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Recherche par genre: Société/économie/politique

1429 résultats. Page 72 sur 72.

Lu par : Sylvie Barghon
Durée : 3h. 49min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 25473
Résumé:La gestion prévisionnelle des emplois et des compétences est obligatoire depuis 2004. Ce livre présente l'évolution historique des différentes GPEC ainsi que les fondements méthodologiques des pratiques. Il décrit les choix à envisager en matière d'outils, de nouvelles répartitions des rôles des acteurs ainsi que de la nécessaire évolution des règles de gestion (gestion des âges, développement durable, discrimination, fidélisation). Cette nouvelle édition mise à jour et enrichie dresse une synthèse des théories et des pratiques actualisées sur ce thème.
Lu par : Geneviève Cail
Durée : 12h. 47min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 25392
Résumé:En retraçant l'évolution des mentalités et la lente conquête du confort, cette enquête vous fera découvrir l'histoire des mille et un objets qui vous sont familiers, la manière dont vos ancêtres mangeaient, dormaient - jamais totalement allongés -, comment ils se lavaient et s'habillaient. Elle vous livrera les clés de nos habitudes et de nos expressions : pourquoi dit-on entre la poire et le tramage, n'y voir goutte ou peau de balle et balai de crin Pourquoi pend-on la crémaillère ? Savez-vous que le préfet Poubelle avait déjà inventé le tri sélectif - avec un conteneur spécial pour les huîtres ! - et que les chaises à porteurs fonctionnaient comme nos vélibs ? Ce livre vous révèle toute une société, avec ses usages, ses mythes et ses symboles, tout cela avec le charme du langage de l'époque, nommant la porte l'huis, une marmite une chaudière, un bois de lit un charlit.
Lu par : Louis Belon
Durée : 11h. 11min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 25361
Résumé:Phénomène complexe, la pauvreté est difficile à définir. Ses représentations varient d'un pays à un autre : elle apparaît tantôt comme une chute, tantôt comme une condition matérielle héréditaire, reproductible de générations en générations. Les variations des représentations sociales de la pauvreté s'expliquent par trois facteurs : le degré de développement économique et du marché de l'emploi, la forme et l'intensité des liens sociaux, et la nature du système de protection sociale. Ceci permet à Serge Paugam, directeur de recherches à l'EHESS, de dresser une typologie des formes élémentaires de la pauvreté, en distinguant pauvreté intégrée, pauvreté marginale et pauvreté disqualifiante.
Lu par :
Durée : 10h. 42min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 25296
Résumé:Liberté, égalité, fraternité : «Les trois marches du perron suprême», disait Victor Hugo. Peut-on encore accéder à la marche d'en haut sans retomber dans la terreur ou dans la niaiserie ? Comment, au royaume morcelé du moi-je, retrouver le sens et la force du nous ? C'est ce défi, peut-être le plus crucial de notre temps, que Régis Debray s'emploie à relever dans ce livre.
Lu par : Louis Belon
Durée : 11h. 56min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 25288
Résumé:L'éclatement actuel du champ des théories sociologiques ne renvoie pas seulement à l'histoire des idées ; il s'inscrit dans une mutation sociale profonde qui conduit à abandonner la représentation classique d'une société conçue comme un ordre, où l'on peut identifier l'action sociale aux " lois " du système. En fait, ce que l'on appelle " la société " n'est plus réductible à un système intégré, un mode de production et un Etat national. Dès lors, l'objet même de la sociologie change : elle doit décrire des expériences sociales, c'est-à-dire les conduites individuelles de chacun d'entre nous. Celles-ci combinent plusieurs rationalités et plusieurs logiques, elles se présentent comme la juxtaposition d'appartenances communautaires, des calculs du marché et des exigences d'une authenticité individuelle ; et le seul principe d'unité de l'expérience sociale est le travail sur lui-même que poursuit chacun de nous afin de se percevoir comme l'auteur de sa propre vie.
