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Viviane Elisabeth Fauville

Résumé
Vous êtes Viviane Elisabeth Fauville. Vous avez quarante-deux ans, une enfant, un mari, mais il vient de vous quitter. Et puis hier, vous avez tué votre psychanalyste. Vous auriez sans doute mieux fait de vous abstenir. Heureusement, je suis là pour reprendre la situation en main.
Durée: 4h. 10min.
Édition: Paris, Minuit, 2014
Numéro du livre: 30966
ISBN: 9782707328045
Collection(s): Double

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Lu par:André Jobez
Durée:4h. 34min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:69134
Résumé: L’Établi, ce titre désigne d’abord les quelques centaines de militants intellectuels qui, à partir de 1967, s’embauchaient, “ s’établissaient ” dans les usines ou les docks. Celui qui parle, ici a passé une année, comme O S. 2, dans l’usine Citroën de la porte de Choisy. Il raconte la chaîne, les méthodes de surveillance et de répression, il raconte aussi la résistance et la grève. Il raconte ce que c’est, pour un Français ou un immigré, d’être ouvrier dans une grande entreprise parisienne. Mais L’Établi, c’est aussi la table de travail bricolée où un vieil ouvrier retouche les portières irrégulières ou bosselées avant qu’elles passent au montage. Ce double sens reflète le thème du livre, le rapport que les hommes entretiennent entre eux par l’intermédiaire des objets : ce que Marx appelait les rapports de production.L’Établi, ce titre désigne d’abord les quelques centaines de militants intellectuels qui, à partir de 1967, s’embauchaient, “ s’établissaient ” dans les usines ou les docks. Celui qui parle, ici a passé une année, comme O S. 2, dans l’usine Citroën de la porte de Choisy. Il raconte la chaîne, les méthodes de surveillance et de répression, il raconte aussi la résistance et la grève. Il raconte ce que c’est, pour un Français ou un immigré, d’être ouvrier dans une grande entreprise parisienne. Mais L’Établi, c’est aussi la table de travail bricolée où un vieil ouvrier retouche les portières irrégulières ou bosselées avant qu’elles passent au montage. Ce double sens reflète le thème du livre, le rapport que les hommes entretiennent entre eux par l’intermédiaire des objets : ce que Marx appelait les rapports de production.
Durée:2h. 54min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:36058
Résumé: Un écrivain aime sa table, sa chaise, la pénombre : on l'envoie en Afrique où sont les lions, dans le soleil, pour y écrire un poème, ou peut-être un récit de voyage. Il va prétendre que des indigènes l'ont sacré roi de leur village, qu'il a percé le mystère des marabouts et appris d'un griot quelque interminable légende. ©Electre 2017
Durée:3h. 24min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:16927
Résumé: Une baignoire des plus classiques. Quelqu'un allongé à bord, parfois habillé d'une manière très simple, parfois tout succinctement vêtu, méditant tranquillement, les yeux fermés, avec le sentiment de pertinence miraculeuse que procure la pensée qu'il n'est nul besoin d'exprimer. Lorsque ce dernier, pour quelle raison ? - obscure raison -, commença à passer ses après-midi dans la salle de bain, il ne comptait pas s'y installer. Commençant dans l'immobilité d'une salle de bain et se terminant de façon à peu près identique ce roman fait évoluer le héros et Edmonsson de Paris à Venise et de Venise à Paris au rythme d'aventures peu courantes et selon la structure que Jean-Philippe Toussaint appelle celle du triangle rectangle.
Durée:7h. 42min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:71722
Résumé: Georges Chave mène une vie tranquille à Paris, s'occupe en fréquentant les bars, les cinémas, vit des aventures brèves, écoute des disques américains, sauf une version de Cherokee qui lui a été volée il y a dix ans. L'arrivée de Véronique dans sa vie bouleverse tout, mais elle le quitte. Une autre femme le quitte mais cette fois-ci il part à sa recherche.
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Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:67500
Résumé: L'histoire d'une petite fille, de l'école maternelle à sa dernière année scolaire. Véronique Legrand n'a pas vraiment d'histoire, elle vit comme tous les enfants, entre ses maîtresses et ses camarades, au gré de ses préoccupations et des jeux de récréation.
Durée:5h. 26min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
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Résumé: Ils sont morts à quelques semaines d'intervalle : d'abord le père, puis la vieille tante de celui-ci, enfin le grand-père maternel. Mais cette série funèbre semble n'avoir fait qu'un seul disparu : le narrateur, dont le vide occupe le centre du récit. C'est à la périphérie et à partir d'infimes indices (un dentier, quelques photos, une image pieuse) que se constitue peu à peu une histoire, qui finira par atteindre, par strates successives, l'horizon de l'Histoire majuscule avec sa Grande Guerre, berceau de tous les mystères. Premier roman. Prix Goncourt 1990, il a été publié en traduction dans vingt-trois éditions étrangères en Europe, Amérique et Asie.
Lu par:Manon
Durée:1h. 33min.
Genre littéraire:Histoire/géographie
Numéro du livre:30857
Résumé: La première édition de La Question, d'Henri Alleg fut achevée d'imprimer le 12 février 1958. Des journaux qui avaient signalé l'importance du texte furent saisis. Quatre semaines plus tard, le jeudi 27 mars 1958 dans l'après-midi, les hommes du commissaire divisionnaire Mathieu, agissant sur commission rogatoire du commandant Giraud, juge d'instruction auprès du tribunal des forces armées de Paris, saisirent une partie de la septième réédition de La Question. Le récit d'Alleg a été perçu aussitôt comme emblématique par sa brièveté même, son style nu, sa sécheresse de procès-verbal qui dénonçait nommément les tortionnaires sous des initiales qui ne trompaient personne. Sa tension interne de cri maîtrisé a rendu celui-ci d'autant plus insupportable : l'horreur était dite sur le ton des classiques. La Question fut un météorite dont l'impact fit tressaillir des consciences bien au-delà des " chers professeurs ", des intellectuels et des militants. A l'instar de J'accuse, ce livre minuscule a cheminé longtemps.
