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Napoléon joue de la cornemuse dans un bus: techniques de mémorisation ludiques et efficaces

Résumé
Nous utilisons de moins en moins notre mémoire ! La raison est simple : chaque petite tâche est effectuée par un appareil, téléphone, ordinateur et tablette, GPS... Notre cerveau, comme un muscle qu'on ne sollicite pas, s'atrophie. Nous perdons en capacité intellectuelle, en spontanéité, notre attention au monde qui nous entoure diminue, nos idées s'amenuisent... Mais même si nous convenons tous être devenus dépendants à la technologie, il est toujours possible de (re)faire travailler sa mémoire ! A travers ce livre, l'auteur vous fait découvrir comment vous bâtir une culture générale impressionnante, mémoriser n'importe quelle quantité d'information, apprendre des langues étrangères, retenir les chiffres, réussir vos examens, faciliter votre reconversion, et enfin, comment augmenter votre confiance en vous. Quel est le point commun entre un bus, Napoléon, et la cornemuse ? Aucun ! C'est cette image percutante... qui vous aidera à vous souvenir des informations que vous y aurez rattachées ! Avec cette phrase commence votre voyage au cur de la mémoire et de l'apprentissage !
Genre littéraire: Essai/chronique/langage
Durée: 6h. 41min.
Édition: Le Mans, Gereso, 2018
Numéro du livre: 39037
ISBN: 9782359536478
CDU: 370

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Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 75691
Résumé:" Fin mai 2022, j'ai acheté, dans un magasin parisien spécialisé dans les randonnées en montagne, un lit de camp, un sac de couchage et une lampe torche. Le lendemain, j'ai installé mon équipement d'alpiniste sur le sol froid du musée de l'Acropole à Athènes pour y passer une nuit de lune décroissante, entièrement seule. Comment arriverez-vous à dormir avec tous ces yeux de marbre qui vous fixent ? m'avait-on prévenue. Mais c'est une nuit dans un musée vide que je m'apprêtais à passer devant l'Acropole. A Athènes, il ne reste que des miettes : un pied de déesse, la main de Zeus, la tête d'un cheval. Nous avons tous dérobé quelque chose à la Grèce : ses idées, à partir desquelles nous avons forgé nos racines occidentales. Les marbres du Parthénon, arrachés à la pioche et envoyés en Angleterre par Lord Elgin au début du XIXe siècle. Dans ce vol collectif, je ne suis qu'un imposteur parmi d'autres : je ne suis pas grecque, je ne parle pas le grec moderne, et pourtant j'ai bâti ma vie et mon écriture sur ce vol. Ce soir, ce privilège sans précédent dans l'histoire du musée m'a pourtant été accordé, à moi, qui n'ai ni Homère ni Platon dans mon sac, mais la biographie de Lord Elgin. " A. M.
Lu par : Clélia Strambo
Durée : 9h. 9min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 33582
Résumé:Sur un mur à côté de l'étrange mausolée qui domine le val de Bisenzio, le promeneur ou le touriste en Toscane peut lire peut lire : "Je voudrais avoir ma tombe là-haut, au sommet du Spazzavento (le pointu et rageur), pour lever de temps en temps la tête et cracher dans le courant froid de la tramontane". Cette phrase, dont Malaparte avait demandé qu'elle soit gravée en guise d'épitaphe, témoigne de son attachement ambigu pour la Toscane qui lui a donné le jour et qui est le sujet de ce livre. Sacrés Toscans est l'un des livres les plus célèbres et des plus savoureux de Malaparte, écrit tardivement, en 1955.Ces qualités qui font des Toscans les meilleurs fils de l'Italie, Malaparte va les définir, traçant par contraste et comme en creux le portait des autres Italiens... Maniant avec verve l'érudition et l'ironie, nous menant de Pérouse chez ces fous de Florentins en passant par Prato, sa ville natale, écorchant les pisans, moquant les siennois, vantant les belles Livournaises, nous initiant au vol des poulets à Campi, Curzio Malaparte nous donne une chronique étourdissante de gaieté.
Lu par : Jean Frey
Durée : 9h. 13min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 65618
Résumé:" Trois mille ans après le voyage d'Argô, nous vivons dans un Reader's Digest collectif - nous sommes désormais la version facile, simplifiée, synthétisée de nous-mêmes. L'unique impératif est de ne jamais oser. Ne brûler aucun navire, mais, bien au contraire, les accumuler tous, les uns sur les autres, au cas où ils pourraient servir, au cas où nous laisserions tout pour fuir. Nous regardons encore les étoiles, mais nous ne savons plus nous orienter dans l'immensité que nous sommes pour nous-mêmes. Trouver notre place dans le monde. Nous avons cessé de donner aux constellations le nom de nos histoires. Atteindre son but demande de la ténacité, et surtout de ne pas admettre l'idée que nous pourrions peut-être faillir. Beaucoup de préparation, mais aussi une bonne dose d'ingénuité effrontée, exactement comme quand Jason fut le premier homme de la littérature grecque à prendre la mer - et il n'était qu'un jeune garçon. Il est essentiel de ne jamais oublier, comme Alexandre le Grand le comprit en un éclair, que la victoire ne tient souvent qu'à une étincelle. Celle avec laquelle nous devons mettre le feu à nos peurs, à nos hésitations, à nos doutes pour enfin tout laisser derrière nous. Y compris les navires qui nous clouent à la rive au lieu de nous emmener au loin ".
