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Votre père sait...

Résumé
Sujet de l'ouvrage : Dieu s'occuperait-il des problèmes de notre existence ?
Durée: 4h. 10min.
Édition: Le Mont-sur-Lausanne, Foi et victoire, 1963
Numéro du livre: 14511
CDU: 280.92

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Lu par:
Durée:2h. 3min.
Genre littéraire:Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre:9081
Résumé: "Dans la ville de H. vivait, il y a quelques années, un jeune étudiant nommé johannes Climacus ; il ne cherchait nullement à se faire remarquer dans le monde, n'ayant d'autre joie que de vivre retiré et tranquille. Ceux qui le connaissaient un peu mieux cherchaient à expliquer par la mélancolie ou par l'amour cette nature renfermée qui fuyait tout contact durable avec les hommes. Les partisans de la dernière hypothèse n'avaient pas entièrement tort ; ils se trompaient cependant en prenant une jeune fille pour l'objet de ses rêves."... ainsi commence cet extraordinaire conte inachevé de Kierkegaard sur les désarrois du jeune Climacus emporté par une insolite passion : la passion pour la philosophie.
Durée:6h. 1min.
Genre littéraire:Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre:13025
Résumé: Kierkegaard s'intéresse à l'individu, libre et responsable, maître de son destin. Il montre notamment comment un désespoir conscient et intelligent peut mener à la réalisation de nos aspirations. Ce désespoir, s'alliant à la foi en Dieu, s'oppose au fatalisme et au déterminisme. Il est alors foi dans le possible, lutte pour la vie, dans la mesure du sentiment tragique de la finitude. La pensée de la mort doit nous pousser à vivre !
Lu par:Jean Frey
Durée:6h. 33min.
Genre littéraire:Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre:19426
Résumé: Crainte et tremblement (Frygt og Bæven) est un essai du philosophe danois Søren Kierkegaard, publié le 16 octobre 1843 sous le pseudonyme de Johannes de Silentio (Jean le Silencieux). Le titre de l'ouvrage vient de l'épître aux Philippiens : « Ainsi, mes bien-aimés, comme vous avez toujours obéi, travaillez à votre salut avec crainte et tremblement, non seulement comme en ma présence, mais bien plus encore maintenant que je suis absent »1 Abraham, lorsqu'il part en montagnes pour sacrifier son fils Isaac, est-il un simple meurtrier ou non ? Le philosophe allemand Hegel disait à son sujet qu'il était le « père de la foi », mais son acte entre-t-il en contradiction avec les conceptions éthiques et morales de ce dernier ? Telle est la question de cet ouvrage qui a pour thématique de montrer la discontinuité qui peut exister entre l'éthique et la foi. L'éthique vise le général, tel des préceptes généraux comme « tu ne dois pas tuer », etc. auxquels tout homme peut se conformer. De ce point de vue, celui qui tue son fils — ou qui est prêt à le faire — est un meurtrier. La foi par contre joue à un niveau différent, beaucoup plus personnel. À ce niveau-là n'existent pas de paroles pour expliquer ou justifier des actes qu'on accomplit. Ainsi, la foi comporte des paradoxes inexplicables, comme Abraham à qui Dieu a promis une progéniture nombreuse et à qui il commande maintenant de sacrifier son seul fils : Abraham part pour le sacrifice, prêt à le faire, tout en croyant — paradoxalement pour la raison, ou comme le dit l'auteur « en vertu de l'absurde » — qu'il gardera son fils. (http://fr.wikipedia.org)
Durée:7h. 13min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:22144
Résumé: A l'approche de sa mort, Hans Christian Andersen, l'auteur des contes universellement connus, cherche le pardon pour sa vanité et pour avoir laissé sa mère et sa demi-sœur dans leur misère. Lui qui s'est largement mis en scène comme le vilain petit canard devenu cygne n'aimait pas qu'on lui rappelle ses origines modestes. Pour se faire une place dans un milieu qui lui était complètement fermé au départ, et où il voulait être acteur, il essuya d'innombrables humiliations et échecs avant d'écrire ses contes enfin appréciés de la critique. Au fur et à mesure que son état s'aggrave, Andersen est hanté par les personnes-clés de son existence, revoit les lieux qu'il a visités, de Paris à Constantinople, de Londres à Rome. Il fait le bilan de ses regrets et semble peu à peu accepter l'échéance qui vient. Malgré la renommée internationale dont il a joui de son vivant, malgré les louanges de plusieurs familles royales, de divers mécènes aristocrates et de grands artistes internationaux tels Hugo, Dumas, Balzac, Heine et Dickens, Andersen doutait terriblement de lui-même et de son œuvre. Abonné à l'amour impossible, il fut l'éternel insatisfait, vivant par procuration, se réfugiant dans son imaginaire avec un désir presque permanent d'être ailleurs ou d'être quelqu'un d'autre.
