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Monsieur Hippo cherche un lieu pour la méditation

Durée: 2h. 49min.
Édition: Genève, Zoé, 1984
Numéro du livre: 3877

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Durée : 2h. 20min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
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Lu par : Claude Fissé
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Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
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Résumé:Un collège de jeunes filles en Suisse, en Appenzell. Une atmosphère d'idylle et de captivité. Arrive une " nouvelle " aux yeux sévères, cheveux raides comme des lames ; parfaite, comme si elle avait déjà tout vécu. Attirée par cette figure, la narratrice découvre la fragile frontière entre la perfection et la folie. Roman d'apprentissage d'une grande intensité psychologique, Les années bienheureuses du châtiment offre une vision pudique et généreuse d'une adolescence parfois nourrie de cruauté.
Durée : 8h. 25min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 16805
Résumé:Résumé : Le procès de Lisa invite le lecteur à se replonger dans les turbulences des années 70, à travers les souvenirs d'un travailleur social qui a côtoyé de nombreux jeunes en difficultés. Le livre nous raconte la mission d'un tribunal tout à fait singulier Ce dernier ne juge aucunement les actes répréhensibles et ne condamne personne à la réclusion. Il se penche sur le destin des êtres, avant de se déterminer sur leur devenir. Serge Bregnard met ainsi en scène un procès qui doit statuer sur le sort d'un enfant à naître. L'auteur y retrace le parcours chaotique de ses jeunes parents, sans détour, ni concession. Toni Morelli et Monique Dubois n'ont pas eu la vie facile ! Dépassés par les vicissitudes de leur existence, les deux protagonistes se sont peu à peu laissé griser par l'attrait des paradis artificiels. Après s'être perdus de vue, puis retrouvés, le jeune couple attend avec anxiété la naissance imminente de Lisa. Fernand Delavy, le juge en charge du dossier, s'attend à présider une audience en apparence ordinaire.
Lu par : Jessica Vial
Durée : 4h. 28min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 34740
Résumé:Louise et ses frères ont inscrit leur vaste appartement genevois sur un site à l'intention de voyageurs cherchant à loger chez l'habitant. Ils s'apprêtent à accueillir une Anglaise, une Américaine puis deux jeunes Neuchâteloises lorsque la neige se met à tomber dru, forçant tout le monde à rester à l'intérieur et à organiser la vie en communauté. Qui ne demande hélas qu'à déraper. Ce premier roman ludique, caustique et malin du Genevois Guillaume Rihs, prof d'anglais et d'histoire, se moque gentiment de la génération easyJet qui idéalise le voyage et de la superficialité des échanges façon Erasmus. Une dispute sur la décroissance traverse tout le livre, mettant en relief le paradoxe de modes de vie de bobos prônant le retour en arrière d'un côté, tout en ne faisant pas la moindre concession à leurs privilèges de l'autre. Fougueuse, volubile, dense, légèrement grisante, l'écriture de Rihs nous emmène dans son monde avec une facilité déconcertante. [Source : Isabelle Falconnier, Journaliste, L'Hebdo]
Durée : 5h. 10min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 7679
Résumé:Délicate chronique familiale dans un cadre d'une vieille demeure, relatée par une adolescente.