Durée:1h. 14min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:30438
Résumé: Les tropismes, a expliqué l'auteur, "ce sont des mouvements indéfinissables, qui glissent très rapidement aux limites de notre conscience ; ils sont à l'origine de nos gestes, de nos paroles, des sentiments que nous manifestons, que nous croyons éprouver et qu'il est possible de définir". Vingt-quatre petits tableaux d'oscillations intérieures presque imperceptibles à travers clichés, lieux communs et banalités quotidiennes : vingt-quatre petits récits serrés, où il n'y a plus de trame alibi, plus de noms propres, plus de "personnages", mais seulement des "elle" et "il", des "ils" et "elles", qui échangent leur détresse ou leur vide au long de conversations innocemment cruelles ou savamment féroces. (...) Textes très courts où une conscience jamais nommée, simple référence impersonnelle, s'ouvre ou se rétracte à l'occasion d'une excitation extérieure, recevant la coloration qui permet de l'entrevoir. Gaëtan Picon. "Mon premier livre contenait en germe tout ce que, dans mes ouvrages suivants, je n'ai cessé de développer. Les tropismes ont continué d'être la substance vivante de tous mes livres". Nathalie Sarraute, préface à L'Ere du soupçon, Gallimard, 1964. Initialement publié par Denoël en 1939, le premier livre de Nathalie Sarraute (1900-1999) est paru aux Éditions de Minuit en 1957, dans une nouvelle version où l'auteur avait retranché un chapitre pour en ajouter six nouveaux.
Durée:3h. 56min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:19252
Résumé: Un jeune joueur d'alto, Basile Lorettu, qui joue comme Charlie Parker, car, pense-t-il " il vaut mieux copier un très grand comme Charlie, plutôt que d'essayer d'être un grand [soi]-même sans y arriver ", se réveille un matin, joue du sax un moment, se rase, se coupe en se rasant, achète le journal, prend du café chez Fernand, se promène et s'assied sur un banc, pense à Cécile, lit les petites annonces, trouve du travail, tout cela en deux temps trois mouvements ou plutôt en trois temps puisque c'est le rythme adopté par la vie du personnage comme par le roman.
Durée:3h. 20min.
Genre littéraire:Nouvelle
Numéro du livre:18962
Résumé: Cinq nouvelles méticuleuses décortiquent les derniers feux de l'âme de femmes ou d'hommes au moment où leur vie sentimentale bascule. Parce qu'ils se sont confrontés à la lucidité. Chaque texte ici est comme une plongée dans les eaux inquiètes de la psychologie, de la solitude intérieure, à l'heure des bilans. Dans la première nouvelle, une femme vit quelques minutes d'un adultère platonique qui vont lui révéler le bovarysme dans lequel elle s'enfonçait. L'écriture d'Hélène Lenoir fait l'autopsie microscopique des relations sentimentales (amoureuses ou familiales) avec une inaltérable cruauté. Sa phrase emporte, dans ses vrilles, la pensée de ses sujets, jusqu'à leur faire perdre pied. Arrivé au milieu de sa vie (à son entracte) chaque personnage fait l'expérience du vide : dans " L'Infidèle ", l'héroïne se persuade du désamour de son mari, puis le voyant parti un matin, pense qu'il l'a quittée comme sa logique le voudrait. L'époux, en réalité, s'est rendu à un colloque à Genève. En réalité ? Mais le réel social n'est-il pas qu'une farce pour masquer la réalité sentimentale : la solitude, définitive, de tous ? De ces cinq microcosmes dépiautés au scalpel, le lecteur retient une douleur diffuse : celle que laisse la vie à marée basse.
Durée:5h. 23min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:20334
Résumé: Né en 1928 à Sighet en Transylvanie, Elie Wiesel était un adolescent lorsqu'en 1944 il fut déporté avec sa famille à Auschwitz puis à Birkenau. La Nuit est le récit des souvenirs qu'Elie Wiesel conserve de la séparation d'avec sa mère et sa petite sœur qu'il ne reverra plus jamais et du camp où avec son père il partage la faim, le froid, les coups, les tortures... et la honte de perdre sa dignité d'homme quand il ne répondra pas à son père mourant. « La Nuit, écrivait Elie Wiesel en 1983 est un récit, un écrit à part, mais il est la source de tout ce que j'ai écrit par la suite. Le véritable thème de La Nuit est celui du sacrifice d'Isaac, le thème fondateur de l'histoire juive. Abraham veut tuer Isaac, le père veut tuer son fils, et selon une tradition légendaire le père tue en effet son fils. L'expérience de notre génération est, à l'inverse, celle du fils qui tue le père, ou plutôt qui survit au père. La Nuit est l'histoire de cette expérience. »
Durée:3h. 7min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:35516
Résumé: Un homme roule sur une route de campagne. Il rentre chez lui. Il est presque rendu. C'eût été trop simple : une voiture arrive en face, c'est celle de son ami Lucien, mais quand il la croise, Lucien n'est pas à l'intérieur, c'est une femme qui conduit, une inconnue au visage flou, dominé par le rouge. Qui est-elle ? Et Lucien, où est-il ? Et ce rouge, qu'est-ce que c'est ? Du rouge à lèvres ? De la confiture ? Du sang ? On dirait des peintures de guerre.