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Le voyage

Genre littéraire: Essai/chronique/langage
Durée: 3h. 2min.
Édition: Marin-Neuchâtel, Ed. du Verbe, 1993
Numéro du livre: 6869
CDU: 844

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Lu par : Suzanne Bettens
Durée : 2h. 3min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 19757
Résumé:Je vais tenter de répondre à la question standard, la question fondamentale que posent aussi bien la critique, les distributeurs et les lecteurs : de quoi ça parle, vot'bouquin ? Euh ... c'est un essai ... autofictif ... à caractère pamphlétaire ... Non, ça ne le fait pas ; une telle étiquette est aussi vendeuse que la notice d'utilisation d'une boîte de suppositoires laxatifs. Avec « Tous les Etats de la mélancolie bourgeoise », j'ai tenté de faire le tour des mensonges doucereux dont notre société se berce, il s'agit de l'état des lieux d'une fable qui fait plaisir, la fable du calme bonheur bourgeois. Je suis allé chercher dans ma propre expérience un certains nombres d'épisodes et je les ai analysé à la lumière d'un petit événement, trois fois riens, une petite manipulation étalée dans la presse. Comme la maille défaite d'un tricot, j'ai tiré sur le fil et ai défait l'étoffe. (http://frevall.blogspot.ch)
Lu par : Pierre Biner
Durée : 3h. 36min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 15110
Résumé:
Lu par : Evelyne Rochat
Durée : 1h.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 15659
Résumé:Dans ce récit où le temps, la folie et la poésie ont leur part, une amitié apparaît. François Nourissier et Jacques Chessex sont liés depuis 48 ans par une singulière affection dans la liberté et la curiosité mutuelles. La Suisse, pays inattendu, y joue son rôle avec en arrière-fond une réflexion du travail et de la mort.
Lu par : Pierre Biner
Durée : 9h. 35min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 31535
Résumé:Soixante-douze proses pour Berlin, toutes parues dans le principal quotidien de la capitale, le Berliner Tageblatt : quatre d'entre elles en 1907 et 1908, toutes les autres entre 1925 et 1933, alors que Robert Walser vit à Berne. " Comme mes mots bondissent devant moi ! Mes petits mots sont des enfants qui jouent avec moi. " Walser écrit ici comme il se promène, dans une disponibilité tendre et joyeuse à la vie et à ses incitations. De là, la diversité des thèmes qu'il aborde à l'intention de ses lecteurs berlinois, avec une acuité souvent prémonitoire : les tourniquets de la violence et du raffinement, de la domination et de la soumission, le féminisme, la séduction, l'automobile, le cinéma, la lecture... Non pas en essayiste, bien sûr, mais en jongleur, grâce à la vitalité et à la vivacité d'une langue qui réveille le lecteur en pleine phrase, appelant à son sens des nuances et du paradoxe. Un insolite cortège de personnages déroule ses fastes ; on y reconnaîtra quelques doubles décalés de l'écrivain, tel ce Bavard taciturne et volubile, ou tel cet Enfant du bonheur qui ne laisse pas les bien-pensants en repos. Mais ces histoires qui n'en sont pas nous conduisent toujours ailleurs, c'est-à-dire à nous-mêmes.
Lu par : Jean Frey
Durée : 2h. 16min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 16685
Résumé:Cet ouvrage a été publié en 1926 avant d'être repris dans les oeuvres complètes éditées par les Trois collines... il est considéré comme le texte fondateur de la littérature de ce pays...
Lu par : Michel Bühler
Durée : 4h. 58min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 65826
Résumé:Un politicien bien ancré à droite me disait l’autre jour, entre condescendance et ironie: «Toi dont les convictions n’ont pas changé depuis notre jeunesse, tu n’en as pas marre d’être éternellement dans le camp des perdants? N’as-tu pas le sentiment de t’être trompé toute ta vie? » Sur le moment, je n’ai pas su quoi rétorquer. À la réflexion, voici ce que j’aurais dû répondre: «La première fois que j’ai manifesté, c’était pour marquer mon opposition à l’intervention américaine au Viêtnam. Tu nous traitais de gauchistes, d’ennemis de l’Occident et de la démocratie. Oserais-tu maintenant soutenir que cette guerre n’était pas une saloperie, inutile et cruelle? Entre nous: j’avais raison. Je me souviens d’un samedi à Kaiseraugst, là où tu voulais implanter une centrale nucléaire, indispensable au pays! Nous étions des milliers à dire non. Tu nous accusais de vouloir mettre à bas l’économie, nous étions de mauvais Suisses, des traîtres à la Patrie! Kaiseraugst ne s’est pas construite. Pourtant le pays n’est pas ruiné. J’avais raison. J’ai témoigné plus tard au procès d’un objecteur de conscience. Pour toi, ces idéalistes préparaient le lit des hordes barbares venues de l’Est, et s’apprêtaient à livrer nos femmes aux violeurs de toutes sortes. Maintenant, l’objection de conscience est admise, les convictions différentes respectées. Désolé mais, là aussi, j’avais raison… …La dernière fois que j’ai rejoint des protestataires, c’était pour suivre un cours de fauchage, pour être prêt au cas où Monsanto et toi-même parveniez à imposer les OGM dans nos champs. Il est un peu tôt pour juger, mais je crois hélas que le temps dira que j’ai eu raison. Cela dit, mon vieux, si tu as besoin de conseils, n’hésite pas à me rappeler!» Michel Bühler
Lu par : Veronica Gaskell
Durée : 3h. 1min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 71646
Résumé:Je vous écris aujourd’hui, Yaël et Léah, mes Petites Dames de hier et mes Dames d’aujourd’hui, vous qui venez d’avoir ou aurez bientôt vingt ans. Vous comme moi nous réjouissons de l’émergence d’un monde nouveau, dans lequel les femmes vont jouer un rôle plus grand encore que celui qu’elles jouent aujourd’hui et qu’elles ont joué depuis toujours. Aujourd’hui, en matière de relations amoureuses, de désir, de partage, nul modèle n’est imposable à chacune et chacun, et chacun et chacune doit pouvoir choisir sa manière d’aimer et de partager comme bon lui semble, et avec qui bon lui semble, de surcroît sans jugement ou moralisation. Vivre et laisser vivre, comme disent les Siciliens. Dans ce petit livre, il est question des femmes, des hommes, de la différence sexuelle. De l’importance du corps, du fantasme, du désir. De l’influence grandissante de la numérisation et du virtuel dans nos vies. Et de l’évolution des rôles de père et de mère. Tout ce qui s’est écrit ici résulte d’observations issues du cabinet d’une psychanalyste et m’a été dicté par une voix pure, qui m’a raconté des choses de première main et vraies, nul doute là-dessus croyez-moi. D’ailleurs jamais je n’aurais pu les inventer. Comment l’aurais-je pu? Le thème de ce petit livre, c’est tout simplement les femmes et les hommes, hier, aujourd’hui, demain.