Durée:10h. 5min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:18688
Résumé: Un historien de l'art parvient à un tournant de son existence quand Astrid, son épouse, part soudain, après dix-huit ans de vie commune. Cet événement déclenche alors un flot de souvenirs et de réflexions. Un amour de jeunesse sans issue, la rencontre d'Astrid, le mariage et les enfants, la vie mondaine dans la bourgeoisie intellectuelle de Copenhague, les voyages à Paris, Lisbonne et New York. Comment cette vie s'est-elle dessinée ? "Je dois tout réinventer, tout en sachant bien que je risque ainsi de recouvrir le peu que j'aurais peut-être mis au jour pendant ce temps. Tout en brodant mon histoire, je me rends compte à quel point une vie reste pleine d'ombres et de silences. Comment prend-elle forme ? Pourquoi a-t-elle pris cette direction-là, cette direction décisive ?".
Durée:4h. 6min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:16796
Résumé: À la fin des années 1970, le narrateur rencontre à la gare de Copenhague une femme mystérieuse qui lui confie une clé - celle d'un casier de consigne - avant de disparaître... Cette femme, il la retrouvera quinze ans plus tard, et elle lui racontera son histoire: au cours de l'été 1977, alors qu'elle travaillait au pair dans une famille de Francfort, elle a été mêlée aux activités clandestines d'un groupuscule d'extrême gauche, sans vraiment mesurer les conséquences de cet engagement dans le camp du terrorisme. Si elle s'est laissé séduire par Angela - le cerveau de la bande -, c'est par dépit, par faiblesse, et pas parce qu'elle était une révolutionnaire pure et dure.
Durée:8h. 48min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:16177
Résumé: L'insondable et talentueux Iouri, brillant artiste plasticien hostile aux mesures sécuritaires de notre époque, s'engage dans une démarche artistique radicale. Son étrange changement d'attitude alarme la narratrice qui partage sa vie. Depuis quelques temps, Iouri paraît tellement préoccupé par sa prochaine exposition qu'il réagit de manière agressive et s'enfonce progressivement dans la taciturnité, au grand désespoir de ses proches. L''artiste attribue sa nervosité au nouveau projet qui l'anime, mais sa compagne, en proie à de terribles doutes, se met à l'épier avec un effroi mêlé de fascination pour tenter de comprendre le comportement trouble de Iouri.
Durée:10h. 8min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:18210
Résumé: Trainspotting à la danoise, Submarino explore le Copenhague underground à travers les destins de deux frères en quête d'une normalité dont ils ignorent tout. Enfants des services sociaux, Nick et son frère se rencontrent à la sortie d'un foyer, le jour où leur mère décide de leur offrir un semblant de vie de famille. Très vite pourtant, elle tombe enceinte et reprend son errance de bar en bar, de passe en passe. Livrés à eux-mêmes, les deux frères s'occupent du bébé avec les moyens du bord. Quand le petit crie trop fort, ils mettent la télé à fond et sniffent de la peinture. Mais un jour le bébé ne crie plus : il est mort. Des années plus tard, Nick traîne son corps bodybuildé et rongé par l'alcool dans les bas-fonds de Copenhague. Son frère, héroïnomane, élève seul son fils et prend la tête d'une petite armée de dealers. Tous deux se débattent pour survivre à ce terrible passé et tenter d'échapper, en vain, à la marginalité. Chronique violente et sans concession, Submarino dissèque les vies de ces êtres mal nés, héritiers malgré eux d'une misère sociale dont ils ne parviennent pas à s'extraire. Un livre coup de poing auquel le cliché d'un Danemark pays-le-plus-heureux-du-monde ne résiste pas et dont on peine à sortir indemne.
