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Kadhafi, le foot et moi

Résumé
Début des années 1980. Dans une ville de Turin dominée par la Fiat et la personnalité de son dirigeant, à l'époque des Brigades rouges, Giovanni Oddone, petit dealer et demi maquereau, est arrêté à la suite d'un imbroglio qui lui vaut d'être accusé de terrorisme. Au fond de sa prison, il monte une arnaque grandiose impliquant la Fiat, la Toro (une équipe de football turinoise) et Kadhafi.
Genre littéraire: Policier/épouvante
Mots-clés: Roman POLICIER
Durée: 9h. 7min.
Édition: Paris, Métailié, 2017
Numéro du livre: 36460
ISBN: 9791022601757
Collection(s): Bibliothèque italienne,

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Durée : 15h. 39min.
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Numéro du livre : 33181
Résumé:Non loin de Rome, un homme affolé tente d'arrêter les voitures. Son fils de huit ans a disparu et le corps de sa femme gît, décapité, au fond d'une clairière. Le commissaire Colombo Caselli ne croit pas à l'hypothèse du drame familial et fait appel à un expert en disparitions de personnes : Dante Torre. Kidnappé enfant, il a grandi enfermé dans un silo à grains avant de parvenir à s'échapper. Pendant des années, son seul contact avec l'extérieur a été son mystérieux geôlier, qu'il appelle "le Père". Colombo va confronter Dante à son pire cauchemar : dans cette affaire, il reconnaît la signature de ce Père jamais identifié, jamais arrêté...
Durée : 17h. 46min.
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Résumé:Derrière la beauté bouleversante de la Nymphe endormie se cache l'horreur : au lieu de peinture, l'artiste a peint le tableau avec du sang. Voilà ce qui lance le commissaire Teresa Battaglia sur la piste d'un meurtre commis soixante-dix ans plus tôt, dans les derniers jours de la Seconde Guerre mondiale. Une enquête où il n'y a ni corps ni scène de crime, ni suspect ni témoin. Rien qu'une trace génétique que Teresa remonte jusqu'à une vallée isolée et mystérieuse du nord de l'Italie : le Val Resia. Après avoir marché sur le toit de l'enfer, Teresa doit percer le secret du sommeil de la Nymphe
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Lu par : Vonny Dufossé
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Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 23868
Résumé:Une ville au bord de la mer qui fait penser à Gênes, une obscure affaire de meurtre avec un cadavre anonyme, et un homme qui de sa propre initiative décide d'en découvrir l'identité. Mais Spino, l'employé de la morgue devenu détective, ne s'en tient pas aux apparences, il s'attache à d'autres signes ou indices d'un mystère qui échappe sans cesse. Des hypothèses se forment, on devine certaines activités clandestines, peut-être liées au terrorisme, ou à autre chose. L'enquête progresse, elle devrait atteindre son objectif, mais celui-ci, tel le fil de l'horizon, semble toujours s'éloigner dès qu'on s'en approche. Comme un rendez-vous manqué. Comme un rendez-vous avec soi-même. " Tout n'est que ténèbres, il faut avancer à tâtons ", dit Spino. Reste la capacité à rire de tout cela. Cet inoubliable roman faussement policier se construit comme une énigme qui est aussi une interrogation sur le sens des choses, sur le sens d'une vie.
Lu par : Anne Salem-Marin
Durée : 58min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 6353
Résumé:Tout commence la veille de la Saint-Joseph en pleine campagne sicilienne. Un cadavre est retrouvé dans une maison abandonnée. S'agit-il d'un meurtre maquillé en suicide ? Des personnages ambigus, des indices superficiels viennent noircir une histoire qui semble cacher autre chose. L'ombre oppressante de la Mafia et de la drogue plane sur ce polar sicilien qui prend secrètement des allures de combat. Admirateur insatiable de Pirandello, Stendhal et D'Annunzio, toujours porté par une manifeste volupté d'écrire, Leonardo Sciascia s'est joué des genres avec brio pour mieux interroger l'histoire et l'actualité. Et en dénoncer les aberrations.
