Les tactiles et moi: abstracts sonores de la journée du 3 décembre 2011
Résumé
Abstracts sonores de la journée d'étude "Les tactiles et moi" du 3 décembre 2011 organisée conjointement par l'Association Valentin Haüy et Handicapzéro.
Pas disponible en CD.
Genre littéraire:
Essai/chronique/langage
Durée:
2h. 55min.
Édition:
Paris, Association Valentin Haüy, 2012
Numéro du livre:
25939
Produit par:
Association Valentin Haüy
CDU:
616.7
Documents similaires
Lu par : Maité Casadebaig
Durée : 3h. 33min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 79346
Résumé:Une sélection d'extraits issus de l'Histoire de ma vie dans lesquels Casanova fait le récit de sa rencontre avec Voltaire. Les deux hommes débattent de l'actualité littéraire, politique et philosophique de l'année 1760.
Lu par : Françoise Seiller
Durée : 3h. 13min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 37310
Résumé:Réflexions sur la capacité à se souvenir des sensations et des moments heureux qui font la richesse de la vie. Françoise Héritier se confie et nous fait partager son amour des mots et son goût de vivre.
Le Jardin des piqûres: vision d'un centenaire sur sa vie, le siècle écoulé et les jours qui restent
Lamunière, Marc
Lu par : Janick Quenet
Durée : 6h. 43min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 70368
Résumé:L’ancien patron de presse livre «le vécu et l’expérience d’un centenaire, qui est allé jusqu’au bout de la route» et aussi la sagesse d’une vie de lectures et de réflexions. Il a étudié les philosophes et le bouddhisme et sait avec Spinoza qu’«on ne peut méditer que sur la vie elle-même. Inutile, donc, de se préparer à mourir, mais on peut s’exercer à la vie, à la rendre plus claire, directe, plus utile et généreuse». Il porte à la langue et au style l’attention particulière qui, selon le critique J.-L. Kuffer, fait de ses écrits «un mélange d’épicurisme souriant et de désenchantement indulgent, de flegme frotté de cynisme et de bonhomie… un vrai bonheur d’écriture et de narration».
Lu par : Vincent Larger
Durée : 1h. 25min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 70835
Résumé:Un monologue intransigeant dans lequel l'auteur se raconte, de l'histoire de ses grands-parents qui ont échappé aux rafles du Vel d'Hiv aux voix enregistrées dans le métro en passant par un cadeau de Noël décevant ou des femmes qu'il n'a pas réussi à aimer.
Lu par : Agnès Baron
Durée : 5h. 48min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 67957
Résumé:Des sentiments furtifs, des instantanés, des coups de coeur et des coups de gueule du musicien chanteur. "Tous les jours, ou presque, j’aime quelque chose ou quelqu’un, un instant, une lumière, un objet, un regard, une blague ou une caresse. Presque tous les jours, je déteste un sabotage, un frein, une complaisance ou un microbe."
Lu par : Bertrand Baumann
Durée : 2h. 31min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 39282
Résumé:En l'an 8 après J.-C., Ovide est exilé par Auguste à Tomis, l'actuelle Constantza en Roumanie, au bord de la mer Noire. Il quitte Rome en emportant ses biens. Il se sait perdu... Il ne reviendra plus jamais parmi les siens. La tristesse et la solitude abrègeront sa vie. "J'ai l'impression en lisant Les Tristes et Les Pontiques qu'Ovide s'adresse à moi et, souvent, j'ai le désir de le consoler. Je souffre avec lui du même éloignement, de la même douleur maintenant que je suis seul en France. J'ai ressenti aussi cette même peine en Algérie comme si la patrie ne faisait rien à l'affaire. On peut ainsi être exilé deux fois, chez soi et chez les autres." En évoquant, dans cette promenade littéraire, les raisons qui ont forcé Ovide à quitter Rome, l'auteur réfléchit à la condition de l'homme exilé et à celle de nombreux écrivains ballotés par l'Histoire. Sont ainsi esquissés les portraits sensibles de Stefan Zweig, Thomas Mann ou Fernando Pessoa, exilés emblématiques qui accompagnent l'écrivain dans sa quête d'un lieu où vivre et mourir.
Lu par : Laurence CENEDESE
Durée : 4h. 40min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 22349
Résumé:L'étude des différentes manières de ne pas lire un livre, des situations délicates où l'on se retrouve quand il faut en parler et des moyens à mettre en oeuvre pour se sortir d'affaire montre que, contrairement aux idées reçues, il est tout à fait possible d'avoir un échange passionnant à propos d'un livre que l'on n'a pas lu, y compris, et peut-être surtout, avec quelqu'un qui ne l'a pas lu non plus.
