Contenu

Be-Bop: roman

Résumé
Un jeune joueur d'alto, Basile Lorettu, qui joue comme Charlie Parker, car, pense-t-il " il vaut mieux copier un très grand comme Charlie, plutôt que d'essayer d'être un grand [soi]-même sans y arriver ", se réveille un matin, joue du sax un moment, se rase, se coupe en se rasant, achète le journal, prend du café chez Fernand, se promène et s'assied sur un banc, pense à Cécile, lit les petites annonces, trouve du travail, tout cela en deux temps trois mouvements ou plutôt en trois temps puisque c'est le rythme adopté par la vie du personnage comme par le roman.
Durée: 3h. 56min.
Édition: Paris, Ed. de Minuit, 2002
Numéro du livre: 19252
ISBN: 9782707317759
Collection(s): Double

Documents similaires

Durée:2h. 58min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:18425
Résumé: Une nuit alors qu'il est au lit dans le noir et somnole la radio allumée, la musique de Mozart s'insinue dans la chambre et le réveille. L'émotion est si forte qu'il a peur de la perdre, de ne jamais pouvoir la revivre. Il se procure différents enregistrements de l'oeuvre, les écoute, mais chaque fois quelque chose manque, il ne retrouve pas le plaisir de cette nuit-là. Puis un jour il apprend que le concerto va être donné à Paris. Il décide de s'y rendre.
Durée:3h. 7min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:35516
Résumé: Un homme roule sur une route de campagne. Il rentre chez lui. Il est presque rendu. C'eût été trop simple : une voiture arrive en face, c'est celle de son ami Lucien, mais quand il la croise, Lucien n'est pas à l'intérieur, c'est une femme qui conduit, une inconnue au visage flou, dominé par le rouge. Qui est-elle ? Et Lucien, où est-il ? Et ce rouge, qu'est-ce que c'est ? Du rouge à lèvres ? De la confiture ? Du sang ? On dirait des peintures de guerre.
Lu par:Henri Duboule
Durée:3h. 8min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:13548
Résumé: Paul Cédrat est compositeur de musique contemporaine. Ce soir, il se trouve à Zurich pour assister à une représentation lors de laquelle une de ses oeuvres va être jouée par un célèbre quatuor de musiciens. Son quatuor à cordes, opus 12 passera entre un opus de Haydn et un autre de Beethoven mais sera chahuté par un public non réceptif à cette musique par trop lugubre et répétitive. Lecture cruelle que celle de ce compositeur et son oeuvre rejeté par un public. Mais un autre hic perturbe Paul Cédrat. Depuis trois mois, il sait qu'il va mourir. Et, dès la représentation terminée, Paul rejoint sa villa de la côte bretonne afin de vivre ses derniers moments. Non sans avoir enjoint à sa femme Lucie, son amour de toujours, de partir, pour ne pas avoir à vivre elle aussi la rapide agonie. Paul a décidé de se retirer du monde. Dans cette villa au bord de la mer, repère de ses souvenirs et de se amours avec Lucie, il va découvrir tout une dernière fois avant de refermer le "grand livre" de la vie : les teintes de la villa, les parfums, les bruits de la mer,.... Dans cette villa, Paul Cédrat va peut-être même connaître son dernier amour.... Inutile d'en dire plus....
Durée:4h. 21min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:18599
Résumé: Le début d'une histoire d'amour est toujours hasardeux. Une belle jeune femme au regard triste et omniscient est victime d'un incident banal : le vol de son sac à main. Un homme vieillissant se baisse pour ramasser un portefeuille sur le parking d'un supermarché. Ces deux événements vont provoquer une collision : celle de deux personnes qui n'avaient aucune chance de se rencontrer. On retrouve là l'un des ressorts dramatiques chers à Christian Gailly. L'idée d'une course asymptotique dans laquelle sont engagés un homme et une femme qui se frôlent pour mieux s'éloigner. Cette fois, pourtant, le destin de Marguerite Muir - dentiste et pilote de Spitfire - et de Georges Palet - la soixantaine oisive, replié sur un lourd secret - sera irrémédiablement commun et aérien, à la faveur d'un entrebâillement incongru. Comme une éducation sentimentale trop tardive, la folie amoureuse qui prend ces deux-là est vouée au désastre. Leur improbable rencontre, puis la force de leur attraction constituent le noeud d'une histoire dont le vol serait le tempo majeur, l'argument, la tonalité.
