Le zen dans l'art chevaleresque du tir à l'arc
Résumé
Dans cet admirable petit livre, l'auteur donne de sa propre expérience un récit qui nous éclaire : s'adonner au tir à l'arc pour comprendre le zen, pratiquer les arts martiaux, non pour en attendre des jouissances esthétiques mais pour former le mental et le mettre en contact avec la réalité ultime.
Pas disponible en CD.
Lu par :
Louis Belon
Genre littéraire:
Philosophie/religion/spiritualité
Mots-clés:
Zen
/
Philosophie
/
Littérature allemande
Durée:
2h. 43min.
Édition:
Paris, Dervy, 1997
Numéro du livre:
29088
Produit par:
Association Valentin Haüy
ISBN:
9782850769313
Collection(s):
Bibliothèque de l'initié
CDU:
294
Documents similaires
Lu par : Jacques Zurlinden
Durée : 17h. 7min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 17090
Résumé:Inspiré des trois questions kantiennes (Que puis-je savoir ? Que dois-je faire ? Que m'est-il permis d'espérer ?), cet essai est une invitation à réfléchir par soi-même en revisitant les notions fondamentales que sont la vérité, la connaissance, la mémoire, la religion, la justice ou le bonheur. Mêlant les disciplines, ajoutant anecdotes personnelles et références inattendues, l'auteur nous guide avec esprit à travers le continent du savoir, à la découverte de nous-mêmes. Chemin faisant, il convoque aussi bien Nietzsche, Schopenhauer ou Darwin que Louis Armstrong, nous entraîne dans les îles grecques pour évoquer Socrate, cite les Beatles pour parler d'anthropologie ou Tolstoï pour nous initier au sens de la vie.
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 12h. 48min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 32560
Résumé:Ainsi parlait Zarathoustra est une œuvre philosophique magistrale. Elle a bouleversé la pensée de l'Occident. " Nietzsche démolit, il sape ", disait Gide. Il remet définitivement l'homme en question. Poète-prophète, Zarathoustra se retire dans la montagne et revient parmi les hommes pour leur parler. Sa leçon essentielle : " Vouloir libère " Son leitmotiv : rejeter ce qui n'est pas voulu, conquis comme tel, tout ce qui est subi. C'est le sens du fameux : " Deviens celui que tu es. " La vertu est souvent le droit du plus faible, elle paralyse tout, désir, création et joie. Le surhomme nietzschéen est celui qui a la plus grande diversité d'instincts qui s'opposent puissamment mais qu'il maîtrise. La pensée de Nietzsche est un défi permanent. Elle échappe à tout système politique.
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 8h. 47min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 35163
Résumé:Dans ce court texte qui réfléchit les derniers rayons de la lumière déclinante de nos idéaux, Nietzsche ausculte nos anciennes idoles. C'est toute l'histoire de la philosophie qui est ainsi passée au scalpel, et qui tombe parfois en mille morceaux. L'humour le dispute ici à la sévérité - cruauté de bon aloi.Au carrefour de la métaphysique et de la morale, le Crépuscule des idoles interroge les notions fondamentales de la philosophie, telles que la raison, la volonté, la vérité.Le dossier- l'architecture de l'oeuvre- l'auteur et le contexte- chronologie- thèmes et problématiques de l'oeuvre- glossaire
Lu par : Jean Frey
Durée : 12h. 17min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 14405
Résumé:Nietzsche, enquêtant sur l'origine des valeurs fondatrices de la morale chrétienne, paraît emprunter sa méthode à Sherlock Holmes. À qui profite le crime ? Comment la modération, l'humilité, l'abnégation ont pu être élevées au rang de vertus cardinales ? Quel type d'homme peut avoir intérêt à valoriser la capacité de se retenir au point de prétendre qu'il faut plus de force pour ne rien faire que pour agir ? Qui peut vouloir dégrader la vie au point de condamner ceux qui sont assez puissants pour en assumer les contradictions et pour en jouir sans compter ? Des hommes, sans doute, de constitution fragile, incapables de supporter de trop vives sensations... La morale chrétienne serait donc un crime contre la vie. Elle trouverait son origine dans le ressentiment des faibles envers les forts, dans la volonté de vengeance du troupeau qui ne peut s'élever qu'en rabaissant ceux qui le dépassent... (Amazon.fr)
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 20h. 12min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 76465
Résumé:Heinz Wismann aime la philosophie et la musique, la philologie et le football, Héraclite et Kant, la France et l'Allemagne, et il n'aime rien tant que penser, non pas seulement en français ou en allemand, en grec ou en latin, mais bien entre les langues, entre les lignes. C'est là qu'il évolue, en funambule, et fait de la capacité de se tenir à l'écart de soi un art de vivre et de penser, librement, loin de tous les schémas imposés. Dans les pas d'un penseur et passeur hors du commun qui a su, en cinquante ans de pérégrination à travers l'Europe, transmettre et reconstruire différentes traditions oubliées - des philosophes présocratiques à la philosophie allemande - pour mieux décrypter le rapport au monde des grandes nations occidentales, ce livre rassemble une oeuvre considérable, inclassable, plurielle, qui explique que Heinz Wismann occupe aujourd'hui une place de tout premier plan dans le monde de la philosophie et de la pensée contemporaines
