Contenu

Le coeur vert: [récit]

Résumé
"Le Coeur Vert" est la remémoration d'une passion véhémente avant l'évocation d'un amour sage. Deux personnages s'accrochent l'un à l'autre pour mieux se déchirer, jusqu'à la dernière de leurs ruptures.
Durée: 3h. 35min.
Édition: Lausanne, L'Age d'homme, 1993
Numéro du livre: 8074
ISBN: 9782825104699

Documents similaires

Lu par : Janick Quenet
Durée : 2h. 52min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 35158
Résumé:"La Fée Valse" voudrait ne pas être un recueil de fantasmes éculés, mais une féerie. Éros y jouerait volontiers, au sens le plus large et comme dans un rêve où la chair est tellement plus réelle – comme dans un poème dont le verbe exulterait. Car ce serait avant tout une affaire de mots que ce livre de baise, au sens rabelaisien, sans rien de la gauloiserie égrillarde trop souvent liée à ce qualificatif. Ainsi ce recueil kaléidoscopique serait-il joyeux et grave, allègre et pensif, tendre et mélancolique, sérieux et ludique au sens du jeu le plus varié ; aussi "La Fée Valse" découlerait-elle de la même recherche d’une pureté sans âge dégagée des corsets de la morale, sans obsession morose ni provocation criseuse, lâchée dans ses cabrioles matinales et vivant ensuite au gré des journées, de la jeune baise aux vieux baisers, sans cesser de rire ni de sourire à la bonne vie divine.
Durée : 3h. 30min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 72038
Résumé:Le pain de coucou est cette plante des sous-bois aux petites fleurs blanches et aux feuilles d'un trèfle à la fois savoureux et acide, dont les enfants se régalent. Une croyance populaire, en outre, veut qu'aux endroits où il pousse, de l'or se trouve enfoui.
Durée : 8h. 46min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 18594
Résumé:En même temps qu'un retour vers l'enfance, perdue, puis retrouvée, L'Enfant prodigue retrace un chemin singulier, ressuscitant les chères ombres disparues (le père, la mère, le frère, les grands-parents mythiques) pour leur rendre, au centuple, ce qu'elles lui ont donné : la joie et la curiosité, le désir d'être libre et d'écrire... (http://jmolivier.blog.tdg.ch)
Lu par : André Cortessis
Durée : 12h. 55min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 33354
Résumé:Vivre, lire et écrire : cela peut être tout un. Ce triple mouvement fonde en tout cas le projet, la démarche et la forme kaléidoscopique de ces Lectures du monde, dont voici le quatrième volume publié après L'Ambassade du papillon,Les Passions partagées etRiches Heures. Sous la forme d'une vaste chronique étoilée touchant aux divers genres du carnet de bord et du reportage littéraire, de l'aphorisme et du trait satirique, du récit de voyage et du journal d'écrivain au travail, ce livre tient d'un roman «dicté par la vie », reflet vivant de la réalité telle que nous la percevons par les temps qui courent, profuse et chatoyante, contradictoire, voire chaotique. D'un séjour en Egypte à d'innombrables escales parisiennes à la rencontre des écrivains de partout (tels Albert Cossery, Ahmadou Kourouma, Jean d'Ormesson, Carlos Fuentes, Amos Oz, Nancy Huston et tant d'autres), de Salamanque à Amsterdam, d'Algarve à Toronto, le lecteur suit un parcours zigzaguant qui ramène à tout coup au lieu privilégié de La Désirade, sur les hauts du lac Léman, au bord du ciel et dans l'intimité lumineuse de la « bonne amie »
Lu par : Denise von Arx
Durée : 6h. 9min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 15036
Résumé:Quatrième de couv. : Si Lausanne ne fut jamais vraiment un haut lieu de littérature, la capitale vaudoise n'en a pas moins été, du Moyen Age à nos jours, le cadre d'une activité constante de l'édition et de la vie littéraire, avec des échappées sur l'Europe entière. Qualifiée de "petite Athènes du nord" au temps de Voltaire, notre ville vit naître au début du XXe siècle, avec C.F. Ramuz et les Cahiers vaudois, une littérature romande à part entière marquée par la triple influence de la Réforme, du romantisme allemand et du goût français. Les grandes aventures de La Guilde du Livre et de Rencontre, avant l'essor impressionnant de l'édition romande dans les années soixante, ont permis à plusieurs générations d'écrivains de s'exprimer et de trouver un public. Après une évocation de Lausanne à travers ce que les écrivains en ont écrit, un portrait caustique de l'âme romande, un bref apreçu de chaque époque et un hommage aux artisans et passeurs du livre, ces Impressions d'un lecteur à Lausanne invitent à la découverte plus détaillée des oeuvres contemporaines foisonnant à l'enseigne de la "seconde jeunesse" annoncée.