Durée:4h. 17min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:24227
Résumé: Braine vient de passer trois mois dans un hôpital militaire. Il a été gravement commotionné. Il peut de nouveau dire, lire et écrire son nom. Il va rentrer à la maison. Lily l'attend. Il est de retour. Il arrive. Souhaitons-leur de vivre enfin heureux.
Durée:3h. 30min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:21305
Résumé: L'histoire est classique du buveur désintoxiqué qui, après des années d'absolue sobriété, s'autorise soudain un petit verre. Juste un petit verre. Et replonge. A fond. Mais l'on ne se soûle pas que d'alcool. Parfois on ne retombe que pour mieux ressusciter. Retourner à son vice, à son démon - à son art - ouvre de somptueux vertiges, interdits aux repentis. Voyez Simon Nardis, le nouveau personnage de Christian Gailly. Il a suffi d'un soir au club, un petit club de province, pour qu'il se remette à la vodka... et au jazz. Dix ans plus tôt, pianiste renommé, il avait abandonné pour " raisons de santé ". Il était devenu bon mari, bon père, bon spécialiste du chauffage industriel, n'écoutant plus que de la musique classique : " A défaut de swing il se gavait de beauté. " Ayant une heure à tuer avant de rentrer chez lui par le train, il accompagne dans le club un ingénieur dont il vient de dépanner l'usine. Et, d'entrée, il est secoué. Dans l'excellente façon de jouer des trois jeunes musiciens américains, il reconnaît... son style. Un " style qui avait pas mal chamboulé la pratique du piano en jazz ". Pendant la pause du trio il se met au clavier. La patronne du club le " reconnaît " à son jeu. Bientôt elle le rejoint sur l'estrade, se penche vers lui, reprend la mélodie au vol. Et c'est le bonheur qui revient. Fulgurant. La nuit qui suit et le lendemain, entre cet homme " près de la retraite " et cette femme " qui avait bien l'âge qu'elle ne faisait pas " va s'amplifier et se concrétiser ce bonheur. Jusqu'à se vouloir éternel. Et la femme de Simon dans tout ça ? Elle arrive. En voiture. N'en disons surtout pas plus. Il serait criminel de dévoiler ne serait-ce qu'un soupçon de la suite de l'intrigue, elle-même criminelle. A sa façon.
Lu par:André Jobez
Durée:4h. 34min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:69134
Résumé: L’Établi, ce titre désigne d’abord les quelques centaines de militants intellectuels qui, à partir de 1967, s’embauchaient, “ s’établissaient ” dans les usines ou les docks. Celui qui parle, ici a passé une année, comme O S. 2, dans l’usine Citroën de la porte de Choisy. Il raconte la chaîne, les méthodes de surveillance et de répression, il raconte aussi la résistance et la grève. Il raconte ce que c’est, pour un Français ou un immigré, d’être ouvrier dans une grande entreprise parisienne. Mais L’Établi, c’est aussi la table de travail bricolée où un vieil ouvrier retouche les portières irrégulières ou bosselées avant qu’elles passent au montage. Ce double sens reflète le thème du livre, le rapport que les hommes entretiennent entre eux par l’intermédiaire des objets : ce que Marx appelait les rapports de production.L’Établi, ce titre désigne d’abord les quelques centaines de militants intellectuels qui, à partir de 1967, s’embauchaient, “ s’établissaient ” dans les usines ou les docks. Celui qui parle, ici a passé une année, comme O S. 2, dans l’usine Citroën de la porte de Choisy. Il raconte la chaîne, les méthodes de surveillance et de répression, il raconte aussi la résistance et la grève. Il raconte ce que c’est, pour un Français ou un immigré, d’être ouvrier dans une grande entreprise parisienne. Mais L’Établi, c’est aussi la table de travail bricolée où un vieil ouvrier retouche les portières irrégulières ou bosselées avant qu’elles passent au montage. Ce double sens reflète le thème du livre, le rapport que les hommes entretiennent entre eux par l’intermédiaire des objets : ce que Marx appelait les rapports de production.