Lu par : Anne Salem-Marin
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Genre littéraire : Policier/épouvante
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Résumé:Les coups de feu, il les entendit, lui sembla-t-il, dans un temps incommensurablement antérieur à l'instant où il se sentit touché. Il tomba en pensant : on tombe par précaution et par convention. Il pensait pouvoir se relever, mais il n'y réussit pas. Il se souleva sur un coude. La vie s'en allait, fluide, légère ; la douleur avait disparu. Au diable la morphine, pensa-t-il. Et tout était clair, à présent : Rieti avait été abattu parce qu'il avait parlé avec lui... Une mystérieuse association subversive, des crimes inexpliqués, et l'enquête d'un commissaire de police amoureux de la gravure de Dürer, Le Chevalier, la Mort et le Diable. Ce récit est l'un des derniers textes écrits par Sciascia : derrière l'intrigue policière serrée et l'atmosphère étouffante du "thriller", on devine comme une désespérance. Leçon : le Diable n'a plus besoin de s'occuper du monde, les hommes le font pour lui et réussissent parfaitement dans cet emploi.
Lu par : Bertrand Baumann
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Genre littéraire : Policier/épouvante
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Résumé:La Disparition de Majorana évoque un fait réel survenu en 1938 en Italie, pendant le fascisme : un jeune savant sicilien particulièrement doué, très avancé dans des recherches de physique nucléaire, disparaît mystérieusement. La police conclut au suicide. Sciascia reprend toutes les données de l'affaire et conduit pas à pas le lecteur vers une autre hypothèse, extrêmement troublante.
Lu par : Bertrand Baumann
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Genre littéraire : Policier/épouvante
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Résumé:« Jules César Vanini, qui fut brûlé comme hérétique, reconnaissait la grandeur de Dieu dans la contemplation d'une motte de terre ; d'autres dans celle du firmament. Moi, c'est dans l'imbécillité que je la reconnais : il n'est rien de plus profond, de plus abyssal, de plus vertigineux, de plus inaccessible... Sauf qu'il ne faut pas trop contempler... ».
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Genre littéraire : Policier/épouvante
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Résumé:Naples. Lors d'un été étouffant, l'équipe du commissaire Palma, alias les Salauds de Pizzofalcone, est chargée de l'enquête sur l'enlèvement de Dodo Borelli, 9 ans, petit-fils d'un puissant entrepreneur napolitain ne manquant pas d'ennemis, ainsi que sur un cambriolage douteux qui pourrait dissimuler un crime pire encore.
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Genre littéraire : Policier/épouvante
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Résumé:Présentation de l'éditeur : Ce que nous savons depuis toujours apparaît à première vue comme un thriller, une nouvelle enquête menée par le juge Salvatore Corona - celui de Un silence de fer et de Plutôt mourir - et le commissaire Sanuti (ce dernier un peu dépaysé car il vient de débarquer du continent et a du mal à se faire aux us et coutumes sardes), aidés en coulisse par le maréchal à la retraite, Nicola Pili, fin connaisseur de tous les secrets de la région de Nuoro, cet arrière-pays sarde qui sert de décor à presque tous les romans de Fois. Le cadavre de Michele Mariongiù est retrouvé, couvert de sang, la veste criblée de balles, sur le chantier d'un immeuble en construction. Le frère aîné de la victime, un vétérinaire, est mort par suicide quelques années auparavant; son frère cadet, Raffaele, qui a des précédents judiciaires, est interrogé. Chez la veuve de la victime, Maddalena, on retrouve les restes calcinés d'un document. La mère du défunt, Mariangela, semble avoir perdu la tête; une femme d'environ 40 ans (entrée à son service à l'âge de 10 ans), Palmira, s'occupe d'elle. Tels sont les éléments sur lesquels les enquêteurs peuvent se