Contenu

Recherche par mot-clé: Représentations sociales

5 résultats.

Lu par : Florence Cleirec
Durée : 5h. 10min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 74383
Résumé:Mêlant récit personnel, archives et références culturelles, un portrait renouvelé de l'archétype de la vieille fille qui se détache des représentations attachées à sa condition dans l'imaginaire populaire. L'auteure définit la vieille fille comme une femme qui refuse délibérément les contingences du mariage et de la maternité, et trouve son épanouissement hors du modèle de la famille.
Durée : 3h. 14min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 70679
Résumé:Une réflexion acérée sur les liens entre le langage, la pensée et les constructions sociales liées au genre. " Le médecin a demandé aux collégiens de se laver les mains. " Cette phrase anodine comporte plusieurs ambiguïtés que notre cerveau peine à résoudre. Le médecin est-il une femme ou un homme ? Les collégiens sont-ils un groupe de garçons ou un groupe mixte constitué de filles et de garçons ? Les règles actuelles du français ne permettent pas de le déterminer. Pourtant, les règles d'accord n'ont pas toujours favorisé le masculin. Elles sont le fruit des vagues de masculinisation progressive du langage. Ainsi, de nombreuses pratiques langagières courantes nous contraignent à percevoir le monde à travers un prisme masculin. Réflexion acérée sur les liens entre le langage, la pensée et les constructions sociales liées au genre, cet ouvrage s'appuie sur des études scientifiques, nombreuses sur le sujet. Il fourmille aussi d'expériences ludiques à faire avec son entourage, pour apprendre à démasculiniser notre langage et notre perception du monde... autrement dit pour retrouver une langue plus inclusive.
Lu par : Elvire Philips
Durée : 7h. 40min.
Genre littéraire : Psychologie/médecine
Numéro du livre : 71149
Résumé:Oedipe, qui boitait en marchant; Méduse, qui pétrifie, tout comme la vision d'une personne handicapée peut nous saisir; le poète Joë Bousquet, paralysé à la suite d'une blessure de guerre et qui vécut trente ans couché dans une chambre aux volets clos; Kenzaburô Oé, dont toute l'oeuvre est traversée par l'expérience d'être père d'un enfant handicapé; Richard III, le bossu séducteur et tyrannique; Kashiwagi, l'infirme pervers du Pavillon d'or de Mishima; Toulouse-Lautrec, dont la difformité physique fascine presque autant que ses tableaux; ou encore le vilain petit canard d'Andersen, qui finit par se voir en cygne merveilleux... Autant de figures qui permettent à Simone Korff-Sausse de donner ici un sens à l'inquiétude et aux fantasmes que le handicap réveille en nous.
Durée : 24h. 10min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 68173
Résumé:Toutes les sociétés humaines ont besoin de justifier leurs inégalités : il faut leur trouver des raisons, faute de quoi c'est l'ensemble de l'édifice politique et social qui menace de s'effondrer. Les idéologies du passé, si on les étudie de près, ne sont à cet égard pas toujours plus folles que celles du présent. C'est en montrant la multiplicité des trajectoires et des bifurcations possibles que l'on peut interroger les fondements de nos propres institutions et envisager les conditions de leur transformation. A partir de données comparatives d'une ampleur et d'une profondeur inédites, ce livre retrace dans une perspective tout à la fois économique, sociale, intellectuelle et politique l'histoire et le devenir des régimes inégalitaires, depuis les sociétés tri-fonctionnelles et esclavagistes anciennes jusqu'aux sociétés post-coloniales et hypercapitalistes modernes, en passant par les sociétés propriétaristes, coloniales, communistes et sociales-démocrates. A l'encontre du récit hyperinégalitaire qui s'est imposé depuis les années 1980-1990, il montre que c'est le combat pour l'égalité et l'éducation, et non pas la sacralisation de la propriété, qui a permis le développement économique et le progrès humain. En s'appuyant sur les leçons de l'histoire globale, il est possible de rompre avec le fatalisme qui nourrit les dérives identitaires actuelles et d'imaginer un socialisme participatif pour le XXIe siècle : un nouvel horizon égalitaire à visée universelle, une nouvelle idéologie de l'égalité, de la propriété sociale, de l'éducation et du partage des savoirs et des pouvoirs.
Lu par :
Durée : 39h. 5min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 68197
Résumé:Toutes les sociétés humaines ont besoin de justifier leurs inégalités : il faut leur trouver des raisons, faute de quoi c'est l'ensemble de l'édifice politique et social qui menace de s'effondrer. Les idéologies du passé, si on les étudie de près, ne sont à cet égard pas toujours plus folles que celles du présent. C'est en montrant la multiplicité des trajectoires et des bifurcations possibles que l'on peut interroger les fondements de nos propres institutions et envisager les conditions de leur transformation. A partir de données comparatives d'une ampleur et d'une profondeur inédites, ce livre retrace dans une perspective tout à la fois économique, sociale, intellectuelle et politique l'histoire et le devenir des régimes inégalitaires, depuis les sociétés tri-fonctionnelles et esclavagistes anciennes jusqu'aux sociétés post-coloniales et hypercapitalistes modernes, en passant par les sociétés propriétaristes, coloniales, communistes et sociales-démocrates. A l'encontre du récit hyperinégalitaire qui s'est imposé depuis les années 1980-1990, il montre que c'est le combat pour l'égalité et l'éducation, et non pas la sacralisation de la propriété, qui a permis le développement économique et le progrès humain. En s'appuyant sur les leçons de l'histoire globale, il est possible de rompre avec le fatalisme qui nourrit les dérives identitaires actuelles et d'imaginer un socialisme participatif pour le XXIe siècle : un nouvel horizon égalitaire à visée universelle, une nouvelle idéologie de l'égalité, de la propriété sociale, de l'éducation et du partage des savoirs et des pouvoirs.