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S'occuper de soi et de ses enfants dans le calme: bouddhisme pour les mères

Résumé
Imaginez une mère calme, sereine. Les coups du sort ne l'ébranlent pas. S'il lui arrive de manquer de sagesse ou de compassion, elle ne perd pas son temps à culpabiliser : elle se dit simplement qu'elle fera mieux la prochaine fois. Elle a le rire facile. On loue sa douceur, sa gentillesse, sa lucidité, son esprit de décision. Ses enfants l'adorent. En sa présence, ils se sentent bien, valorisés, compris... Avec simplicité, naturel, franchise et sens pratique, Sarah Napthali, mère de deux enfants, montre que le bouddhisme peut offrir aux femmes des clés, des outils pour gérer au quotidien les émotions, canaliser la colère et, tout en étant pleinement là, présentes, dans les moments importants de leur vie, ne pas se laisser envahir par les enfants.
Durée: 7h. 36min.
Édition: Paris, Payot, 2009
Numéro du livre: 16699
ISBN: 9782228903974
CDU: 294

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Lu par:Marc Levy
Durée:3h. 29min.
Genre littéraire:Philosophie/religion/spiritualité
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Résumé: Quels enseignements tirer de la crise pandémique mondiale de 2020 ? La violence extrême du risque sanitaire nous a évidemment rappelé que nous étions mortels – quels que soient nos systèmes de santé. Mais au-delà, ce sont nos équilibres sociaux, éthiques, économiques ou politiques qui ont été remis en cause. Comment justifier éthiquement le tri des patients ? Quelles décisions politiques prendre au moment où la protection de la santé est mise en rivalité avec la nécessité de soutenir une activité économique également vitale ? La mondialisation est-elle responsable de nos vulnérabilités ? Autant de questions épineuses abordées dans cet essai, qui revendique la pertinence d’une approche philosophique de terrain, loin d’une réflexion abstraite sur la fragilité écologique ou d’une critique convenue de nos systèmes mondialisés. Si le risque incite au repli sur soi, l’enjeu est ici de comprendre que la résilience ne passera que par une plus grande solidarité internationale et une redéfinition de la souveraineté.
Durée:3h. 45min.
Genre littéraire:Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre:39520
Résumé: Sartre avait montré dans Réflexions sur la question juive comment le juif est défini en creux par le regard de l’antisémite. Delphine Horvilleur choisit ici de retourner la focale en explorant l’antisémitisme tel qu’il est perçu par les textes sacrés, la tradition rabbinique et les légendes juives. Dans tout ce corpus dont elle fait l’exégèse, elle analyse la conscience particulière qu’ont les juifs de ce qui habite la psyché antisémite à travers le temps, et de ce dont elle « charge » le juif, l’accusant tour à tour d’empêcher le monde de faire « tout » ; de confisquer quelque chose au groupe, à la nation ou à l’individu (procès de l’« élection ») ; d’incarner la faille identitaire ; de manquer de virilité et d’incarner le féminin, le manque, le « trou », la béance qui menace l’intégrité de la communauté. Cette littérature rabbinique que l’auteur décortique ici est d’autant plus pertinente dans notre période de repli identitaire que les motifs récurrents de l’antisémitisme sont revitalisés dans les discours de l’extrême droite et de l’extrême gauche (notamment l’argument de l’« exception juive » et l’obsession du complot juif). Mais elle offre aussi et surtout des outils de résilience pour échapper à la tentation victimaire : la tradition rabbinique ne se soucie pas tant de venir à bout de la haine des juifs (peine perdue…) que de donner des armes pour s’en prémunir. Elle apporte ainsi, à qui sait la lire, une voie de sortie à la compétition victimaire qui caractérise nos temps de haine et de rejet.
Durée:13h. 39min.
Genre littéraire:Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre:32520
Résumé: " La nature est toujours mythique et mystique ; elle consacre tout son génie à la moindre de ses oeuvres." C'est sous le haut patronage de Henry David Thoreau que s'inscrit Annie Dillard, se livrant à une exploration quotidienne de son environnement. Dans ce "journal météorologique de l'esprit ", elle se fait la chroniqueuse d'une " vallée des merveilles " de l'Etat américain de Virginie où coule la rivière Tinker. Récit d'un écrivain solitaire, ce texte est une splendeur d'écriture poétique, d'observation de la nature, et de réflexion quasi pascalienne sur la place de l'être humain entre l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Lu par:Madiana Roy
Durée:2h. 41min.
Genre littéraire:Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre:76034
Résumé: Dans ce texte traversé par un souffle poétique puissant, Francine Carrillo prétexte sa fascination pour les palimpsestes pour nous faire visiter le pré-texte de nos vies. Les palimpsestes, ce sont ces " textes écrits par-dessus un autre texte qui, tel un discret berceau, s'efface pour leur laisser vie " . C'est en puisant dans la longue saga biblique ainsi que dans sa connaissance intime de la langue hébraïque et des profondeurs de l'âme humaine, que l'auteure donne à entendre le mystère limpide, manifeste et pourtant à peine déchiffrable qui soutient nos vies, les verticalise et les emmène toujours vers l'ouvert. Avec elle et Sarah, avec elle et Elie, Jacob, Abraham, le nom de Dieu devient le garant du peut-être, du " renversement du destin en destination " . " J'ai faim de mots qu'il faut briser pour qu'ils produisent des étincelles " , écrit Francine Carrillo. Ce sont de ces mots-là qu'est tissé ce texte profond qui, loin de nous rassasier, nous rend à la faim de vivre, à l'audace d'être soi et d'aimer.