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Vieille fille: une proposition

Résumé
Mêlant récit personnel, archives et références culturelles, un portrait renouvelé de l'archétype de la vieille fille qui se détache des représentations attachées à sa condition dans l'imaginaire populaire. L'auteure définit la vieille fille comme une femme qui refuse délibérément les contingences du mariage et de la maternité, et trouve son épanouissement hors du modèle de la famille.
Durée: 5h. 10min.
Édition: Paris, La Découverte, 2022
Numéro du livre: 74383
ISBN: 9782348072765
Collection(s): Cahiers libres
CDU: 301

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Durée : 3h. 14min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 70679
Résumé:Une réflexion acérée sur les liens entre le langage, la pensée et les constructions sociales liées au genre. " Le médecin a demandé aux collégiens de se laver les mains. " Cette phrase anodine comporte plusieurs ambiguïtés que notre cerveau peine à résoudre. Le médecin est-il une femme ou un homme ? Les collégiens sont-ils un groupe de garçons ou un groupe mixte constitué de filles et de garçons ? Les règles actuelles du français ne permettent pas de le déterminer. Pourtant, les règles d'accord n'ont pas toujours favorisé le masculin. Elles sont le fruit des vagues de masculinisation progressive du langage. Ainsi, de nombreuses pratiques langagières courantes nous contraignent à percevoir le monde à travers un prisme masculin. Réflexion acérée sur les liens entre le langage, la pensée et les constructions sociales liées au genre, cet ouvrage s'appuie sur des études scientifiques, nombreuses sur le sujet. Il fourmille aussi d'expériences ludiques à faire avec son entourage, pour apprendre à démasculiniser notre langage et notre perception du monde... autrement dit pour retrouver une langue plus inclusive.
Lu par : Elvire Philips
Durée : 7h. 40min.
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Numéro du livre : 71149
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Durée : 24h. 10min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 68173
Résumé:Toutes les sociétés humaines ont besoin de justifier leurs inégalités : il faut leur trouver des raisons, faute de quoi c'est l'ensemble de l'édifice politique et social qui menace de s'effondrer. Les idéologies du passé, si on les étudie de près, ne sont à cet égard pas toujours plus folles que celles du présent. C'est en montrant la multiplicité des trajectoires et des bifurcations possibles que l'on peut interroger les fondements de nos propres institutions et envisager les conditions de leur transformation. A partir de données comparatives d'une ampleur et d'une profondeur inédites, ce livre retrace dans une perspective tout à la fois économique, sociale, intellectuelle et politique l'histoire et le devenir des régimes inégalitaires, depuis les sociétés tri-fonctionnelles et esclavagistes anciennes jusqu'aux sociétés post-coloniales et hypercapitalistes modernes, en passant par les sociétés propriétaristes, coloniales, communistes et sociales-démocrates. A l'encontre du récit hyperinégalitaire qui s'est imposé depuis les années 1980-1990, il montre que c'est le combat pour l'égalité et l'éducation, et non pas la sacralisation de la propriété, qui a permis le développement économique et le progrès humain. En s'appuyant sur les leçons de l'histoire globale, il est possible de rompre avec le fatalisme qui nourrit les dérives identitaires actuelles et d'imaginer un socialisme participatif pour le XXIe siècle : un nouvel horizon égalitaire à visée universelle, une nouvelle idéologie de l'égalité, de la propriété sociale, de l'éducation et du partage des savoirs et des pouvoirs.
Lu par :
Durée : 39h. 5min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 68197
Résumé:Toutes les sociétés humaines ont besoin de justifier leurs inégalités : il faut leur trouver des raisons, faute de quoi c'est l'ensemble de l'édifice politique et social qui menace de s'effondrer. Les idéologies du passé, si on les étudie de près, ne sont à cet égard pas toujours plus folles que celles du présent. C'est en montrant la multiplicité des trajectoires et des bifurcations possibles que l'on peut interroger les fondements de nos propres institutions et envisager les conditions de leur transformation. A partir de données comparatives d'une ampleur et d'une profondeur inédites, ce livre retrace dans une perspective tout à la fois économique, sociale, intellectuelle et politique l'histoire et le devenir des régimes inégalitaires, depuis les sociétés tri-fonctionnelles et esclavagistes anciennes jusqu'aux sociétés post-coloniales et hypercapitalistes modernes, en passant par les sociétés propriétaristes, coloniales, communistes et sociales-démocrates. A l'encontre du récit hyperinégalitaire qui s'est imposé depuis les années 1980-1990, il montre que c'est le combat pour l'égalité et l'éducation, et non pas la sacralisation de la propriété, qui a permis le développement économique et le progrès humain. En s'appuyant sur les leçons de l'histoire globale, il est possible de rompre avec le fatalisme qui nourrit les dérives identitaires actuelles et d'imaginer un socialisme participatif pour le XXIe siècle : un nouvel horizon égalitaire à visée universelle, une nouvelle idéologie de l'égalité, de la propriété sociale, de l'éducation et du partage des savoirs et des pouvoirs.
