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Journal d'un mâle poli: mars 2016-juin 2017

Résumé
Longtemps, je me suis couché si tard, sans lire Proust... Mais, il m'est arrivé de coucher, ou de faire l'amour, avec des femmes singulières exerçant des métiers rares, de dormir seul, ou accompagné de mes doutes, donc j'écris dès le réveil. Alors il est là, l'homme qui vous écrit aujourd'hui, sexy, intelligent, comme aucun homme ne parvient à parler. Et sans doute comme toutes les femmes voudraient le lire. Surtout modeste. Je suis un mâle, je suis poli, je rêvais d'écrire à la suite de Simone de Beauvoir Le Troisième sexe. Sans doute n'en sommes nous pas si loin. Le Journal d'un mâle poli a été ma résurrection. Sans lui, je serai mort... À travers son journal quotidien, tenu durant plus d'une année, l'auteur croque notre société, hommes, femmes, Paris et ses fenêtres à la recherche du temps retrouvé, un Paname dandy et décalé, à travers différents portraits.
Genre littéraire: Essai/chronique/langage
Durée: 15h.
Édition: Paris, Editions Erick Bonnier, 2017
Numéro du livre: 66841
ISBN: 9782367601007
CDU: 8

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Résumé:Les Journaux de Kafka : voici, enfin, la première traduction intégrale en français des 12 cahiers, écrits de 1910 à 1922, que cette édition reproduit à l'identique, sans coupes et sans censure, en rétablissant l'ordre chronologique original. La traduction de Robert Kahn se tient au plus près de l'écriture de Kafka, de sa rythmique, de sa précision et sécheresse, laissant "résonner dans la langue d'arrivée l'écho de l'original". Elle s'inscrit à la suite de ses autres retraductions de Kafka publiées aux éditions Nous, A Milena (2015) et Derniers cahiers (2017). Les Journaux de Kafka, toujours surprenants, sont le lieu d'une écriture lucide et inquiète où se mêlent intime et dehors, humour et noirceur, visions du jour et scènes de rêves, où se succèdent notes autobiographiques, récits de voyages et de rencontres, énoncés lapidaires, ainsi qu'esquisses et fragments narratifs plus longs. Dans ce battement entre vie écrite par éclats et soudaines amorces fictionnelles, les Journaux se révèlent être le coeur de l'oeuvre de Kafka : le lieu où les frontières entre la vie et l'oeuvre s'évanouissent. Il est plus clair que n'importe quoi d'autre que, attaqué sur la droite et sur la gauche par de très puissants ennemis, je ne puisse m'échapper ni à droite ni à gauche, seulement en avant animal affamé le chemin mène à une nourriture mangeable, à de l'air respirable, à une vie libre, même si c'est derrière la vie.
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