Lu par : Michèle Quellet
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Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 16859
Résumé:Née d'une illustre mais peu fortunée maison du Piémont, la marquise de Balbian rencontre le margrave Charles de B., chargé du commandement des troupes de l'Electeur, son frère. Ils tombent amoureux et se marient en secret. L'Electeur s'opposant à cette union fait arrêter Catherine. Ce recueil, publié en 1775, contient les lettres adressées à son mari depuis sa prison.
Lu par : Suzanne Bettens
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Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 18848
Résumé:L'homme occidental passe plus de temps en voiture que dans le lit des dames. Fort de cette constatation et de cette expérience, j'ai décidé d'explorer la place qu'a prise l'automobile dans nos plaisirs, notre travail, nos glorioles, nos pulsions secrètes, nos rêves. Il m'est arrivé, jadis et naguère, d'analyser la présence des animaux familiers dans ma vie, c'était Lettre à mon chien, ou mes propres souvenirs et colères, dans Un petit bourgeois et Le Musée de l'homme. Ce livre-ci n'est pas de nature si différente, qui passe en revue, aussi gaiement que possible, les divers aspects d'un asservissement adorable. Asservissement ? Nul, ou presque, n'y échappe. Tout humain est, a été ou sera bagnolard. (Ne s'agit-il pas aussi d'une espèce (le bagne ?...) Je n'ai rien exclu des flâneries de ce livre. Ni les dream cars, ni la Deuche, ni les malotrus de la vitesse, ni les maniaques de la nénette, ni les drogues de l'accessoire. La boîte automatique, la fameuse manoeuvre pointe-talon (que je confesse n'avoir jamais comprise ni pratiquée...), la suspension molle, le citroënisme, la symbolique virile du levier de vitesse, le vroum-vroum et la conduite coulée, l'auto-strada et l'Autobhan, c'est tout l'univers fantasmatique de l'automobile qu'Autos Graphie évoque - sans oublier, ici et là, l'amour, l'âge et la mort, qu'on ne saurait éloigner longtemps d'un tel sujet, parût-il frivole. Peut-on se réclamer à la fois de Paul Morand et de Roland Barthes, de L'Homme pressé et des Mythologies ? Je le crois, et j'espère prouver ici que la pratique opiniâtre et voluptueuse de la conduite automobile peut tenir lieu de sensualité, de psychanalyse et de recherche du temps perdu.
Durée : 10h. 17min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
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Résumé:Ce livre est d'abord une passionnante biographie : celle d'Henri Veyrier, soldeur, libraire et éditeur dans la seconde moitié du vingtième siècle. Cette biographie conduit les auteurs à s'interroger sur le sens de la création littéraire et son rôle dans les bouleversements qui ont secoué le siècle précédent. Ils proposent une sorte d'autopsie de la nature du livre et de l'édition ; puis en inventorient les avatars. Ce qui les amène à poser la question d'une disparition prochaine de son support papier qui ne sera peut-être plus nécessaire pour transmettre l'information ou la connaissance : son éventuelle disparition laisserait alors la place libre à une agora virtuelle, un espace de partage tel que cela se fit à l'aube de notre civilisation occidentale. Les sept parties que contient ce livre/papier, puisque c'en est encore un, comportent plusieurs facettes, partant d'un prisme plus proche de nous, pour tenter d'en concevoir de plus étendus, s'agissant en quelque sorte de déchiffrer les microcosmes afin de dévoiler le macrocosme, car l'oeuvre que contient le livre dans son acception est un démiurge.
