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Du pouvoir des vaudois ; suivi De l'usage du mot national

Résumé
Cet ouvrage a été publié en 1926 avant d'être repris dans les oeuvres complètes éditées par les Trois collines... il est considéré comme le texte fondateur de la littérature de ce pays...
Lu par : Jean Frey
Genre littéraire: Essai/chronique/langage
Durée: 2h. 16min.
Édition: Lausanne, Ed. de l'Aire, 2009
Numéro du livre: 16685
ISBN: 9782881089039
CDU: 844

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Lu par : Claude Fissé
Durée : 57min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 31537
Résumé:Lecteur presque omnivore, Robert Walser était séduit par le roman populaire, ses ficelles et ses maîtres, Stendhal, Balzac, Sue et Dumas. Sans être vraiment bilingue, mais ayant grandi à la frontière des langues, il les lisait en français. Plusieurs proses écrites à Berne à la fin des années 1920 s'inspirent de petits romans à l'eau de rose parus sous couverture illustrée. Walser lit assidûment ces brochures à deux sous, écrites et produites en série (collection « Le Petit Livre », chez Ferenczi): il s'interroge, résume, parodie, s'approprie leurs intrigues et se délecte de la moralité ambiguë de ces récits aux titres suggestifs. Ce Minizoé présente et commente trois de ces proses, dont l'une est inspirée par « Le Semeur de larmes », un roman signé Sim, un pseudonyme de Georges Simenon.
Lu par : Pierre Biner
Durée : 9h. 35min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 31535
Résumé:Soixante-douze proses pour Berlin, toutes parues dans le principal quotidien de la capitale, le Berliner Tageblatt : quatre d'entre elles en 1907 et 1908, toutes les autres entre 1925 et 1933, alors que Robert Walser vit à Berne. " Comme mes mots bondissent devant moi ! Mes petits mots sont des enfants qui jouent avec moi. " Walser écrit ici comme il se promène, dans une disponibilité tendre et joyeuse à la vie et à ses incitations. De là, la diversité des thèmes qu'il aborde à l'intention de ses lecteurs berlinois, avec une acuité souvent prémonitoire : les tourniquets de la violence et du raffinement, de la domination et de la soumission, le féminisme, la séduction, l'automobile, le cinéma, la lecture... Non pas en essayiste, bien sûr, mais en jongleur, grâce à la vitalité et à la vivacité d'une langue qui réveille le lecteur en pleine phrase, appelant à son sens des nuances et du paradoxe. Un insolite cortège de personnages déroule ses fastes ; on y reconnaîtra quelques doubles décalés de l'écrivain, tel ce Bavard taciturne et volubile, ou tel cet Enfant du bonheur qui ne laisse pas les bien-pensants en repos. Mais ces histoires qui n'en sont pas nous conduisent toujours ailleurs, c'est-à-dire à nous-mêmes.
Lu par : Madiana Roy
Durée : 1h. 49min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 65166
Résumé:Au fil du temps des saisons et des jours Rochat nous embobine de mots qui sentent l'herbe fraîche ou les foins, mots qui ont la saveur d'un fendant frais. Ces textes d'un ton chantant évoquent le vent, la neige, les bêtes et les gens, ceux d'en-haut comme d'en-bas et des femmes et du désir né de leur invocation mythique ou fantasmée. " Le paysage je me disais en me couvrant pour la nuit, le paysage est comme un bon lit dans lequel on se couche sur un matelas de calcaire et des draps en herbe des pâturages, nous qui avons eu la chance de parcourir le paysage des millions de fois en tracteur maintenant que les chevaux ne font plus que nous regarder. "
Lu par : André Cortessis
Durée : 12h. 55min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 33354