Durée:3h. 3min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:15425
Résumé: Apprendre à finir... Et pourtant, il y a cet accident de voiture et avec lui la possibilité, peut-être, de calfeutrer les failles trop nombreuses et toujours plus larges d'un couple au bord de la rupture. Pour elle, ce serait l'occasion d'oublier les infidélités, les mesquineries, les haines accumulées ; de repartir à zéro en se dévouant tout entière à la guérison de l'être cher. Et qu'importe si les enfants n'éprouvent que dégoût et lassitude, qu'importe s'il faut ranger son orgueil. Mais très vite pointent à nouveau les doutes : et si tous ces espoirs n'étaient que chimères ? Et si l'autre, la rivale abhorrée, n'avait pas disparu ? Car "rien ne change. Tout est déjà là. Rien, il n'y a qu'à attendre ce jour qui vous délivrera de l'illusion des autres, c'est tout". (amazon.fr)
Durée:6h. 46min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:67500
Résumé: L'histoire d'une petite fille, de l'école maternelle à sa dernière année scolaire. Véronique Legrand n'a pas vraiment d'histoire, elle vit comme tous les enfants, entre ses maîtresses et ses camarades, au gré de ses préoccupations et des jeux de récréation.
Durée:3h. 24min.
Genre littéraire:Roman d'amour
Numéro du livre:17024
Résumé: Dans un hôtel de luxe, un couple vit sa dernière nuit d'amour. Et il neige comme il neigera sur tout le texte. Comment une dernière nuit d'amour peut-elle se vivre sans mélancolie ? Voici donc le récit d'une rupture, dont on ignorera le motif tout au long du roman. On saura seulement qu'elle se situe sept ans après la rencontre à Paris et le premier acte amoureux. Une rupture certaine, décidée de part et d'autre, avec chagrin mais détermination. L'écriture de Toussaint est d'une précision chirurgicale, d'une transparence de cristal. Les gestes de l'amour, qu'il décrit simplement dans leur crudité, leur violence, leur tendresse, ont la vérité, la pureté des gravures érotiques orientales. Car dans ce roman de la rupture, de la perte de l'autre et de la perte de soi, tout est image.
Durée:3h. 39min.
Genre littéraire:Roman d'amour
Numéro du livre:29419
Résumé: C'est l'histoire d'une rupture amoureuse, une nuit, à Tokyo. C'est la nuit où nous avons fait l'amour ensemble pour la dernière fois. Mais combien de fois avons-nous fait l'amour ensemble pour la dernière fois ? Je ne sais pas, souvent.
Durée:3h. 24min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:16927
Résumé: Une baignoire des plus classiques. Quelqu'un allongé à bord, parfois habillé d'une manière très simple, parfois tout succinctement vêtu, méditant tranquillement, les yeux fermés, avec le sentiment de pertinence miraculeuse que procure la pensée qu'il n'est nul besoin d'exprimer. Lorsque ce dernier, pour quelle raison ? - obscure raison -, commença à passer ses après-midi dans la salle de bain, il ne comptait pas s'y installer. Commençant dans l'immobilité d'une salle de bain et se terminant de façon à peu près identique ce roman fait évoluer le héros et Edmonsson de Paris à Venise et de Venise à Paris au rythme d'aventures peu courantes et selon la structure que Jean-Philippe Toussaint appelle celle du triangle rectangle.