Contenu

Capitale de la douceur

Résumé
La capitale de la douceur existe. C'est une petite île de la Méditerranée. A côté de ses voisines de Port-Cros et Porquerolles, l'île du Levant est un endroit où l'on peut vivre nu (grâce à un arrêté préfectoral). Mais seulement sur 5% du territoire, les 95% restants étant occupés par l'armée qui teste ici ses missiles... La douceur a-t-elle encore sa place dans notre monde ? Peut-elle résister à la violence qui nous entoure ? Dans ce décor prédestiné, où le hasard l'a menée, l'héroïne de ce roman ôte bien plus que ses vêtements, elle se met véritablement à nu. En sept jours, d'une rencontre à l'autre, elle va revivre les moments de son existence où s'est joué son rapport à la violence. Et comprendre que le pouvoir de la douceur est illimité.
Durée: 3h. 9min.
Édition: Paris, Seghers, 2021
Numéro du livre: 72948
ISBN: 9782232145377

Documents similaires

Durée : 1h.
Genre littéraire : Poésie
Numéro du livre : 69129
Résumé:A quoi riment nos vies sexuelles ? La fable de la femme qui voulait que sa bouche ait du génie. La fable de l'homme qui savait simuler aussi bien qu'une femme. La fable de la peau de vache qui était cruelle sur Tinder. La fable du producteur qui croyait vraiment tout possible. La fable de la femme qui rêvait d'un peu de douceur. La fable de l'homme qui saoulait tout le monde avec ses clichés. La fable de la fille qui n'aimait pas qu'on lui présente des garçons. La fable de l'homme mené par son imprévisible engin. La fable de la femme qui en avait par-dessus la tête des fantasmes des autres. La fable de l'homme qui voulait changer ses habitudes. La fable de la jeune doublée par une vieille. La fable de l'homme qui se trompait sur les femmes. La fable de la femme qui voulait rire même au lit. & autres histoires
Durée : 3h. 16min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 17984
Résumé:La longue histoire d'amour d'une fille pour sa mère. "A 8 heures du matin, ça y est, j'avais accepté. Je me levai, je filai chez ma mère. je m'assis sur une chaise près du lit: "Maman, je lui disais pour la première fois depuis l'enfance: je t'aime. Tu es ma vie. Et comment, si je t'aime. toi qui es ma vie. je pourrais te laisser là dans ce lit, à l'abandon? Je ne le pourrais pas. Ecoute, je veux que tu me donnes l'autorisation d'appeler le docteur. qui appellera l'ambulance, et tu seras dans un hôpital mais tu seras soignée, et je t'aime. Et je te donnerai du courage, je le pourrai. Tu veux bien ?" La seconde inoubliable où je fus suspendue à sa réponse. "Oui à tout", elle avait annoncé. Et plus tard, dans l'ambulance, le sublime sourire retrouvé malgré les souffrances qu'elle endurait: "Sophie. tu me surprends." Grandir, c'est bien après la croissance, on dirait."
Lu par : Marie Coeugnet
Durée : 4h. 21min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 37067
Résumé:"Et enfin, à cinquante-trois ans, j'ai entrepris d'apparaître." Et si tout ce qu'on racontait sur les cheveux blancs était faux ? Et si ces monceaux de teinture, sur des millions de chevelures, aux quatre coins de la planète, cachaient en fait une beauté supplémentaire que les femmes pourraient prendre avec le temps, beauté immense qui les sauverait de bien des angoisses, de bien de servitudes ? C'est en partant de cette intuition que Sophie Fontanel, un soir d'été, décide d'arrêter les colorations et de regarder pousser ses cheveux blancs. Comme elle est écrivain, elle en fait un livre, sorte de journal romancé de ce qu'elle n'hésite pas à appeler une " naissance ". Les semaines, les mois passent : un panache lui vient sur la tête, à mille lieues des idées préconçues sur les ravages du temps. Elle réalise que l'âge embellit aussi les femmes et que les hommes n'ont pas pour les cheveux blancs l'aversion qu'on supposait.
Durée : 2h. 39min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 18246
Résumé:« Pendant une longue période, qu'au fond je n'ai à coeur ni de situer dans le temps, ni d'estimer ici en nombre d'années, j'ai vécu dans peut-être la pire insubordination de notre époque, qui est l'absence de vie sexuelle. Encore faudrait-il que ce terme soit le bon, si l'on considère qu'une part colossale de sensualité a accompagné ces années, ou seuls les rêves ont comblé mes attentes ?