Le deuxième pas
Résumé
Quelle voix donner à la douleur ? Quelle voix donner à cet invisible qui met le corps au supplice, qui transforme les nuits et les jours en un brasier immense, consumant toute force, toute envie ? Du cri jusqu'au murmure, dans l'urgence d'une respiration nouvelle, l'auteur lui donne ici une voix dont l'écho fait battre le coeur : celle de l'espoir.
Lu par :
André Cortessis
Genre littéraire:
Roman : au sens large et aventures
Durée:
33min.
Édition:
Genève, Labor et Fides, 2021
Numéro du livre:
69179
Produit par:
Bibliothèque Sonore Romande
ISBN:
9782830917369
Documents similaires
Lu par : André Cortessis
Durée : 41min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 76048
Résumé:Deux soeurs prisonnières du fracas des bombes, et au-dessus d'elles, comme une fenêtre ouverte sur le printemps, la musique d'un violoncelle. Que faire face à la violence du monde ? Marie décide de rester alors que Clémence part, migrante désormais, vers l'autre rive. Dans ces lieux de chaos, restent l'amour et la solidarité que Marie trouve aux côtés de Sarah ; elles décident de rejoindre Clémence. De l'atelier du luthier, l'espoir d'une harmonie nouvelle à travers le son d'un violoncelle.
Lu par : Jocelyne Buttet Sovilla
Durée : 1h. 3min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 30732
Résumé:Assises devant les maisons, les femmes raccommodent les mailles déchirées des filets. Leurs doigts sont gercés ; par habitude ils ne saignent plus. Elles parlent des hommes, de la mer, elles parlent des mains affolées qui s'agitent au bout des quais, des lèvres qu'il faut pincer car au fond de la bouche cogne la nausée des grandes peurs, des tumultes du cœur quand l'attente a le souffle de la cire et de l'encens, elles parlent, elles chantent, et leurs voix comme des brouillards s'élèvent immenses et lasses.
Lu par : André Cortessis
Durée : 51min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 70719
Résumé:Dans son nouveau roman, Dans l'attente d'un autre ciel Damien Murith nous livre avec pudeur son texte fictionnel le plus maîtrisé à ce jour. Le récit d'une jeunesse douloureuse qui se lit le souffle court et les sens en alerte. Son écriture terriblement juste et incisive nous plonge dans l'atmosphère étouffante et poisseuse dans laquelle est contraint de vivre Léo. Victime du manque d'amour, de l'angoisse et de la solitude auxquels la folie de sa mère le confronte. Une mère abandonnée par son mari, qui à son tour délaisse son enfant. Une femme démunie face à la réalité de l'échec de son mariage qui s'emmure dans un syndrome de Diogène, naviguant entre la dépression, le déni et des phases maniaques. Figure maternelle qui s'empare ponctuellement de la narration et nous éclaire sur sa propre souffrance psychique. Les lueurs, bien que fugaces, laissent entrevoir un réel espoir. Le basketball, l'école, un chat complice et unique source d'affection réelle... Lueurs d'une poésie éblouissante qui à elle seule apaise toutes les souffrances.
Lu par : Vittorio Ferrario
Durée : 1h. 2min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 68030
Résumé:L’intrigue se passe dans un village de campagne reculé dont on ressent l’austérité, et où le Malin plane dans l’ombre que projette la lune à chaque carrefour embrumé. Pierre, sa mère et Césarine, son épouse, vivent sous le même toit, et les relations entre la « Vieille » et la « Petite », plus que conflictuelles, flirtent avec une haine grandissante. Alors Pierre, qui travaille à l’usine, souvent va voir « La Garce » pour sortir de l’enfer de son quotidien. Un drame est arrivé, un autre ne demande qu’à se réaliser inévitablement. Si vous croisez cet ouvrage, ouvrez-le et lisez-en un passage, car il serait dommage de passer à côté d’un des grands titres de cette rentrée d’automne ! [Source : Payot]
Lu par : André Cortessis
Durée : 55min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 35189
Résumé:Le diable crie dans les veines de Camille. Camille est jalousie. Elle cherche en vain celui qui ne la décevra plus...
Lu par : Clelia Strambo
Durée : 3h. 43min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 77468
Résumé:Voici trente-deux proses brèves qui révèlent Robert Walser en homme-orchestre, capable d’illustrer le genre du feuilleton dans toute sa bigarrure et sa mobilité. Tour à tour chroniqueur, épistolier, penseur, paraphraseur, flâneur, conteur, il observe l’animation d’une gare, médite sur la montée des nationalismes, perce à jour la comédie humaine ou surprend une sulfureuse «buveuse de larmes». Léger, attentif, ce narrateur changeant n’est jamais où on l’attend. Sa fine ironie, sa lucidité ouvrent une brèche dans le quotidien. C’est là qu’il invite le lecteur à le rejoindre: «J’appartiens de toutes mes fibres au présent.»
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 3h. 52min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 18321
Résumé:"Ces champs de ruines où je scrute de toutes mes forces, connue si une part de moi y était restée pétrifiée, meure si je n'étais pas née, comme si ces événements - l'avancée sournoise de la monstruosité sous couvert de normes et de lois - je les avais vécus de l'intérieur et que j'étais séparée de cette réalité-là par une plaque noircie au noir de fumée..."