Lu par : Clélia Strambo
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Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 32311
Résumé:"Ma chérie, Ceci n'est pas censé être un journal, et il se peut même que ça ne te parvienne jamais, mais j'aime à penser à toi en train de le lire, page après page, un jour dans les années à venir". En 1941, Jane McCormick, la fille de Calamity Jane, révèle au monde entier les lettres que sa mère lui a écrites durant vingt-cinq ans. On y découvre alors, derrière la figure intrépide, une femme sensible, rongée par le remords d'avoir abandonné l'enfant qu'elle ne pouvait élever.... Il faut signaler que l'authenticité des "Lettres..." est mise en doute par certains historiens aux Etats-Unis
Durée : 9h. 26min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 39484
Résumé:Sept volumes des Ecrits publiés par Bertil Galland chez Slatkine ont évoqué sa jeunesse, ses premiers voyages, les Etats-Unis, la Chine de Mao, l'Europe sillonnée quand le communisme s'est effondré, le monde des langues et des bêtes, enfin la littérature romande dont il fut l'un des acteurs. Bertil Galland signe ici un huitième ouvrage entièrement helvétique. Dans un regard qui mêle avec vivacité l'humour à la précision des choses vues, l'auteur cherche à saisir le destin de la Suisse. Nous la voyons évoluer techniquement, moralement, politiquement au cours du 20e siècle. Ce bouleversement du climat quotidien est cerné en cinq séquences : - trois spots sont concentrés en préambule sur l'archéologie, l'économie et la transformation sociale du pays en brèves tribulations régionales et individuelles. - Vaud est présenté en exemple d'un très long régime radical, ces chapitres passant de la satire à la description concrète du pouvoir mis en action par quelques hommes d'Etat. - Plongée dans la mutation des médias romands, de la naissance de la radio à l'aventure du Nouveau Quotidien jusqu'à la crise actuelle des journaux. - Une date historique, le " non " de la Suisse à l'Europe en 1992, est vécue en direct, par déclarations exactes et en profondeur, jusque dans les conséquences sur les liens avec la Suisse alémanique. - Celle-ci est parcourue avec rencontres et longues marches, pour prendre la mesure d'une vieille Confédération. Attentif aux confidences des humbles et des puissants, le reporter-pérégrin introduit le lecteur à la globalisation, aux vacillements actuels de la presse, aux complexités du lien entre la Suisse et l'Union européenne. Il renouvelle la vision de son pays par une mosaïque très personnelle. Nous réentendons, dans des entretiens qui s'inscrivent dans l'Histoire, les voix d'un Georges-André Chevallaz, d'un Jean-Pascal Delamuraz ou d'un Jean-Rodolphe de Salis.
Lu par : Manon
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Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 35682
Résumé:Romancier, biographe, essayiste, C. Arnaud a pratiqué l'art du portrait sous diverses formes. Il présente ici un recueil de quelque 500 portraits de personnages ayant existé (de Saint Louis à Mao) ou qui ont été inventés (du Gargantua de Rabelais à la Léa de Colette). Il les a réunis par genre (autoportrait, portrait historique, portrait à clef...) et les introduit dans leur contexte littéraire. ©Electre 2017
Lu par : Marianne Pernet
Durée : 7h. 15min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 14975
Résumé:Où commence le plagiat ? Où se termine l'inspiration ? La négritude est-elle le virus de notre littérature ? Peut-on détourner, sans risque judiciaire, le destion des héros de la fiction ? Madame Bovary, Bécassine, Tarzan, Don Juan, Tintin, d'Artagnan peuvent-ils connaître de nouvelles aventures ? a-t-on le droit de fixer des limites à la liberté d'expression ?
Lu par : Manon
Durée : 3h. 21min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 28525
Résumé:Cet essai consacré à l'ex-directeur de l'hebdomadaire satirique Charlie Hebdo, nommé en 2009 patron de France Inter par le président N. Sarkozy, entend montrer que cette promotion est l'aboutissement d'une décennie de réalignements idéologiques.
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Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 29318
Résumé:Raymond Chandler (1888-1959) est aujourd'hui célèbre non seulement pour ses écrits policiers des années 1940 et 1950, mais aussi pour son rôle majeur dans l'émergence du filin noir comme genre, que ce soit en tant que scénariste ou en tant qu'auteur de "polars" qui furent très souvent adaptés au cinéma sous cette forme. Mais ce genre "noir", qu'il s'agisse du roman ou du film, Chandler a également contribué à le faire évoluer selon sa propre sensibilité, pour introduire certaines innovations visant à dépasser le cadre strict de la littérature populaire. Cet ouvrage propose de lire le traitement du genre par l'auteur comme le reflet non seulement de sa propre histoire personnelle binationale (britannique et américaine) mais aussi de sa vision de la société de l'époque et de la littérature. On verra ainsi comment Marlowe, le détective récurrent de Chandler, nous parle à travers ses enquêtes non seulement de l'énigme proprement dite mais aussi de l'Amérique des années 1930 et de la dépression économique, des conflits entre classes sociales, du genre policier lui-même et des rapports entre réalité et fiction. Le film noir, dans ses adaptations des romans, prolonge (et modifie parfois) la vision particulière de l'auteur, et l'on verra que le cinéma peut agir ici comme révélateur du texte policier et de ses présupposés. A travers ces thèmes récurrents, Chandler ne cesse de fustiger l'artificialité d'une société et d'un mode de vie qui, plus qu'une simple toile de fond pour ces énigmes criminelles, apparaissent souvent comme le sujet véritable de son oeuvre.