L'erreur de l'Occident
Résumé
Présentation de l'éditeur : " Dans cet essai publié en 1980, l'auteur de L'Archipel du Goulag rappelle que le communisme est un mal universel et s'interroge que ce qui conduit les milieux influents, en Occident, à laisser croire que communisme et Russie ne font qu'un, que l'idéologie et le système communistes sont une spécificité russe, comme les zakouskis ou les ballets du Bolchoï. Qui sont les propagateurs de cette vision du monde où la Russie ferait figure de seul et unique foyer d'infection répandant la pandémie communiste de par le monde ? "
Lu par :
Pierre-Bernard Elsig
Genre littéraire:
Société/économie/politique
Mots-clés:
Communisme -20e siècle
Durée:
2h. 4min.
Édition:
Paris, B. Grasset, 2006
Numéro du livre:
15914
Produit par:
Bibliothèque Sonore Romande
ISBN:
9782246094920
Collection(s):
Les Cahiers rouges
CDU:
320(091)
Documents similaires
Lu par : Françoise Golaz
Durée : 5h. 59min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 16040
Résumé:Choukhov (M-854) a été condamné à la déportation en camp de travail pour « trahison de la patrie » (accusation forcée d'espionnage) car il a été fait prisonnier au cours de la Seconde Guerre mondiale par les Allemands. Bien qu'il ait été condamné à 10 ans, Choukhov sait qu'à l'instar des autres bagnards, il ne quittera vraisemblablement pas le camp vivant. Le livre s'ouvre sur le réveil de Choukhov, malade. Pour avoir rejoint les autres en retard, il est contraint de nettoyer le sol du corps de garde. Sa punition effectuée, il se rend au dispensaire pour y chercher des soins. Le médecin ne peut pas l'exempter car il a déjà dépassé son quota quotidien d'arrêts de travail, et renvoie Choukhov au travail. Choukhov appartient au 104e peloton de travailleurs, composé de 23 hommes et d'un chef à qui les prisonniers doivent une totale obéissance.
Lu par : Suzanne Gauthier
Durée : 24h. 42min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 22103
Résumé:Inspiré par un fait réel de la vie de l'auteur, le roman met en scène une galerie de personnages très divers, réunis par leur destin de malades : Roussanov, le haut fonctionnaire prêt à composer avec la dictature soviétique pour sa réussite sociale, Kostoglotov, idéaliste intransigeant pour qui seule compte la dignité humaine, la sensuelle Assia, Vadim le passionné, Zoé la naïve, etc.
Lu par : Fernande Guex
Durée : 1h. 24min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 120
Résumé:L'auteur-narrateur raconte une de ses randonnées à bicyclette, en compagnie de sa femme, en quête de l'histoire russe. Les voici qui arrivent à Koulikovo, où le prince Dimitri défit la Horde en 1380. Et voici le monument érigé en 1865. Le mémorial vieux d'un siècle est à l'abandon, mais tient encore le coup. Il n'y a personne, sauf que surgit tout à coup une énorme silhouette de preux, le gardien du monument, mélange de brigand et de paysan costaud... Dans ce court récit, comme dans les cinq autres qui composent ce recueil (Pour le bien de la cause, Études et miniatures, la Main droite, Quel dommage, la Procession pascale), Alexandre Soljénitsyne, poète des « miniatures » de l'existence, ne se départit jamais ni d'une ironie toujours présente en sourdine ni d'un léger souffle lyrique qui change l'insignifiant en symbolique.
La maison de Matriona ; suivi de Incident à la gare de Kretchétovka: récits
Soljenitsyne, Alexandre Issaïevitch
Lu par : Janick Quenet
Durée : 4h. 14min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 16221
Résumé:Un professeur à la recherche d'une Russie profonde idéalisée, un adjoint de chef de gare, exalté par la cause communiste, un collège victime de la bureaucratie ; trois contextes différents qui, chacun à leur manière font briller une facette de l'âme slave si chère à Alexandre Soljenitsyne. Le petit peuple, obtu et misérable ; le communiste, tellement dévoré par son idéal et son sens du devoir que toute sa vie se résume à cette foi aveugle dans le communisme ; l'immobilisme et les injustices de la bureaucratie mêlée de copinage. Soljenitsyne fait vivre cette Russie profonde qu'il regarde avec beaucoup de bienveillance mais dont il sait aussi nous montrer les limites, les faiblesses, les lâchetés et l'aveuglement.
