Le journal du séducteur
Résumé
Johannes séduit Cordelia, imperceptiblement, s'imisce dans ses pensées, dans sa vie et suscite ses ardeurs. Puis dés lors qu'elle s'abandonne à lui, se rétracte et mystérieusement se retire: l'innoncence est bafouée par ce Don Juan nordique...
Lu par :
Françoise Dufour
Genre littéraire:
Roman : au sens large et aventures
Mots-clés:
Essai
/
Littérature danoise
/
Durée:
6h. 17min.
Édition:
Paris, Gallimard, 1989
Numéro du livre:
15355
Produit par:
Bibliothèque Sonore Romande
ISBN:
9782070325160
Collection(s):
Folio Essais
Documents similaires
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 6h. 1min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 13025
Résumé:Kierkegaard s'intéresse à l'individu, libre et responsable, maître de son destin. Il montre notamment comment un désespoir conscient et intelligent peut mener à la réalisation de nos aspirations. Ce désespoir, s'alliant à la foi en Dieu, s'oppose au fatalisme et au déterminisme. Il est alors foi dans le possible, lutte pour la vie, dans la mesure du sentiment tragique de la finitude. La pensée de la mort doit nous pousser à vivre !
Durée : 2h. 3min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 9081
Résumé:"Dans la ville de H. vivait, il y a quelques années, un jeune étudiant nommé johannes Climacus ; il ne cherchait nullement à se faire remarquer dans le monde, n'ayant d'autre joie que de vivre retiré et tranquille. Ceux qui le connaissaient un peu mieux cherchaient à expliquer par la mélancolie ou par l'amour cette nature renfermée qui fuyait tout contact durable avec les hommes. Les partisans de la dernière hypothèse n'avaient pas entièrement tort ; ils se trompaient cependant en prenant une jeune fille pour l'objet de ses rêves."... ainsi commence cet extraordinaire conte inachevé de Kierkegaard sur les désarrois du jeune Climacus emporté par une insolite passion : la passion pour la philosophie.
Lu par : Jean Frey
Durée : 6h. 33min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 19426
Résumé:Crainte et tremblement (Frygt og Bæven) est un essai du philosophe danois Søren Kierkegaard, publié le 16 octobre 1843 sous le pseudonyme de Johannes de Silentio (Jean le Silencieux). Le titre de l'ouvrage vient de l'épître aux Philippiens : « Ainsi, mes bien-aimés, comme vous avez toujours obéi, travaillez à votre salut avec crainte et tremblement, non seulement comme en ma présence, mais bien plus encore maintenant que je suis absent »1 Abraham, lorsqu'il part en montagnes pour sacrifier son fils Isaac, est-il un simple meurtrier ou non ? Le philosophe allemand Hegel disait à son sujet qu'il était le « père de la foi », mais son acte entre-t-il en contradiction avec les conceptions éthiques et morales de ce dernier ? Telle est la question de cet ouvrage qui a pour thématique de montrer la discontinuité qui peut exister entre l'éthique et la foi. L'éthique vise le général, tel des préceptes généraux comme « tu ne dois pas tuer », etc. auxquels tout homme peut se conformer. De ce point de vue, celui qui tue son fils — ou qui est prêt à le faire — est un meurtrier. La foi par contre joue à un niveau différent, beaucoup plus personnel. À ce niveau-là n'existent pas de paroles pour expliquer ou justifier des actes qu'on accomplit. Ainsi, la foi comporte des paradoxes inexplicables, comme Abraham à qui Dieu a promis une progéniture nombreuse et à qui il commande maintenant de sacrifier son seul fils : Abraham part pour le sacrifice, prêt à le faire, tout en croyant — paradoxalement pour la raison, ou comme le dit l'auteur « en vertu de l'absurde » — qu'il gardera son fils. (http://fr.wikipedia.org)
Lu par : Jean Frey
Durée : 12h. 39min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 13220
Résumé:Quatrième de couverture : [...] essai d'élucidation de la création littéraire et artistique, mais encore une recherche précise de ce qui est en jeu pour l'homme d'aujourd'hui, par le fait que "quelque chose comme l'art ou la littérature existe" : descente vers la profondeur , approche de l'obscurité, expérience de la solitude et de la mort. [...]