Lu par : Claude Fissé
Durée : 51min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 20930
Résumé:Claude Reichler, ancien professeur à l'université de Lausanne, auteur d'ouvrages dans divers domaines, est connu comme historien de la littérature des voyages et des paysages alpins. Dans Vanil Noir, il revient sur un moment fondateur de son amour pour les Alpes, à la fois histoire de vie et mythe familial dont témoignent quelques photographies. Il en donne un récit dépouillé et poignant. En guise de postface, « Le Reliquaire » s'interroge sur le rôle de la photographie dans la mémoire familiale et le destin personnel.
Lu par : Sylvain Jaquenoud
Durée : 4h. 50min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 19941
Résumé:Le personnage s'était comme évanoui dans la nuit, comme si son nom avait été rayé de la distribution des rôles. Sans l'état civil et un document irréfutable parvenu jusqu'à moi par miracle, ce Livret de service établi par le bureau de recrutement de la Légion étrangère, dont j'aurais à tirer quelques enseignements, chacun de ses descendants eût été en droit de douter de son existence en qualité de pater familias. Après tout, tant de braves ?lles furent engrossées par des enjôleurs sans nom. Donc ce Voisard-là fut bel et bien. Mais qui était-il, notre grand-père des oubliettes? Dans le ?ou de sa légende, je le vois, moi, Voisard dit «Quéquan» de la troisième génération, je le vois qui me fait signe de sa pauvre lanterne parmi les brumes où il est censé avoir disparu, ces bruines acides des souvenirs que les vivants repoussent comme des mouches. Je le suis dans sa nuit où l'étoile du Berger lui aura de tout temps fait faux bond.
Lu par : Sylvain Jaquenoud
Durée : 54min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 19072
Résumé:Les Editions Zoé donnent aujourd'hui un reflet, dans la mesure où «La Légion étrangère» constitue un récit autobiographique. Glauser est né à Vienne en 1896. Il a fait partie des rares jeunes auteurs helvétiques à se frotter aux dadaïstes de Zurich. Le jeune homme est vite tombé dans la drogue, ce qui restait original à l'époque. D'où des larcins. Des emprisonnements. Des dépressions. Des tentatives de suicide. Un cycle infernal. Deux ans d'ennui. En 1921, Glauser entre à la Légion étrangère à Strasbourg. Le grand saut, ou ce qu'il croit tel. Il y passera deux ans. C'est la base d'un de ses romans, «Gourrama». «La Légion étrangère», qui restait inédit en français, en constitue l'envers biographique. Il n'y a rien là de sensationnel, alors même que la Légion faisait alors l'objet de multiples films d'aventures. La trame de ce livre très court, c'est l'ennui. Un ennui constant. Dispensé de marches pour raison de santé, l'Alémanique sera muté dans ce qu'on peut appeler l'administration. Il va y trafiquer sur les fournitures. On ne se refait pas. Glauser va parler des autres soldats, aussi dépourvus de pittoresque que lui. Son dernier chapitre s'intitule «Une fin peu romantique». Il se fait définitivement réformer. «On m'a démobilisé, avec cinq francs pour le voyage et un billet jusqu'à la frontière belge.» (http://www.tdg.ch)
Lu par : Madiana Roy
Durée : 6h. 21min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 20339
Résumé:Dix ans que le journaliste suisse Arnaud Robert parcourt Haïti. Pour Le Monde, Le Temps, la Radio Télévision Suisse et nombre d'autres médias, il a couvert la chute de Jean-Bertrand Aristide, les mouvements artistiques, la politique ordinaire, les séquelles du séisme, le quotidien d'une île qu'il aime profondément. A la demande du Nouvelliste, le seul quotidien d'Haïti, il a commencé à publier en 2012 une série de chroniques, baptisées «Journal d'un Blanc». Elles sont les visions extérieures, les questions posées, la lecture des travers minuscules, des forces identitaires et des proses rimées qui agitent un pays réduit en général, par les médias internationaux, à ses catastrophes. A ce recueil, s'ajoute un long texte, Les Lustres, qui dresse le bilan d'une décennie de rencontres paradoxales, celles d'un Suisse en Haïti, et qui questionne au fond notre regard sur l'autre.
Lu par : Marie-Christine Mével
Durée : 2h. 58min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 70476
Résumé:Avec Jacob, personnage biblique de la Genèse et compagnon d’insoumission, Laurence Verrey a engagé sa lutte: déjouer les pièges du silence et le poids du passé pour accéder au droit à l’existence, à la terre vierge de l’écriture. La quête de sa voix singulière, sa part de sel, a lieu de nuit. Cette traversée évoque les tourments de l’enfance, l’affrontement avec l’homme, le lien entre l’écriture et la mère, et se vit avec l’ange, allié et révélateur invisible. Le récit retrace l’histoire de Jacob lorsqu’il revient au pays de sa naissance pour retrouver son frère et combat avec le mystérieux adversaire qui le blesse et le bénit. Si le manuscrit a mis une trentaine d’années pour voir le jour, il garde le même caractère d’urgence.