Lu par : Jean Frey
Durée : 3h. 58min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 66033
Résumé:Jacques Chessex (1934 - 2009) est l’auteur d’une œuvre considérable. Romancier à succès, Prix Goncourt (L’Ogre, 1973), Prix Goncourt de la poésie (Allegria, 2004), Grand prix Jean-Giono (Le Vampire de Ropraz, 2007), il était autant un poète délicat qu’un nouvelliste subtil, un pamphlétaire redoutable qu’un épistolier savoureux. Entre mars 2000 et août 2001, il fut chaque quinzaine chroniqueur pour le newsmagazine de Suisse romande L’Hebdo. Au final, une trentaine de textes personnels, nés du mariage entre l’air du temps et l’intemporalité. D’une vivacité et d’une élégance d’écriture rares, ces chroniques, jamais encore rassemblées pour publication, évoquent son amour de la peinture, du jazz, de la littérature, du cinéma et quelques amitiés fortes. Parce qu’une chronique, «C’est justement le lieu où l’on dit «je» dans le temps qui passe».
Lu par : Michèle Quellet
Durée : 5h. 52min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 65004
Résumé:"Je décris dans cet essai sur les îles et les villes un projet de système politique issu de mes réflexions monomaniaques concernant la vie en société dans un Etat idéal – à tous les niveaux – que je refaçonne sans cesse. Convaincu que certaines idées peuvent être réalisées, je tiens à les éclaircir pour mieux les communiquer. Pour mieux m’en désapproprier. D’ailleurs, rien ne me fait plus plaisir de constater, parfois, que certaines de ces propositions que je croyais originales se concrétisent déjà dans l’actualité – ou l’ont été dans le passé. Alors, je me sens comme l’inventeur en spéléologie qui découvre une grotte préhistorique ; il n’a rien créé, il a trouvé. En fait, on n’invente jamais rien à partir de rien ; on déterre quelque chose qui existait sans qu’on le sache, que ce soit par ignorance personnelle ou générale. Puis on pousse plus loin la trouvaille pour voir où cela conduit. Hasard et nécessité dans l’univers en expansion. Bref, comprendre ou inventer (après avoir beaucoup tâtonné) c’est du pareil au même. Eurêka ! Tout en m’efforçant d’élaborer une pensée cohérente, je raconte par-ci par-là certains épisodes de mon parcours qui ont accompagné ces cogitations. Pour faire image par du vécu, car l’image fixe l’idée. Y a photos." (Michel Bory)
Lu par : Claude Fissé
Durée : 57min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 31537
Résumé:Lecteur presque omnivore, Robert Walser était séduit par le roman populaire, ses ficelles et ses maîtres, Stendhal, Balzac, Sue et Dumas. Sans être vraiment bilingue, mais ayant grandi à la frontière des langues, il les lisait en français. Plusieurs proses écrites à Berne à la fin des années 1920 s'inspirent de petits romans à l'eau de rose parus sous couverture illustrée. Walser lit assidûment ces brochures à deux sous, écrites et produites en série (collection « Le Petit Livre », chez Ferenczi): il s'interroge, résume, parodie, s'approprie leurs intrigues et se délecte de la moralité ambiguë de ces récits aux titres suggestifs. Ce Minizoé présente et commente trois de ces proses, dont l'une est inspirée par « Le Semeur de larmes », un roman signé Sim, un pseudonyme de Georges Simenon.
Lu par : Jean Perrenoud
Durée : 2h. 4min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 68479
Résumé:"On a souvent reproché à Balzac ses descriptions..."
Lu par : Madiana Roy
Durée : 1h. 49min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 65166
Résumé:Au fil du temps des saisons et des jours Rochat nous embobine de mots qui sentent l'herbe fraîche ou les foins, mots qui ont la saveur d'un fendant frais. Ces textes d'un ton chantant évoquent le vent, la neige, les bêtes et les gens, ceux d'en-haut comme d'en-bas et des femmes et du désir né de leur invocation mythique ou fantasmée. " Le paysage je me disais en me couvrant pour la nuit, le paysage est comme un bon lit dans lequel on se couche sur un matelas de calcaire et des draps en herbe des pâturages, nous qui avons eu la chance de parcourir le paysage des millions de fois en tracteur maintenant que les chevaux ne font plus que nous regarder. "