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 16h. 1min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 18078
Résumé:"Si les hommes avaient le pouvoir d'organiser les circonstances de leur vie au gré de leurs intentions, ou si le hasard leur était toujours favorable, ils ne seraient pas en proie à la superstition. Mais on les voit souvent accules à une situation si difficile, qu'ils ne savent plus quelle résolution prendre; en outre, comme leur désir immodéré des faveurs capricieuses du sort les ballotte misérablement entre l'espoir et la crainte, ils sont en général très enclins à la crédulité... Lorsqu'ils se trouvent dans le doute, surtout concernant l'issue d'un événement qui leur tient à coeur, la moindre impulsion les entraîne tantôt d'un côté, tantôt de l'autre ; en revanche, dès qu'ils se sentent sûrs d'eux-mêmes, ils sont vantards et gonflés de vanité. Ces aspects de la conduite humaine sont, je crois, fort connus, bien que la plupart des hommes ne se les appliquent pas..."
Lu par : Clélia Strambo
Durée : 11h. 9min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 74453
Résumé:"Le Mexique est un fragment, une partie d'une histoire beaucoup plus vaste. Les révolutions contemporaines en Amérique latine ont été et sont des réponses à l'insuffsance du développement, d'où procèdent aussi bien leur justification historique que leurs fatales et évidentes limites. Les modèles de développement que nous offrent aussi bien l'Est que l'Ouest sont des compendiums d'horreurs : pourrons-nous à notre tour inventer des modèles plus humains et qui correspondent mieux à ce que nous sommes ? Gens de la périphérie, habitants des faubourgs de l'Histoire, nous sommes, Latino-Américains, les commensaux non invités, passés par l'entrée de service de l'Occident, les intrus qui arrivent au spectacle de la modernité au moment où les lumières vont s'éteindre. Partout en retard, nous naissons quand il est déjà tard dans l'Histoire ; nous n'avons pas de passé, ou si nous en avons eu un, nous avons craché sur ses restes. Nos peuples ont dormi tout un siècle et, pendant qu'ils dormaient, on les a dépouillés et ils vont maintenant en haillons. Et pourtant, depuis un siècle, sur nos terres, si hostiles à la pensée, ici et là, en ordre dispersé mais sans interruption, sont apparus des poètes, des prosateurs et des peintres qui sont les égaux des plus grands des autres continents". Le labyrinthe de la solitude est un ouvrage capital de la littérature mexicaine contemporaine.
Lu par : Françoise Valterio
Durée : 1h. 32min.
Genre littéraire : Arts
Numéro du livre : 14696
Résumé:L'oeil et l'Esprit est le dernier écrit que Merleau-Ponty put achever de son vivant. Installé, pour deux ou trois mois, dans la campagne provençale, non loin d'Aix, au Tholonet, goûtant le plaisir de ce lieu qu'on sentait fait pour être habité, mais surtout, jouissant chaque jour du paysage qui porte à jamais l'empreinte de l'oeil de Cézanne, Merleau-ponty réinterroge la vision, en même temps que la peinture. Il cherche, une fois de plus, les mots du commencement, des mots, par exemple, capables de nommer ce qui fait le miracle du corps humain, son inexplicable animation, sitôt noué son dialogue muet avec les autres, le monde et lui-même - et aussi la fragilité de ce miracle. (Claude Lefort)
Lu par : Marianne Pernet
Durée : 6h. 42min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 17160
Résumé:"Quand il ne peut plus lutter contre le vent et la mer pour poursuivre sa route, il y a deux allures que peut encore prendre un voilier : la cape (le foc bordé à contre et la barre dessous) le soumet à la dérive du vent et de la mer, et la fuite devant la tempête en épaulant la lame sur l'arrière avec un minimum de toile. La fuite reste souvent, loin des côtes, la seule façon de sauver le bateau et son équipage. Elle permet aussi de découvrir des rivages inconnus qui surgiront à l'horizon des calmes retrouvés. Rivages inconnus qu'ignoreront toujours ceux qui ont la chance apparente de pouvoir suivre la route des cargos et des tankers, la route sans imprévu imposée par les compagnies de transport maritime."