Résumé:Vivre, lire et écrire : cela peut être tout un. Ce triple mouvement fonde en tout cas le projet, la démarche et la forme kaléidoscopique de ces Lectures du monde, dont voici le quatrième volume publié après L'Ambassade du papillon,Les Passions partagées etRiches Heures. Sous la forme d'une vaste chronique étoilée touchant aux divers genres du carnet de bord et du reportage littéraire, de l'aphorisme et du trait satirique, du récit de voyage et du journal d'écrivain au travail, ce livre tient d'un roman «dicté par la vie », reflet vivant de la réalité telle que nous la percevons par les temps qui courent, profuse et chatoyante, contradictoire, voire chaotique. D'un séjour en Egypte à d'innombrables escales parisiennes à la rencontre des écrivains de partout (tels Albert Cossery, Ahmadou Kourouma, Jean d'Ormesson, Carlos Fuentes, Amos Oz, Nancy Huston et tant d'autres), de Salamanque à Amsterdam, d'Algarve à Toronto, le lecteur suit un parcours zigzaguant qui ramène à tout coup au lieu privilégié de La Désirade, sur les hauts du lac Léman, au bord du ciel et dans l'intimité lumineuse de la « bonne amie »
Lu par : Denise von Arx
Durée : 6h. 9min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 15036
Résumé:Quatrième de couv. : Si Lausanne ne fut jamais vraiment un haut lieu de littérature, la capitale vaudoise n'en a pas moins été, du Moyen Age à nos jours, le cadre d'une activité constante de l'édition et de la vie littéraire, avec des échappées sur l'Europe entière. Qualifiée de "petite Athènes du nord" au temps de Voltaire, notre ville vit naître au début du XXe siècle, avec C.F. Ramuz et les Cahiers vaudois, une littérature romande à part entière marquée par la triple influence de la Réforme, du romantisme allemand et du goût français. Les grandes aventures de La Guilde du Livre et de Rencontre, avant l'essor impressionnant de l'édition romande dans les années soixante, ont permis à plusieurs générations d'écrivains de s'exprimer et de trouver un public. Après une évocation de Lausanne à travers ce que les écrivains en ont écrit, un portrait caustique de l'âme romande, un bref apreçu de chaque époque et un hommage aux artisans et passeurs du livre, ces Impressions d'un lecteur à Lausanne invitent à la découverte plus détaillée des oeuvres contemporaines foisonnant à l'enseigne de la "seconde jeunesse" annoncée.
Lu par : Lucienne Villoz
Durée : 3h. 2min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
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Résumé:
Lu par : Pierre Biner
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Résumé:
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Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 18504
Résumé:Bureau des Assassinats est un recueil de textes écrits entre 2008 et 2010 — des «chroniques» qui ne relèvent d'aucuns genres codifiés tout en empruntant un peu à tous les genres — dont le fil conducteur consiste à éclairer des situations et des problématiques artistiques, politiques ou économiques actuelles en partant d'oeuvres littéraires et d'auteurs classiques. Ou l'actualité éclairée par la littérature, la littérature éclairée par l'actualité. Au travers de ses jumelles littéraires, l'auteur fait voir autrement ces années de crises financières qui ont secoué nos sociétés occidentales, privilégiant la mise en perspective et un point de vue décalé. L'art, la culture, et même le fait divers, y trouvent aussi leur place.
Lu par : Jean Frey
Durée : 3h. 58min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 66033
Résumé:Jacques Chessex (1934 - 2009) est l’auteur d’une œuvre considérable. Romancier à succès, Prix Goncourt (L’Ogre, 1973), Prix Goncourt de la poésie (Allegria, 2004), Grand prix Jean-Giono (Le Vampire de Ropraz, 2007), il était autant un poète délicat qu’un nouvelliste subtil, un pamphlétaire redoutable qu’un épistolier savoureux. Entre mars 2000 et août 2001, il fut chaque quinzaine chroniqueur pour le newsmagazine de Suisse romande L’Hebdo. Au final, une trentaine de textes personnels, nés du mariage entre l’air du temps et l’intemporalité. D’une vivacité et d’une élégance d’écriture rares, ces chroniques, jamais encore rassemblées pour publication, évoquent son amour de la peinture, du jazz, de la littérature, du cinéma et quelques amitiés fortes. Parce qu’une chronique, «C’est justement le lieu où l’on dit «je» dans le temps qui passe».