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 27h. 46min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 33759
Résumé:Commencé en 1876, et achevé au début de 1878, le premier livre de Humain, trop humain, qui composte 638 aphorismes, a été pour l'essentiel dicté à Peter Gast, alors étudiant à Bâle. Il paraîtra le 30 mai 1878, pour saluer le centième anniversaire de la mort de Voltaire, " l'un des plus grands libérateurs de l'esprit ". Le second livre contient deux écrits distincts, Opinions et sentences mêlées et Le Voyageur et son ombre, qui seront quant à eux publiés l'un en 1879 et l'autre en 1880. Nietzsche s'est désormais libéré des influences qui pesaient sur lui et son radicalisme trouve enfin son expression la plus ferme. Il pourfend la métaphysique traditionnelle, affronte le problème de l'éthique, développe sa critique du christianisme, renforce sa réflexion sur l'art et aborde des sujets aussi divers que le mariage, la femme, les rapports humains, la violence entre les hommes...
Lu par : Jean-Louis Lesaint
Durée : 8h. 57min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 79298
Résumé:"La loi morale est sainte (inviolable). L'homme est sans doute très éloigné de la sainteté, mais il faut que l'humanité dans sa personne soit sainte pour lui. Dans la création tout entière, tout ce que l'on veut, et ce sur quoi on a quelque pouvoir, peut aussi être employé simplement comme moyen ; l'homme seul, et avec lui toute créature raisonnable, est fin en soi-même. Il est, en effet, grâce à l'autonomie de sa liberté, le sujet de la loi morale, laquelle est sainte. C'est précisément en raison de cette liberté que toute volonté, même la volonté propre à chaque personne et dirigée sur elle-même, est bornée par la condition de l'accord avec l'autonomie de l'être raisonnable, à savoir de ne le soumettre à aucune intention qui ne serait pas possible suivant une loi pouvant trouver sa source dans le sujet même qui pâtit, et donc de ne l'utiliser jamais simplement comme moyen, mais en même temps en lui-même comme une fin. Cette condition, à bon droit, s'impose, pour nous, même à la volonté divine relativement aux êtres raisonnables dans le monde, en tant qu'il s'agit de ses créatures, parce qu'elle repose sur la personnalité de ceux-ci, par laquelle seule ils sont des fins en soi". Kant
Le fondement de la morale: mémoire non couronné par la société royale des sciences de Danemark à Copenhague le 30 janvier 1840
Schopenhauer, Arthur
Lu par : Jean Frey
Durée : 9h. 8min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 14661
Résumé:Essai d'Arthur Schopenhauer, Le fondement de la morale en allemand Über die Grundlage der Moral, a été publié en 1840, en réponse à la question d'une société savante. Schopenhauer y critique l'approche kantienne des Fondements de la métaphysique des moeurs et insiste sur une racine naturelle du comportement moral humain : la pitié, que l'on appelerait aujour'hui empathie. Il s'inscrit ainsi dans la continuité du Rousseau du Discours sur l'origine et les fondements de l'inégalité parmi les hommes.
Lu par : Michel Duchaussoy
Durée : 3h. 39min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 66252
Résumé:Les Pensées, apologie d'une religion chrétienne repensée au XVII siècle à Port-Royal, est l'œuvre ultime de Pascal. Elles se proposent de convaincre le libertin comme le croyant d'entrer plus avant dans le mystère de Jésus. A cette fin, sont mises eu œuvres plusieurs stratégies rhétoriques qui sont comme autant de moyens de toucher les hommes dans leur diversité: à l'homme qui se divertit on fait sentir le non-sens de son existence (ordre de la chair), au savant et au libertin les faiblesses de leur raison (ordre de l'esprit), au chrétien la présence de Jésus-Christ (ordre du cœur). L'ordre de la chair comprend les fragments les plus connus -ceux sur l'imagination, la coutume, la justice, le divertissement, la vanité du moi. L'ordre de l'esprit introduit l'argument mathématique du pari. L'ordre du cœur s'appuie sur une lecture des Ecritures. Michel Duchaussoy prend le parti non pas de convertir, mais d'amener à "peser" les Pensées. Sa lecture est réflexive : "j'ai découvert que tout le malheur des hommes vient d'une seule chose, qui est de ne savoir pas demeurer en repos, dans une chambre". Alexandre Wong . Si un "livre sonore" semble incontournable, il s'agit bien de ces pensées de Pascal.