baser. Mais les choses ne vont pas tarder à se compliquer. Sur le lieu du crime, aucune trace de balles, aucune empreinte. Or, pendant que la police scientifique travaille sur le document calciné, le médecin légiste, Osvaldo Pintus, découvre que le sang qui imprègne les vêtements du cadavre est du sang de cochon, et que la veste qu'il porte appartient à un autre mort (enterré depuis un certain temps, selon eux). En outre, un vieillard raconte avoir entendu des pelleteuses travailler jusqu'à une heure du matin sur le chantier, la nuit du crime. Un peu plus tard, une disquette parvient au procureur de Nuoro : elle contient la comptabilité d'un éleveur du pays, Francesco Lilliu : avec la complicité d'un vétérinaire, l'homme a profité frauduleusement de subventions de la Communauté européenne, en déclarant que son bétail était atteint d'une épidémie de fièvre porcine. Le juge Corona comprend bientôt que les deux affaires sont liées. En effet, le chantier sur lequel a été retrouvé Michele Marongiù appartient à l'éleveur et à son frère adoptif, Mauro Mele. Mais ce n'est pas tout : la veste du mort appartenait à Cosimo Mele (le frère aîné de Mauro) assassiné avec toute sa famille (à l'exception du petit Mauro, âgé de 10 ans) le jour de son mariage par les frères de la jeune femme qui était enceinte de lui. La jeune femme d'alors est la vieille Mariangela Mariongiù d'aujourd'hui. Chercher la femme, donc. Le juge et le commissaire finiront par établir une vérité, qui n'est peut-être pas décisive, car la vérité ne l'est jamais, conclut l'auteur. Découvrant que son mari, Michele, avait une liaison avec Palmira, qui attendait un enfant de lui (le document calciné, trouvé à son domicile, était justement le résultat d'une analyse sanguine stipulant qu'elle était enceinte), Maddalena Mariongiù l'a étranglé. Elle a ensuite demandé son aide à sa belle-mère, Mariangela, qui lui a fourni la veste de son ancien amant. Avec l'aide de Raffaele, les deux femmes ont emporté le cadavre sur le chantier et ont organisé la mise en scène. On soupçonne Mauro Mele d'avoir voulu mouiller Francesco Lilliu, lassé de couvrir son comportement malhonnête.
Lu par : Bernard Delannoy
Durée : 4h. 6min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 13229
Résumé:Quatrième de couverture : un brave pharmacien d'une petite ville de Sicile est assassiné au cours d'une partie de chasse, ainsi que son compagnon le docteur Roscio. Un ami du docteur, le professeur Laurana, n'aura de cesse qu'il n'ait découvert l'auteur et les mobiles du crime - qui ne vise en fait que le seul Roscio...
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Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 3529
Résumé:Vous êtes un parfait couple moyen milanais : l'avocat Maggioni et sa femme Valeria, en route dans une voiture moyenne pour Sienne. Survient un formidable orage : des chevaux passent dans la brume, Madame reconnaît la route qu'il faut prendre à gauche et se trompe d'embranchement ; vous voici débarquant dans une villa luxueuse où des Siennois raffinés, doublés de deux serviteurs philippins, vous abritent. C'est là l'enclenchement de l'engrenage. Qui explique que trois jours plus tard, pour la grande course du Palio, vous, Monsieur, vous trouviez à une fenêtre en compagnie de la trop jolie et trop jeune Ginevra ; cependant que vous, Madame, observez la course d'une autre fenêtre, appuyée à l'épaule du don Juan Guidobaldo. Vous observez la course, mais, à vrai dire, chacun épie surtout l'autre. Et c'est bien autre chose encore que vous êtes là à attendre, à tenter de comprendre. Qui donc est le jockey Puddu, sorte de gnome grossier et triomphal, qui vous a mordue très incongrûment, Madame ? Et qu'est-ce que ce mort trouvé dans la villa, une vipère autour du cou ? Et qu'est-ce que cette histoire embrouillée du Palio disputé par dix-sept contrade (quartiers) cependant que six contrade "mortes" n'ont plus le droit de courir ? Et quel rapport entre toutes ces contrade et les habitants de la villa ?