Lu par : Suzanne Bettens
Durée : 3h. 41min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 11547
Résumé:Onze nouvelles composent Le Maître des couleurs, qui entre elles se répondent, en tissant de multiples correspondances. Ainsi "Vue sur la mer" et "À la vie à la mort" (sans doute la plus bouleversante du recueil) sont-elles deux lettres adressées à la mère, qui intervient ici comme la première interlocutrice (et, peut-être, le dernier recours). Ainsi "Swiss Parade" qui raconte les déboires d'une délégation d'écrivains suisses à la Foire du Livre de Francfort, "À côté de chez nous" qui restitue très bien l'atmosphère de mesquinerie, de délation et de voyeurisme qui peut régner dans une Cité nouvelle, et "Fax Fluo", satire - à notre avis trop tendre ! - de la bêtise télévisuelle (on reconnaîtra facilement l'animatrice peroxydée et bredouillante qui "verrouille tout ce qu'elle veut" dans son émission culturelle). Ainsi "Fils du vent", qui aborde avec beaucoup d'intelligence et d'acuité l'univers virtuel d'un Fou du Net, et "L'Enfant du Nil", qui ressuscite le fantôme d'un pharaon observant, à quelques millénaires de distance, un couple de touristes amoureux.
Durée : 5h. 17min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 67881
Résumé:Biographie Jean-Louis Kuffer revisite ses goûteux quartiers d’enfance. Entre un «bonheur de phrase» et la mécanique proustienne du souvenir, l’écrivain manie la magie des mots. Éloge de la mémoire en léger décalage. Il y a du Nabokov en Jean-Louis Kuffer, tant l’univers n’est rien pour l’un comme pour l’autre comparé à «un seul souvenir d’un individu et à son expression par des mots». Cela donne un recueil de textes brefs, où le lecteur est invité à emboîter le pas des phrases truculentes de Jean-Louis Kuffer pour rejoindre ici les chapeaux du grand-père et de l’écrivain Robert Walser, là les exotiques hauteurs lucernoises des années cinquante, ou encore un fumeux été 68, un spectateur atypique d’une gay pride, une épique et cruelle réunion littéraire sur un navire de la CGN, les paysages du Haut-Lac, Mlle Saligot à l’école, une peur érotico-freudienne du loup ou le «soliloque de Marcelin, l’ado-tramway». …Recréer l’instant, ce présent de légende, voilà ce goût immodéré pour l’écriture, pour les mots et les phrases, les plaisirs et les jours, quand «on est ici comme au bord du ciel, le dos à la forêt suspendue, à rêver à tous les bleus de là-bas». Dans l’universalité des petites légendes de Jean-Louis Kuffer, le présent s’affirme avec force. Le passé n’est que moyen de conjuguer ce souci de l’instant avec plus d’acuité. La lecture n’est donc pas là affaire de souvenir, mais d’imaginaire compréhension du présent. (…) Parce que, souligne Kuffer: «À un moment donné, plus rien ne compte qu’un certain bonheur de phrase.»