Lu par : Annie Hutton
Durée : 15h. 3min.
Genre littéraire : Roman historique/biographique
Numéro du livre : 65886
Résumé:Los Angeles, 1957. Après avoir quitté l’Asie, Perle a donné naissance à Joy, devenue une jeune fille au caractère bien trempé. Trop, peut-être ? Bouleversée par les secrets familiaux qu’elle vient de découvrir, Joy décide brutalement de s’enfuir pour Shanghai afin de rencontrer son père biologique. Éblouie par sa personnalité et aveuglée par des idéaux révolutionnaires, elle tombe dans les pièges de la propagande communiste. Craignant pour sa vie, Perle est déterminée à retrouver sa fille. Même si elle doit pour cela affronter ses vieux démons et relever des défis impossibles, au cours de l’un des épisodes les plus dramatiques de l’histoire chinoise.
Lu par : Marianne Pernet
Durée : 25h. 15min.
Genre littéraire : Histoire/géographie
Numéro du livre : 36202
Résumé:Une Caravelle de Swissair explose peu après son décollage de Kloten avec à son bord un Neuchâtelois, musicien, couturier, et communiste sous haute surveillance. Lénine, assis sur un banc du Zürichberg, médite au printemps 17 sur ce qu’il va falloir entreprendre. Inessa Armand, qui a renoncé à faire l’éducation sexuelle du chef bolchévique, boucle au-dessus de Clarens ses bagages pour le rejoindre. Willi Münzenberg, le leader des jeunes socialistes suisses, sort de prison pour une carrière fulgurante qui se terminera près de Grenoble, sous un arbre, au bout d’une corde. Le Lausannois Arthur Cravan traverse l’Atlantique avec la famille Trotski pour amener Dada à New York. Karl Radek, que les Suisses tiennent pour le diable, vient narguer le Conseil fédéral à Genève. André Gide, après avoir horrifié les prudes Vaudois, fait une drôle de découverte au bord de la Mer Noire. Le fils d’un fromager bernois, devenu chef du contre-espionnage soviétique, finit par vomir Staline. En prison, Jules Humbert-Droz et son ami Nikolaï Boukharine écrivent tous les deux, sans le savoir, le même mot?: charogne. La frêle Annemarie Schwarzenbach porte un toast au parrain de la femme du vojd. La Bâloise Lydia Dübi, quitte sa clandestinité parisienne pour une chambre de torture. Le musicien couturier neuchâtelois, blessé sur l’Ebre en Espagne, apprend que la Wehrmacht va envahir l’URSS, prend le maquis et se lance dans les affaires… Ces récits emboités, et bien d’autres, constituent la trame de cette traversée du siècle rouge, dont beaucoup de fils partent de Suisse vers Moscou, Barcelone, Cambridge, Bucarest, Paris, Pékin, Berlin, New York, Canton, Budapest, Sébastopol, Salina Cruz, et quelques bateaux.
Lu par : Jacques Moret
Durée : 6h. 22min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 67418
Résumé:Huit destins racontés sous formes de nouvelles. Chaque personnage est lié de près ou de loin aux réfugiés vietnamiens qui ont fui le communisme à la fin des années 1970. Certains ont traversé l'océan au péril de leurs vies, d'autres sont leurs descendants ou de simples relations. Un panorama de cette communauté aux mille facettes, partagée entre la nostalgie et le désir de tourner la page.
Lu par : Bertrand Baumann
Durée : 3h. 10min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 35331
Résumé:Le narrateur de cet Evangile selon Marc ne parle pas. Sa mère, son père, son frère et ses deux grands-mères le croient sourd-muet. Et pourtant, c'est lui qui raconte l'histoire. La famille, considérée comme "ennemie du peuple", a été chassée de Budapest pour travailler sous la surveillance d'un paysan. La nuit, dans l'unique chambre, le jeune garçon écoute les disputes de ses parents et rêve de la voisine. A force d'entendre sa grand-mère douter du dessein divin, il commence à s'identifier au Petit Jésus accroché au mur, sourd-muet lui aussi. Mais le plus solitaire, c'est Dieu, le grand silencieux, qui, lui, n'a personne à qui adresser ses prières. La Version selon Marc peut se lire comme le récit d'une enfance hongroise d'après-guerre. Mais au-delà de cette simplicité apparente, l'auteur ne renonce jamais à l'humour, à l'impertinence et au jeu sur les références littéraires, qui lui sont propres. L'Evangile selon saint Marc, marqué comme aucun autre texte biblique par le doute mystique, se mue sous la plume d'Esterházy en une réflexion humaine, religieuse et littéraire à la beauté profonde.