Lu par : Michel Bühler
Durée : 4h. 58min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 65826
Résumé:Un politicien bien ancré à droite me disait l’autre jour, entre condescendance et ironie: «Toi dont les convictions n’ont pas changé depuis notre jeunesse, tu n’en as pas marre d’être éternellement dans le camp des perdants? N’as-tu pas le sentiment de t’être trompé toute ta vie? » Sur le moment, je n’ai pas su quoi rétorquer. À la réflexion, voici ce que j’aurais dû répondre: «La première fois que j’ai manifesté, c’était pour marquer mon opposition à l’intervention américaine au Viêtnam. Tu nous traitais de gauchistes, d’ennemis de l’Occident et de la démocratie. Oserais-tu maintenant soutenir que cette guerre n’était pas une saloperie, inutile et cruelle? Entre nous: j’avais raison. Je me souviens d’un samedi à Kaiseraugst, là où tu voulais implanter une centrale nucléaire, indispensable au pays! Nous étions des milliers à dire non. Tu nous accusais de vouloir mettre à bas l’économie, nous étions de mauvais Suisses, des traîtres à la Patrie! Kaiseraugst ne s’est pas construite. Pourtant le pays n’est pas ruiné. J’avais raison. J’ai témoigné plus tard au procès d’un objecteur de conscience. Pour toi, ces idéalistes préparaient le lit des hordes barbares venues de l’Est, et s’apprêtaient à livrer nos femmes aux violeurs de toutes sortes. Maintenant, l’objection de conscience est admise, les convictions différentes respectées. Désolé mais, là aussi, j’avais raison… …La dernière fois que j’ai rejoint des protestataires, c’était pour suivre un cours de fauchage, pour être prêt au cas où Monsanto et toi-même parveniez à imposer les OGM dans nos champs. Il est un peu tôt pour juger, mais je crois hélas que le temps dira que j’ai eu raison. Cela dit, mon vieux, si tu as besoin de conseils, n’hésite pas à me rappeler!» Michel Bühler
Durée : 2h. 32min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 36737
Résumé:Entre la vie d’Aga et celle d’Alix, il y a près de 6 000 ans, quelque deux cent cinquante générations: d’un côté, le temps, déjà fort lointain, du premier village, créé par une aveugle imaginant l’avenir au bord d’un lac amoureux des montagnes; et, de l’autre, le temps actuel d’une planète de plus en plus globalisée qui, à force de fracas, devient sourde à la nature. Entre ces deux vies, il y a aussi des traits d’union, des échos que l’on peut entendre si l’on écoute avec le cœur, qui résonnent – du Jura aux Alpes, mais aussi dans les villes et les océans, et même sur une île bretonne aux oiseaux – pour transporter les valeurs de fidélité et de liberté ; qui montrent enfin que la clé de l’avenir du monde et des êtres humains réside dans la capacité de conjuguer les différences. Comme on le fait là ou lac et montagne se parlent.
Lu par : Michèle Quellet
Durée : 5h. 52min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 65004
Résumé:"Je décris dans cet essai sur les îles et les villes un projet de système politique issu de mes réflexions monomaniaques concernant la vie en société dans un Etat idéal – à tous les niveaux – que je refaçonne sans cesse. Convaincu que certaines idées peuvent être réalisées, je tiens à les éclaircir pour mieux les communiquer. Pour mieux m’en désapproprier. D’ailleurs, rien ne me fait plus plaisir de constater, parfois, que certaines de ces propositions que je croyais originales se concrétisent déjà dans l’actualité – ou l’ont été dans le passé. Alors, je me sens comme l’inventeur en spéléologie qui découvre une grotte préhistorique ; il n’a rien créé, il a trouvé. En fait, on n’invente jamais rien à partir de rien ; on déterre quelque chose qui existait sans qu’on le sache, que ce soit par ignorance personnelle ou générale. Puis on pousse plus loin la trouvaille pour voir où cela conduit. Hasard et nécessité dans l’univers en expansion. Bref, comprendre ou inventer (après avoir beaucoup tâtonné) c’est du pareil au même. Eurêka ! Tout en m’efforçant d’élaborer une pensée cohérente, je raconte par-ci par-là certains épisodes de mon parcours qui ont accompagné ces cogitations. Pour faire image par du vécu, car l’image fixe l’idée. Y a photos." (Michel Bory)