Lu par : Michel fleury
Durée : 7h. 14min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 22061
Résumé:Le 26 décembre 2004, les vagues du tsunami ravagent les côtes d'Asie du Sud-Est et emportent avec elles plus de 200 000 personnes, enfants et adultes. Une déferlante planétaire de générosité s'élève aussitôt pour secourir les victimes et exorciser ces images de cauchemar qui inondent nos écrans. Une formidable mobilisation humanitaire commence. Près d'un an plus tard, elle est loin d'être achevée. Si cette tragédie a frappé les esprits, elle a aussi très vite soulevé débats et polémiques. Qu'ont fait les associations humanitaires avec les dons du tsunami ? Sont-elles capables de remplir le contrat moral que des millions de personnes ont signé avec elles ? Comment sont-elles contrôlées ? Au-delà de la question de l'utilisation de l'argent, c'est le sens même de l'action humanitaire qui est enjeu. On assimile aujourd'hui la cause humanitaire à l'action d'urgence, alors qu'elle donne sa pleine mesure dans les effets durables qu'elle produit. Comme si l'on pouvait se contenter de sauver quelqu'un de la noyade pour ensuite l'abandonner sur la berge. Ce livre est un plaidoyer pour une vision plus ample de l'action humanitaire, dans l'Asie de l'après-tsunami comme à nos portes. Il soutient aussi une conviction : les plus fragiles d'entre nous ne sont pas condamnés à être les damnés de la terre.
Lu par : Danielle Laborde
Durée : 3h. 57min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 27183
Résumé:Une petite ville dans laquelle deux ans durant, on va une fois par semaine. Les gens et leurs visages, les paroles qu'on a reçues, et la ville elle-même dans son trou de montagne, la terre, des usines mortes, des maisons sans toit. Ce qui force à écrire, c'est que les mots qu'on a reçus n'auront peut-être pas d'autre mémoire, et qu'ils vous hantent : un dépôt trop lourd. De ces visages qu'on a connus, l'un a disparu. Maintenant, c'est par cette mémoire d'une jeune morte que toute la ville vous apparaît : ce qui se joue ici, dans la petite ville, c'est bien plus qu'un fragment du monde, mais toutes ses tensions rassemblées. Alors, le livre n'est plus ce " journal " qu'on projetait, mais bien le choc et l'émotion où on a été, à connaître ces visages et recueillir ces mots. Et c'est à la fiction d'en organiser les images, au nom de cette mémoire.
Lu par : Guy Chavanise
Durée : 5h. 49min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 23632
Résumé:La France aime se pencher sur son passé. A sa façon. Le déchainement des passions n'y a d'égal que le poids des culpabilités. Et alors que la Seconde Guerre mondiale n'en finit pas de gouverner les esprits, les négationnismes de tous bords abondent. Des débats sur le procès Papon aux disputes sur les millions de morts du Goulag, le travail de mémoire de révèle troublé, piégé, voire impossible. Car l'histoire, en France, est frappée d'interdits. Elle est mythifiée dès qu'il s'agit d'instru- mentaliser la Résitance et le complexe de Vichy pour mieux emprisonner le présent dans le passé. Elle est occultée dès qu'il faut exonérer le communisme afin d'assurer un avenir à l'utopie. Elle tourne au procès en sorcellerie contre ceux qui cherchent à établir les faits contre l'idéologie. A l'origine de ce mal, l'hémiplégie dont souffre notre vision du totalitarisme au XXe siècle : l'exception française, sera-t-elle, demain, de demeurer le dernier pays communiste au monde ? A travers les grandes étapes de notre vie politique et intellectuelle depuis l'après-guerre, Thierry Wolton démonte les ignorances, dénonce les connivences, invite la droite à renouer avec les idées, la gauche à se libérer de ses archaïsmes. Avec, au coeur du débat, la place de la morale dans notre démocratie.
Lu par : Marion Martin
Durée : 7h. 41min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 23485
Résumé:La discrimination négative n’est pas le fait de sociétés qui instituent en droit des différences de traitement entre les individus en raison de leur origine, de leur rang ou de leur religion. Elle est au contraire le fait de sociétés qui proscrivent formellement ce type de différenciations, mais les pratiquent massivement. Telle est la contradiction que donne à comprendre la situation des « jeunes de banlieue » aujourd’hui en France, singulièrement lorsqu’ils sont « issus de l’immigration ». Revenant sur les émeutes de l’automne 2005, Robert Castel analyse ici les mécanismes de stigmatisation et de relégation qui tiennent ces populations en marge d’une citoyenneté pleine et entière, au mépris des principes fondamentaux de la République. Si l’on veut appeler les choses par leur nom, c’est bien à un retour de la race sur la scène politique et sociale que l’on assiste aujourd’hui.