Lu par : Denise von Arx
Durée : 4h. 50min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 31529
Résumé:Face à la violence, que peut la philosophie ? Cette question se pose avec une terrible acuité après les attentats de janvier contre Charlie Hebdo et l'hyper-cacher. Le présent ouvrage prétend y apporter une réponse en prenant du recul et à travers la philo française contemporaine de Sartre à Levinas en passant par Camus, Maurice Merleau-Ponty, Simone Weil, Canguilhem, Cavaillès, Lévi-Strauss, Deleuze, Foucault, Jankélévitch et Derrida. Sartre, c'est à la fois l'être et le néant et toutes les questions politiques de l'après-guerre ; Camus, l'absurde et la révolte avec le refus de la violence ; Merleau-Ponty, la justification du communisme et donc d'une certaine forme de totalitarisme ; Simone Weil, Canguilhem et Cavaillès mettent le pacifisme à l'épreuve et en avant l'expérience de la nécessité ; Lévi-Strauss pose le problème de la violence face à la diversité humaine repensée ; Deleuze confronte la métaphysique à la politique. Foucault souligne l'enfermement intolérable ; Jankélévitch Derrida et Levinas pose le problème de l'éthique et de la métaphysique et de l'impossible pardon face au génocide juif. Ici c'est toute la philosophie c'est-à-dire, l'action et la pensée les oeuvres et les relations, l'histoire et l'actualité qui tentent de répondre à une certaine folie du monde.
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 7h. 40min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 31903
Résumé:" D'où peuvent provenir ces perturbations de l'âme, je l'ignore [...] mais qu'elles soient présentes, je le sens et je l'éprouve, et j'en souffre." C'est sur l'expression de ce désarroi que Baptiste, Agnolo et Nicolas se mettent à s'entretenir des moyens de surmonter les troubles de l'âme. Imprégnés de culture antique, les trois amis font écho à la perspective stoïcienne : il s'agit de se défendre des perturbations de l'âme car elles engendrent la faiblesse mais aussi des jugements erronés. La tranquillité peut donc se trouver en se défaisant de nos attachements et en se fiant à la raison, voie de la rectitude et remède à la mélancolie. Pourtant, et c'est là l'originalité et l'authenticité de leur échange, les amis se montrent d'une ironie critique à l'égard des stoïciens - hommes de devoir prisonniers d'idéaux irréalisables, déniant le désarroi et la douleur humaines, hypocrites parfois -, jusqu'à développer un éloge émouvant de la faiblesse humaine, faite de doutes, de besoin de reconnaissance. Interrogeant la prétention des philosophes à éliminer par leurs discours ce qui a tant de pouvoir sur nous, ils développent une sagesse" à portée d'homme", dans une langue belle et sensible. Comment s'éduquer pour interdire aux perturbations d'occuper nos esprits ? Par quelles ressources libérer l'âme ? Quelles recommandations pour dissiper la mélancolie ?
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 28h. 18min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 30744
Résumé:Le renard sait beaucoup de choses différentes, disaient les Grecs, mais le hérisson en sait une, et de la plus haute importance. Dans son ouvrage majeur, le grand philosophe américain Ronald Dworkin soutient que la valeur sous toutes ses formes est une grande chose : ce qu'est la vérité, ce que la vie signifie, ce que la morale exige ou la justice requiert sont divers aspects d'une même question fondamentale. Aujourd'hui, le doute a tout envahi et menace cette unité, dans le sillage d'une révolution galiléenne qui conduit tant de philosophes contemporains à indexer leurs pensées aux méthodes de la recherche scientifique. Contre cette dictature de la remise en question perpétuelle, Ronald Dworkin aborde de très nombreux domaines tels le scepticisme moral, les champs de l'interprétation littéraire, historique et artistique, le libre arbitre ou d'anciens systèmes de valeurs relatifs au bien-être et au bien-vivre. «Nous avons besoin d'une nouvelle révolution, affirme Dworkin. Nous devons ouvrir le monde des sciences à la notion de valeur.»