Durée:9h. 49min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:17901
Résumé: Du haut de ses onze ans, le narrateur ne saisit pas très bien les enjeux du monde des adultes dans la petite bourgade du sud du Jütland où il grandit. Il a bien remarqué que le chiffre d'affaires de l'épicerie de son père augmentait après chacune des prestations de ce dernier... lors des enterrements : cet homme dépressif et taciturne a en effet un talent, celui de faire pleurer les plus endurcis grâce à ses oraisons funèbres déchirantes. Le gamin, qui accompagne les envolées lyriques paternelles de ses mimiques affligées, se prend au jeu : la famille est enfin considérée, et l'atmosphère à la maison est plus légère après chaque cérémonie. De là à susciter l'augmentation du nombre de décès, il n'y a qu'un pas...
Lu par:Manon
Durée:7h. 47min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:38061
Résumé: Frank tient un atelier de carrosserie depuis qu’il a raccroché les gants. Avec son père, qui l’entraînait, il a éclusé les salles de boxe et enchaîné les matchs. Et puis basta. Ellen est infirmière à domicile. Discrète, elle est celle qui connaît les intérieurs des maisons, l’intimité et les traumatismes de chacun. Pas forcément pire que les siens. Elle a son franc-parler pour remettre à leur place les râleurs, tout en douceur. Ellen a dit non à la violence il y a longtemps. Lorsque son père est victime d’un accident, Frank n’a pas d’autre choix que d’hériter de ses dettes… et de ses ennemis. Il croyait savoir résoudre un problème : à coups de poing. Sa rencontre avec Ellen pourrait bien tout changer. [Source: Babelio, 2018]
Durée:5h. 20min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:32863
Résumé: Cela aurait pu être un simple mariage blanc permettant à Elena de fuir la Roumanie de Ceausescu. Mais Scott, un photographe de presse d'origine américaine, s'attache beaucoup plus que prévu à cette jeune femme secrète, et lorsqu'elle le quitte, après quelques mois de vie commune au Danemark, il est désemparé. Cette séparation brutale ne lui permet pas de comprendre ce qui s'est réellement passé depuis leur rencontre, à la faveur d'un reportage de Scott à Bucarest. Quelque temps après, alors que Scott s'apprête à rentrer aux Etst-Unis, le fils de sa première épouse lui apporte une lettre provenant de Roumanie et destinée à Elena. A la demande de Scott, il va partir à la recherche d'Elena et devenir, presque malgré lui, la première personne à qui elle fera le douloureux récit de sa vie
Durée:12h. 10min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:32034
Résumé: C'est au seuil de la vieillesse que le narrateur décide de nous raconter son histoire, trois moments de vie qui sont autant d'étapes décisives dans la construction de sa personnalité et de sa sensibilité. Il dépeint tout d'abord ses jeunes années et le tournant qu'a représenté le cancer de sa mère. A l'époque, le narrateur avait décidé d'approfondir sa connaissance de l'allemand afin de pouvoir lire Karl Marx et finalement découvrir une littérature germanique qui bouleverse son adolescence, de Thomas Mann à Rainer Maria Rilke. C'est aussi l'époque des premières amours et de la rencontre avec la fille de son professeur d'allemand, qui lui permet de découvrir Berlin d'avant la chute du mur. Puis vient l'âge de raison, le mariage, la naissance de sa fille Julie, et le divorce. Le narrateur a une quarantaine d'années, il est à présent enseignant et accueille un garçon d'origine serbe dans sa classe. Stanko le fascine, sa discrétion comme cette maturité arrogante qui rejaillit parfois. Mais c'est la rencontre avec la mère du jeune homme qui le trouble encore davantage, notamment lorsqu'elle lui montre une vidéo d'elle et son mari, depuis disparu, lors d'une croisière sur le Danube au moment de passer les Portes de Fer, entre la Serbie et la Roumanie. Passion à nouveau éphémère qui le renvoie en fin de compte à sa condition d'homme solitaire et de père en alternance. A la veille de ses soixante ans enfin, c'est à Rome que nous le retrouvons. Grand-père depuis peu, le narrateur fait une nouvelle rencontre inopinée avec une photographe. Elle l'invite chez elle pour lui montrer son travail avant d'accepter de partir avec lui à Paestum, photographier ces ruines encore vivantes... Jens Christian Grøndahl brosse le portrait de cet homme et de son histoire avec une grande justesse, il s'immisce dans ses remords, ses obsessions, ses envies profondes. Les Portes de Fer parle d'amour et de solitude mais également du désenchantement de l'individu occidental, de ce drame bourgeois que le grand auteur danois réussit à croquer avec une lucidité et une élégance toutes singulières