Lu par : Liliane Pierré
Durée : 6h. 24min.
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Numéro du livre : 15326
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Lu par : Anita Renard
Durée : 5h. 25min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
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Lu par : Etienne Riobé
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Lu par : Sylvie Marsac
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Résumé:Un pas en avant, deux pas en arrière. Constat peu glorieux ? "Fausse route" d'Élisabeth Badinter dresse un état des lieux des luttes féministes. Rappelant que la différence des sexes est un fait qui ne doit pas prédestiner aux rôles et aux fonctions, Élisabeth Badinter pointe, dénonce parfois, les contradictions d'un féminisme "obsédé par la problématique identitaire". Et l'auteur de poser la question : quels sont les réels progrès réalisés depuis quinze ans ? À étudier de près les phénomènes sociaux et comportementaux durant les deux dernières décennies, aussi bien dans le monde oriental que dans le monde occidental, on prend conscience de la pérennité d'une guerre des sexes, doublée d'une renaissance des stéréotypes sexuels. Au-delà de ce constat, Élisabeth Badinter décrypte la tendance insidieuse d'un nouveau féminisme qui a retrouvé les accents moralisateurs du judéo-christianisme, voire la naissance d'une "bien-pensance féminine" ou - pire - une dérive d'un féminisme guerrier. Qu'on ne se trompe pas : la guerre des sexes a toujours lieu. Élisabeth Badinter rappelle que "l'indifférenciation des sexes n'est pas celle des identités. C'est au contraire la condition de leur multiplicité et de notre liberté".
Durée : 2h. 21min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 26034
Résumé:"J'écris pour les femmes humiliées, torutrées, et comme les paroles douces sont restées jusqu'ici sans effet, j'ai choisi la parti de la mauvaise langue... La doute et la peur sont les pires ennemis des femmes. La doute enchaîne leurs pieds et la peur envahit leurs cerveaux. Femmes, libérez-vous des morsures de la peur pour vous tenir debout, droites et fières, non comme des lianes agrippées et dépendantes mais comm de grands arbres aux racines solides ! une femme seule peut grandir, se déployer et faire croître toute une forêt."
Lu par : Carole Beuron
Durée : 1h. 26min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 69136
Résumé:«Et si le care devenait, enfin, l’affaire de tous?» À la racine des inégalités de notre organisation sociale, il y a cette idée qu’une femme, c’est toujours un peu moins légitime, compétent, important qu’un homme. Voilà pourquoi on craint, à chaque soubresaut de l’histoire, que ne se réalise la prédiction de Simone de Beauvoir : «Il suffira d’une crise politique, économique ou religieuse, pour que les droits des femmes soient remis en question.» De fait, la parole d’expertise et de pouvoir des hommes a repris le dessus durant la crise, alors même que nous redécouvrions que le vaste peuple, aussi indispensable qu’invisible, des travailleurs qui prennent soin des autres était massivement constitué de femmes. De sorte que le combat féministe pour l’égalité peut s’identifier à la défense d’un projet de société qui, au nom de notre vulnérabilité commune, reconnaisse enfin une valeur au travail du soin et à la contribution de chacun plutôt qu’au pouvoir de quelques-uns. Telle est l’éthique démocratique du care.
Lu par : Rita Petrelli
Durée : 6h. 21min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 72410
Résumé:Un essai sur la condition féminine dans lequel l'auteure évoque les relations hommes-femmes, le féminisme ou la sexualité en convoquant des figures telles que Astrid Lindgren, Françoise Vergès, les anonymes du Queer Manifesto, Agnès Desarthes et Virginia Woolf, entre autres.
Lu par : Elodie Mainguy
Durée : 8h. 10min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 74701
Résumé:Autour de trois thèmes, la sexualité, la justice et l'écologie, l'auteure démontre que les théoriciennes féministes ont développé depuis des siècles des propositions et des outils afin de modifier en profondeur chaque pan de la société, au-delà des relations hommes-femmes. Appliquer un programme féministe à la société, c'est redéfinir les relations amoureuses, la justice et le rapport à la nature