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Petite histoire du baiser

Résumé
"Alexandre Arribas a du embrasser beaucoup et fort bien pour nous parler aussi délicieusement du baiser. Sous le geste instinctif, derrière l'élan sensuel, il découvre une richesse insoupçonnée. Prenant le lecteur par la main, il l'invite à découvrir le baiser dans tous ses états : amoureux, mystique, d'allégeance, le baiser du poète, le baiser de judas, le baiser de pénitence et tant d'autres... D'émerveillements en découvertes, de digressions en clins d'oeils, il explore les mille et une façons et raisons d'embrasser. Saviez-vous que tout commence alors que le foetus est à peine une ébauche ? Ce qui n'est pas encore une bouche se colle obstinément à la paroi utérine et apprend à reconnaître le corps de l'autre en le goûtant. L'enfant naît, les mois passent, le bébé glisse sa langue entre ses dents et découvre la saveur salée de sa mère. Ainsi advient le baiser savoureux, ainsi naît le plaisir. Et puisque plaisir et tendresse se confondent, nous voilà au seuil du baiser aimant. Lorsque les lèvres ne chercheront plus seulement à se nourrir, lorsque le plaisir sera désiré pour lui seul, alors viendra l'érotisme..."
Durée: 2h.
Édition: Paris, N. Philippe, 2003
Numéro du livre: 12601
ISBN: 9782748800548
CDU: 390

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Résumé:Toutes les sociétés humaines ont besoin de justifier leurs inégalités : il faut leur trouver des raisons, faute de quoi c'est l'ensemble de l'édifice politique et social qui menace de s'effondrer. Les idéologies du passé, si on les étudie de près, ne sont à cet égard pas toujours plus folles que celles du présent. C'est en montrant la multiplicité des trajectoires et des bifurcations possibles que l'on peut interroger les fondements de nos propres institutions et envisager les conditions de leur transformation. A partir de données comparatives d'une ampleur et d'une profondeur inédites, ce livre retrace dans une perspective tout à la fois économique, sociale, intellectuelle et politique l'histoire et le devenir des régimes inégalitaires, depuis les sociétés tri-fonctionnelles et esclavagistes anciennes jusqu'aux sociétés post-coloniales et hypercapitalistes modernes, en passant par les sociétés propriétaristes, coloniales, communistes et sociales-démocrates. A l'encontre du récit hyperinégalitaire qui s'est imposé depuis les années 1980-1990, il montre que c'est le combat pour l'égalité et l'éducation, et non pas la sacralisation de la propriété, qui a permis le développement économique et le progrès humain. En s'appuyant sur les leçons de l'histoire globale, il est possible de rompre avec le fatalisme qui nourrit les dérives identitaires actuelles et d'imaginer un socialisme participatif pour le XXIe siècle : un nouvel horizon égalitaire à visée universelle, une nouvelle idéologie de l'égalité, de la propriété sociale, de l'éducation et du partage des savoirs et des pouvoirs.