Lu par : Jean Frisch
Durée : 2h. 38min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 6507
Résumé:"L'Agrandissement" se présente comme un livre de politique fiction. Son auteur, la journaliste Joëlle Kuntz, a imaginé cette fable qu'elle se garde bien d'appeler roman, lui préférant le terme de divertimento... On regrettera seulement que l'auteur n'ait pas publié ce livre deux ans plus tôt. On ose imaginer que son idée, farfelue, aurait apporté quelque piment dans le terne et morne débat sur l'utopie du 700e anniversaire de la Confédération. Résumé : L'homme par qui le scandale arrive s'appelle Bovet, fonctionnaire fédéral un peu rêveur, chargé de la défense de l'image de la Suisse à l'étranger. La Suisse officielle se torture les méninges sur la manière la plus spectaculaire, la plus significative, de célébrer le 700e anniversaire de la Confédération. Et c'est Bovet qui l'emporte en proposant de distribuer à tous les étrangers présents sur le sol helvétique le 1er Août 1991 un passeport à croix blanche. L'idée paraît saugrenue à certains mais elle séduit le Conseil fédéral. Et c'est l'essentiel. Bien sûr, les fonctionnaires rechignent, peignent le diable sur la muraille. Mais dans le ronron fédéral, cette invention révolutionnaire finit par s'imposer. On imagine cette mesure plus symbolique que suivie d'effets concrets. C'est évidemment le contraire qui se produit. Et quel résultat ! Non seulement les étrangers affluent de partout pour bénéficier le 1er Août 1991 du précieux document. Mais surtout, ils viennent en masse de régions limitrophes, voulant ainsi corriger l'ingratitude de l'histoire qui les annexa à d'autres pays.
Lu par : Cécile Gavlak
Durée : 5h. 41min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 36249
Résumé:Elle s'appelle Gillian, elle est belle, elle a du succès, elle est aimée. Mais le début du livre renvoie toutes ces phrases au passé, y compris la première. Est-elle en effet encore Gillian au moment où débute le roman ? N'a-t-elle pas tout perdu, jusqu'au reflet d'elle-même ? Une nuit, au retour d'une soirée trop arrosée, après une dispute, Gillian et son mari Matthias, qui travaillent tous deux pour la télévision, ont un accident de voiture en heurtant un chevreuil sur une petite route qui traverse la forêt. Matthias, qui conduisait, meurt sur le coup. Gillian se réveille à l’hôpital et découvre qu'elle n'a plus de visage. Toute la belle façade s'écroule, tout ce qui faisait sa vie a disparu. Gillian doit subir plusieurs opérations de chirurgie plastique. Elle qui était toujours entourée, admirée, sollicitée, découvre la solitude et l’absence de vraie amitié. Même sa mère n'ose plus aller la voir. Pour Gillian, les jours deviennent des nuits. Après cette première partie, Peter Stamm fait un saut en arrière et raconte la rencontre entre Gillian et Herbert, un artiste qui peint des nus à partir de photos. Croisé sur un plateau de télévision, il finit, après quelques échanges de mails, par photographier et peindre Gillian nue dans son atelier. Ce sont en fait les photos de ce travail qui ont déclenché la dispute fatale avec Matthias. Ce dernier avait en effet découvert par hasard la pellicule dans un tiroir du bureau de Gillian et l'avait faite développer. Outre un fort sentiment de culpabilité, Gillian en retire l'idée que l'art peut tuer, mais aussi la conviction que sa vie n'était jusque-là qu'une simple mise en scène fondée sur les apparences. La troisième partie nous emmène sept ans plus tard. Herbert traverse une crise existentielle. Incapable de peindre depuis plusieurs années, il a finalement accepté un poste de professeur aux Beaux-Arts. Un jour, il reçoit l'invitation d'une fondation culturelle dans les montagnes de l'Engadine, qui lui donne carte blanche pour faire une exposition. Après de longues hésitations, il finit par accepter, d'autant plus que sa compagne, avec qui il a un petit garçon de sept ans maintenant, vient de le quitter. C'est là qu'il retrouve Gillian qui, après sa guérison, a fui le monde des médias et a trouvé un travail d'animatrice culturelle, loin de la ville et de ses attraits, dans le centre de loisirs qui jouxte la fondation. Peter Stamm est trop bon romancier pour confier cette rencontre au hasard : c'est en fait Gillian (qui se fait désormais appeler Jill) qui a convaincu le directeur du centre culturel d'inviter Hubert et de lui proposer de faire une exposition. Si tous les jours sont des nuits quand l'amour disparait, les nuits peuvent devenir des jours quand le bonheur d'être ensemble est là, pour reprendre les dernières lignes du sonnet de Shakespeare mis en exergue au début du livre. Mais Peter Stamm sait aussi éviter les pièges des réconciliations prématurées, c'est le prix de la liberté de ses personnages qui ne réagissent pas toujours comme on l'attend. Ici, la vie n'est pas un songe, elle est un jeu dont on doit maitriser les règles pour ne pas se faire rejeter. Mais dont on peut aussi rejeter les règles, si on en a le courage.