Lu par : Bertrand Baumann
Durée : 5h. 45min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 15700
Résumé:Les figures emblématiques de l'oeuvre de Mircea Eliade sont le labyrinthe et Ulysse. Dans ce dernier, l'historien des religions voyait « le prototype » de l'homme moderne, mais aussi de l'homme de l'avenir, des « voyageurs traqués », tout comme leur ancêtre, dont le voyage fut depuis toujours la quête du centre, de l'Ithaque, autrement dit, de soi-même. Eliade est persuadé que c'est la destinée - c'est-à-dire « les épreuves initiatiques qu'il fallait surmonter » - qui force Ulysse à « retarder indéfiniment son retour au foyer ». Sur les traces d'Ulysse, nous nous cherchons, tout en cherchant notre centre : la patrie, le foyer. Perdu dans un Labyrinthe, notre chemin prolonge nos pérégrinations à la recherche du centre ; parfois, il ne mène nulle part : on se perd. Néanmoins, la seule chance de l'homme de retrouver son foyer et de devenir un autre être est de sortir du Labyrinthe.
Lu par : Denise von Arx
Durée : 4h. 35min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 14621
Résumé:Première parution philosophique de l'auteur, il utilise le mythe de Sisyphe comme une illustration de ce qu'est l'absurde. Les dieux avaient condamné Sisyphe à rouler sans cesse un rocher jusqu'au sommet d'une montagne d'où la pierre retombait par son propre poids. Ils avaient pensé avec quelque raison qu'il n'est pas de punition plus terrible que le travail inutile et sans espoir. Camus se sert du mythe pour décrire l'attitude de l'homme confronté à l'absurde de la condition humaine.
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 8h. 54min.
Genre littéraire : Arts
Numéro du livre : 70739
Résumé:" Ces fleurs et ces fruits sur une table, cette carafe et ce verre à côté à moitié plein, ce jambon et ce pain sur une serviette, ce malade dont on nous fait tâter le pouls, cet homme et cette femme associés par la conversation et par la musique, ces convives autour de la bouteille et de la soupière, ils attaquent directement à travers la rétine l'intelligence et la mémoire, ils prennent l'importance solennelle d'une chose impuissante à s'effacer, ils sont l'enseigne allégorique de notre échoppe intellectuelle, ils blasonnent au cours de notre durée un moment d'arrêt, ils éclairent par le moyen de l'allusion les mystères de notre cuisine psychologique. Ces chambres en enfilade, ces ruelles et ces corridors de Pieter de Hooch et de Vermeer, ce rayon intravasé, ce miroir comme un oeil secret où se peint quelque chose d'extérieur et d'exclu, ils nous invitent, mieux qu'un traité d'ascétisme, au recueillement, à l'exploration de nos profondeurs et à l'inventaire de nos arrière-boutiques, à la conscience de notre intimité, à l'attouchement de notre secret ontologique, à ce regard qui précède le pas à travers ces chambres prenant jour sur un jardin clos qui se commandent l'une à l'autre, à cette vérification de notre ensemble cellulaire. "
Lu par : Martine Salomon
Durée : 5h. 30min.
Genre littéraire : Sciences/technologie
Numéro du livre : 19277
Résumé:Comparée à celle des animaux, la sexualité humaine est des plus étranges. Nous ne nous adonnons qu'à des relations intimes et privées. Nous pouvons faire l'amour à n'importe quel moment, que le partenaire féminin soit fécondable ou non. Et si c'est le cas, la femelle humaine n'en sait rien précisément, et ne s'empresse pas de le faire connaître aux mâles en arborant des couleurs voyantes, ou en émettant odeurs et petits cris... Pourquoi donc notre sexualité diffère-t-elle aussi radicalement de celle de nos plus proches ancêtres, les grands singes ? Pourquoi l'homme, le mâle humain, se distingue-t-il des autres en demeurant généralement auprès de la femme qu'il a rendue féconde, et l'aide-t-il à élever ses enfants ? Pourquoi donc le pénis humain est-il si grand, au-delà de toute nécessité ? Nul n'était mieux qualifié que Jared Diamond - expert en biologie évolutionniste et en physiologie - pour expliquer comment nos ancêtres ont vu leur sexualité se transformer. Avec humour et une foule d'exemples, il montre que la sexualité a joué un rôle comparable à celui de la taille du cerveau et de la station debout pour faire de nous... des hommes !