Lu par : Christiane May-Sudan
Durée : 7h.
Genre littéraire : Histoire/géographie
Numéro du livre : 18410
Résumé:Le XXe siècle fut le siècle de l'espionnage. Sorge, les "cinq de Cambridge", Farewell, le colonel Boris... Ces personnages de l'ombre, figures mythiques du renseignement, ont changé le cours de l'Histoire. Quel fut leur rôle pendant la révolution russe, la Deuxième Guerre mondiale, et surtout pendant la guerre froide ? Quelle était la stratégie secrète de Gorbatchev lors de la chute du mur de Berlin ? Comment la "taupe" du KGB a-t-elle saboté le coup d'Etat de Moscou qui sonna, il y a vingt ans, en août 1991, le glas de l'URSS ? Pour la première fois, Vladimir Fédorovski, qui fut au centre des événements majeurs du XXe siècle, notamment comme promoteur de la perestroïka, dévoile les faces cachées de cette période charnière. Document historique inédit, Le Roman de l'espionnage est aussi un livre d'actualité : Poutine, ancien espion, y apparaît tel un James Bond dirigeant la Russie d'aujourd'hui avec les méthodes des services secrets, et Anna Chapman y fait figure de Mata Hari des temps modernes pénétrant l'Administration américaine. Mais ces pages invitent également le lecteur à l'évasion, car la vie trépidante de ces agents secrets fut marquée par la recherche de l'amour absolu, au-delà des machinations d'Etat, des déchirements psychologiques et de l'ivresse du pouvoir...
Lu par : Dominique Tanet
Durée : 4h. 20min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 65290
Résumé:L'ancien rédacteur en chef de L'Humanité raconte cinquante ans de l'histoire du quotidien communiste au travers de son parcours personnel. Engagé contre la guerre d'Algérie puis en mai 1968, il assiste à la fin de l'Union soviétique et, au sein de son activité journalistique, s'interroge sur le rôle de l'idéal communiste.
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 9h. 5min.
Genre littéraire : Roman historique/biographique
Numéro du livre : 35309
Résumé:" La répétition était l'essence de ce régime, elle était partout. dans les histoires individuelles, dans l'uniforme, dans le rythme de la marche militaire que nous avons intégré dès notre plus jeune âge, dans la scansion des slogans... Mais la répétition la plus soigneusement orchestrée et entretenue finit par s'épuiser. Ma vie était une redite de celle de ma mère, une redite de mauvaise qualité. Lorsque, âgée de huit ans, je suis descendue pour la première fois dans les couloirs humides du Mausolée, la discipline était plus molle. J'étais certes impressionnée par cette dépouille dans son décor baroque. mais l'odeur de formol était devenue trop forte pour que l'on puisse encore croire au miracle du socialisme. " Bulgarie 1944-1990. Un demi-siècle de communisme, de peurs et de trahisons, quand se taire devient le mot d'ordre de la survie. Gaby, sa fille Rada et sa petite-fille Milena survivent. Mais elles disent aussi leur haine du régime et rient de ses absurdités. En même temps que la peur, elles se transmettent le désir de révolte. Avec férocité. humour et tendresse. Rouja Lazarova raconte le totalitarisme à l'échelle des sans noms.
Lu par : Henri Duboule
Durée : 5h. 14min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 16169
Résumé:Léon M... a reçu l'ordre d'exécuter Valerian Alexandrovitch Courilof, ministre de l'Instruction publique du tsar Nicolas II. Mais ses chefs attendent le moment propice : l'attentat doit porter un coup fatal au régime impérial. Sous la fausse identité de Marcel Legrand, médecin suisse, le jeune terroriste entre au service de Courilof. Les jours du ministre, atteint d'un cancer du foie, sont comptés. Il n'est plus alors aussi aisé d'assassiner un homme qui inspire plus de pitié que de haine...