Lu par : Françoise Golaz
Durée : 7h. 54min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 17012
Résumé:Alexander et Sonia forment un couple parfait. Tous deux sont jeunes, beaux et partagent une passion commune pour l'architecture. Guidés par l'ambition de Sonia, ils s'installent à Munich et ouvrent un cabinet qui connaît un succès rapide. Cette union, idyllique en apparence, se trouve bouleversée par la rencontre d'Alex avec Iwona, une Polonaise sans papiers, peu cultivée, peu attirante. Rien ne devrait les réunir mais Alex est irrésistiblement attiré par cette femme dont la seule qualité est d'être l'exact opposé de Sonia.
Lu par : Françoise Golaz
Durée : 3h. 7min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 16972
Résumé:Dans la salle de lecture surchauffée de la bibliothèque municipale, ils ont échangé leurs premiers regards. Puis, autour d'un café, leurs premiers mots. II est suisse et fait des recherches sur les wagons de luxe américains. Elle est américaine, étudiante en physique et rédige sa thèse de doctorat. Ils dînent ensemble, partent en excursion dans les forêts environnantes, visitent les musées. Un jour, Agnès lui demande d'écrire un portrait d'elle. Soir après soir, il se prête à ce qui n'est au début qu'un jeu.
Lu par : Brigitte Cottens
Durée : 3h. 26min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 16190
Résumé:Ils sont cadres de banque, étudiants, mères de famille ou retraités, des gens ordinaires. Ils vivent à New York, ou quelque part en Suisse, vont travailler à Londres ou à Riga, se croisent dans un bar à fado de Lisbonne. Gagnés par le train-train quotidien. La banalité même. C'est à eux pourtant que Peter Stamm donne la parole dans son dernier recueil de onze nouvelles. À Henry, l'ancien vacher devenu cascadeur qui sillonne le pays en rêvant de rencontrer une femme. A Inger, la Danoise, qui refuse sa vie étriquée et s'est mise en route pour l'Italie.
Lu par : Bertrand Baumann
Durée : 5h. 24min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 33378
Résumé:Le 29 mars, la radio locale annonça que le chef d'orchestre Walter Feierlich avait l'intention de passer quelques semaines de repos à Bergue, dans la maison de sa fille Klare Feierlich, la jeune et sympathique animatrice des loisirs de nos petits écoliers. Le chef d'orchestre " priait la population d'oublier sa présence " (une formule incompréhensible qu'on mit de côté en attendant la suite des événements). Ce jour, donc, le temps se détraqua de façon mémorable.
Durée : 4h. 15min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 20176
Résumé:Ma plume à la place de ses mots désormais. Des mots qu'il ne prononcera plus. Ou ceux qu'il n'a jamais prononcés. La voix volée, on se dit qu'il reste les yeux pour parler. Dernière passerelle vers les autres. Derniers messagers du silence obligé. Mais quelque chose s'est absenté. Les yeux de mon père ont volés en éclats. Il y a du bris de verre parsemé dedans. La lumière en capilotades. Des miettes égarées de verre poli par l'eau. Un marais troublé. On dit des yeux cassés. C'est à peine une image. Un vitrail lézardé. Un clair-obscur, comme un voile derrière lequel on devine la lueur d'une bougie qui tremble. Mon mouchoir ramassé au fond de ma poche. Mon poing fermé par dessus. Le chagrin enroulé dedans.