Lu par : Christine Pessin
Durée : 5h. 9min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 25287
Résumé:«En photographie, l'instantané est le contraire de la pose. Les auteurs dont j'ai saisi ici quelques instantanés ne posent pas. Il ne s'agit ni de biographie ni d'études de leurs œuvres. Simplement du souvenir que je garde d'eux. On reverra Dominique Aury entourée de ses animaux favoris, Albert Camus à Combat, Julio Cortázar, aussi insolite dans sa vie que dans ses nouvelles, Gaston Gallimard quant il était un jeune homme fou de littérature, Romain Gary mon voisin de la rue du Bac, Ionesco de retour en Mayenne, son pays d'enfance, Raymond Queneau tenant dans ses bras sa petite chienne tibétaine. Claude Roy sur le pont des Arts. Et l'on entendra de nouvelles paroles de Prévert. Vingt-cinq portraits. Tous ceux dont je parle ici, ou presque tous, je les ai connus personnellement. Et je continue à penser à eux, toujours avec sympathie et, pour quelques-uns, avec affection.»
Lu par : Camille Croset
Durée : 4h. 2min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 35154
Résumé:La Havane que vous découvrirez au fil de ces pages est celle que j'ai connue, celle de mes aventures, mais aussi celle de mes lectures, de mes écrivains de prédilection et de mes fantômes – des fantômes que j'ai choisis, ou de ceux qui m'ont choisie. C'est La Havane de ma mère, et en l'absence de ma mère, La Havane est devenue ma mère, une mère lointaine et à jamais regrettée. C'est La Havane bagarreuse et bambollera (tapageuse) de mon père. La Havane particulièrement fervente et joyeuse de ma grand-mère. La Havane de ma génération, née – année fatidique – en 1959. La Havane de la pénurie et du désarroi, la ville de la fête et celle des sévices. La ville des évasions, des rencontres et des retrouvailles provoquées. La ville bordée par la mer, tour à tour d'or ou d'argent, […]. La ville des infortunes, des persécutions, des crimes passés sous silence, des vols quotidiens que l'on commet pour survivre. La ville des grands amours et des orageuses déceptions, des passions, de la douleur, du souvenir, de l'oubli... J'ai recréé les mystères de cette ville, ceux qui m'ont séduite, en les mêlant à des êtres et des situations de fiction, nés de l'imaginaire populaire ou de ma propre invention.
Lu par : Marianne Pernet
Durée : 7h. 36min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 16657
Résumé:En moins de trois décennies, de nombreux changements sont intervenus dans le domaine des valeurs, de la science, de l'économie, des religions, de la politique. Regard sur la modernité, qui est celle d'un univers mondialisé, et sur la confusion des valeurs. A travers ses lectures et son analyse de l'actualité, J.-C. Guillebaud introduit un questionnement centré sur l'homme. Jean-Claude Guillebaud nous aide à arpenter cette modernité foisonnante, pleine d'incertitudes et de surprises. Bien plus, il introduit un questionnement où l'homme garde toute sa place. Faut-il se résigner au cynisme de l'économie libérale, à la violence qui marque nos sociétés ? Globalisation rime-t-elle avec choc des civilisations ?
Lu par : Manon
Durée : 7h. 25min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 28438
Résumé:A partir de confidences, bons mots et anecdotes, la journaliste politique brosse le portrait de F. Hollande entre cruauté et indulgence, et analyse les évolutions du personnage public et privé depuis son élection à la présidence de la République.
Lu par : Brigitte Bahurelv
Durée : 1h. 27min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 27101
Résumé:Epicurien et jouisseur, Pierre Arditi est, depuis toujours, amateur de bonne chère et de bons mots. Aussi était-il le candidat idéal pour présenter cette anthologie des pensées les plus drôles consacrées à la gastronomie et au bien vivre. Nombre d'auteurs ont en effet rivalisé d'esprit à travers les siècles pour nous vanter les plaisirs de la table, de Voltaire à Jean Yanne, en passant par Alphonse Allais, Frédéric Dard, Jacques Prévert, Claude Chabrol ou encore Jim Harrison et Alfred Hitchcock. "Toutes ces éminentes personnalités, écrit Pierre Arditi, se font une joie de nous rappeler que la bonne chair, la bonne bouffe, le joli casse-dalle, le petit coup sur le bord du zinc, bref ce plaisir que nous prenons à nous faire plaisir, n'est non seulement pas condamnable, mais chaudement recommandé, jusqu'à la seconde même où ce plaisir nous transforme en poètes de nous-mêmes, en titilleurs d'imaginaire, en compagnons de jeu que seule réunit la volonté de rire de nous avant d'être obligé de nous taire".