voie authentiquement féministe et antiraciste, universaliste, qui permet de distinguer le pillage de l'hommage culturel.
Reprise: De Sarajevo à Srebrenica vingt ans plus tard. Réponses à L’Âge d’Homme et à Peter Handke
Laplace, Yves
Lu par : Jean Frey
Durée : 9h. 32min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 32528
Résumé:Ce livre regroupe deux essais parus auparavant: L'Âge d'homme en Bosnie, petit guide d'une nausée suisse (éditions d'en bas, 1997) et Considérations salutaires sur le désastre de Srebrenica (éditions du Seuil, 1998, épuisé). Le premier essai interroge « le sens donné par une escouade d'assassins à certains mots (en l'occurrence et parmi d'autres: le sang, la pureté, l'ethnie, le peuple, le patriotisme, la nation, l'origine, la religion) et qui s'impose à certains écrivains et à leur éditeur », notamment une trentaine d'écrivains publiés par Vladimir Dimtrijevic fondateur de L'Âge d'Homme. Le deuxième essai d'après-guerre répond aux déambulations de l'écrivain Peter Handke chez les Serbes et à ses divagations dans la guerre de Bosnie (1992-1995) que rapporte notamment un Voyage hivernal tissé de nuit, de brouillard et de neige, dont la publication suscita une vive polémique en Europe. On y trouvera, en outre, une relation sur les tremblements de terre de Lisbonne (le 1er novembre 1755), d'Annecy (le 15 juillet 1996) et des Balkans... Ainsi que d'autres considérations salutaires sur l'autorité et sa trahison; sur le président Karadzic, le général Mladic et leurs agents littéraires en France...
Lu par : Jean-Marc Tourancheau
Durée : 10h. 51min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 68706
Résumé:Macron et les Gilets jaunes ont ouvert une page nouvelle de l'histoire de France, qui mêle retour des luttes sociales et apathie politique, sursaut révolutionnaire et résignation devant les dégâts de l'euro, regain démocratique et menace autoritaire. Pour la comprendre, Emmanuel Todd examine, scrupuleusement et sans a priori, l'évolution rapide de notre société depuis le début des années 1990 : démographie, inégalités, niveau de vie, structure de classe, performance éducative, place des femmes, immigration, religion, suicide, consommation d'antidépresseurs, etc. Les faits surprendront. Les interprétations que propose l'auteur doivent, quant à elles, beaucoup à Marx, mais à un Marx mis "sous surveillance statistique". A gauche, comme à droite, elles paraîtront à beaucoup étonnantes, amusantes, contrariantes, ou angoissantes. Cet empirisme sans concession conduit même Emmanuel Todd à réviser radicalement certaines de ses analyses antérieures. A la lecture de ce livre riche, stimulant, provocateur, la vie politique des années 1992-2019 prend tout son sens : une longue comédie politique où s'invitent les classes sociales. Bienvenue donc dans cette France du XXIe siècle, paralysée mais vivante, où se côtoient et s'affrontent des dominés qui se croient dominants, des étatistes qui se croient libéraux, des individus égarés qui célèbrent encore l'individu-roi, avant l'inéluctable retour de la lutte des classes.
Lu par : Richard Lemal
Durée : 8h. 17min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 70664
Résumé:Les philosophes ont la chance d’avoir Minerve pour déesse protectrice. Sa chouette prend son vol au crépuscule. Heureuse coïncidence, c’est là où j’en suis. Ce volatile, juste avant la nuit, nous prête sa vue plongeante sur l’enfilade des hasards qui nous a fait grandir. On peut alors rembobiner le film et discerner comme une courbe reliant nos saisons l’une à l’autre. Pardon pour l’outrecuidance mais il m’a semblé que la parabole d’un « intellectuel » français, ayant connu plus d’un pays et quelques écarts de conduite, pouvait, comme un document parmi d’autres, contribuer à la cartographie d’une époque très bousculée et encore un peu floue. Régis Debray
Lu par : Marie-Anne Guilloré
Durée : 7h. 12min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 71022
Résumé:L'auteur retrace l'histoire de la télévision en Espagne depuis les premières diffusions, au cours de l'année 1956. Apparu dans un pays plongé dans la dictature franquiste, ce média a été un témoin et un acteur de la transition démocratique puis de la consolidation des nouvelles institutions, accompagnant l'émergence d'une culture globale et le développement d'un imaginaire collectif.
Lu par : Annette Charron
Durée : 7h. 12min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 71109
Résumé:A partir d'archives et d'entretiens avec des acteurs centraux, l'auteur décrit le fonctionnement passé et présent de France Inter et explique comment elle est devenue un pouvoir culturel et politique au sein de la société médiatique. Il évoque les émissions emblématiques, les figures clés de la radio comme R. Dhordain, son premier directeur, l'évolution des programmes ou les crises internes.