Lu par : Clelia Strambo
Durée : 3h. 43min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 77468
Résumé:Voici trente-deux proses brèves qui révèlent Robert Walser en homme-orchestre, capable d’illustrer le genre du feuilleton dans toute sa bigarrure et sa mobilité. Tour à tour chroniqueur, épistolier, penseur, paraphraseur, flâneur, conteur, il observe l’animation d’une gare, médite sur la montée des nationalismes, perce à jour la comédie humaine ou surprend une sulfureuse «buveuse de larmes». Léger, attentif, ce narrateur changeant n’est jamais où on l’attend. Sa fine ironie, sa lucidité ouvrent une brèche dans le quotidien. C’est là qu’il invite le lecteur à le rejoindre: «J’appartiens de toutes mes fibres au présent.»
Durée : 3h. 52min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 18321
Résumé:"Ces champs de ruines où je scrute de toutes mes forces, connue si une part de moi y était restée pétrifiée, meure si je n'étais pas née, comme si ces événements - l'avancée sournoise de la monstruosité sous couvert de normes et de lois - je les avais vécus de l'intérieur et que j'étais séparée de cette réalité-là par une plaque noircie au noir de fumée..."
Lu par : Claude Fissé
Durée : 51min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 20930
Résumé:Claude Reichler, ancien professeur à l'université de Lausanne, auteur d'ouvrages dans divers domaines, est connu comme historien de la littérature des voyages et des paysages alpins. Dans Vanil Noir, il revient sur un moment fondateur de son amour pour les Alpes, à la fois histoire de vie et mythe familial dont témoignent quelques photographies. Il en donne un récit dépouillé et poignant. En guise de postface, « Le Reliquaire » s'interroge sur le rôle de la photographie dans la mémoire familiale et le destin personnel.
Durée : 4h. 50min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 19941
Résumé:Le personnage s'était comme évanoui dans la nuit, comme si son nom avait été rayé de la distribution des rôles. Sans l'état civil et un document irréfutable parvenu jusqu'à moi par miracle, ce Livret de service établi par le bureau de recrutement de la Légion étrangère, dont j'aurais à tirer quelques enseignements, chacun de ses descendants eût été en droit de douter de son existence en qualité de pater familias. Après tout, tant de braves ?lles furent engrossées par des enjôleurs sans nom. Donc ce Voisard-là fut bel et bien. Mais qui était-il, notre grand-père des oubliettes? Dans le ?ou de sa légende, je le vois, moi, Voisard dit «Quéquan» de la troisième génération, je le vois qui me fait signe de sa pauvre lanterne parmi les brumes où il est censé avoir disparu, ces bruines acides des souvenirs que les vivants repoussent comme des mouches. Je le suis dans sa nuit où ­l'étoile du Berger lui aura de tout temps fait faux bond.
Durée : 54min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 19072
Résumé:Les Editions Zoé donnent aujourd'hui un reflet, dans la mesure où «La Légion étrangère» constitue un récit autobiographique. Glauser est né à Vienne en 1896. Il a fait partie des rares jeunes auteurs helvétiques à se frotter aux dadaïstes de Zurich. Le jeune homme est vite tombé dans la drogue, ce qui restait original à l'époque. D'où des larcins. Des emprisonnements. Des dépressions. Des tentatives de suicide. Un cycle infernal. Deux ans d'ennui. En 1921, Glauser entre à la Légion étrangère à Strasbourg. Le grand saut, ou ce qu'il croit tel. Il y passera deux ans. C'est la base d'un de ses romans, «Gourrama». «La Légion étrangère», qui restait inédit en français, en constitue l'envers biographique. Il n'y a rien là de sensationnel, alors même que la Légion faisait alors l'objet de multiples films d'aventures. La trame de ce livre très court, c'est l'ennui. Un ennui constant. Dispensé de marches pour raison de santé, l'Alémanique sera muté dans ce qu'on peut appeler l'administration. Il va y trafiquer sur les fournitures. On ne se refait pas. Glauser va parler des autres soldats, aussi dépourvus de pittoresque que lui. Son dernier chapitre s'intitule «Une fin peu romantique». Il se fait définitivement réformer. «On m'a démobilisé, avec cinq francs pour le voyage et un billet jusqu'à la frontière belge.» (http://www.tdg.ch)