Contenu

Planète à louer

Résumé
Dans un futur indéterminé, une guerre nucléaire totale est sur le point d'éclater. Afin de sauver la Terre, des espèces extraterrestres en prennent possession, après avoir fait montre de leur force en annihilant l'Afrique. Ils y imposent des règles draconiennes visant à rétablir l'équilibre écologique. Un siècle plus tard, notre planète est redevenue un paradis, un " monde souvenir ", où les riches xénoïdes viennent faire du tourisme. Mais derrière l'image d'Epinal, les conditions de vie des Terriens sont loin d'être idylliques. Buca, la prostituée, Moy, l'artiste métis ou Alex, le scientifique de génie, tous n'aspirent qu'a une seule chose : fuir, partir s'exiler quitter la Terre par tous les moyens.
Genre littéraire: Science-fiction
Durée: 8h. 42min.
Édition: Saint-Laurent-d’Oingt, Mnémos, 2011
Numéro du livre: 25920
ISBN: 9782354080938
Collection(s): Dédales

Documents similaires

Durée:11h. 39min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:30896
Résumé: Fuyant New York et la civilisation, un musicien gagne la forêt vierge du Venezuela. Ainsi commence une série d'aventures fabuleuses d'où s'élèvent, comme d'une symphonie, les grands thèmes de New York de la Forêt, de l'Eau, de la Révolution...
Durée:7h. 50min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:31355
Résumé: Mais qui est cet immigré clandestin dont on n'arrive pas à déceler ni l'origine ni la langue ? Qui se cache derrière son silence ? Quelle est l'histoire qu'il ne veut pas (ou ne peut pas) raconter ? En deux cents pages inoubliables, Jesús Díaz met en scène l'incroyable destin de Manuel, le plus brillant des chercheurs cubains de l'Institut International de Basses Températures d'Ukraine, et le seul qui refusa de rentrer à Cuba en 1991, au moment de l'effondrement de l'Union Soviétique. Pendant les douze mois vertigineux qui commencent avec le coup d'État contre Michael Gorbatchev et conduisent à l'interdiction du Parti Communiste, il essaie d'échapper à la police de Castro en changeant de pays, de langue et d'identité, mais en restant toujours fidèle à ses rêves. C'est ainsi que son odyssée devient la métaphore d'un monde à la dérive où tout soudain peut arriver : «L'Histoire est une erreur !», lui confie sa maîtresse, Ayinray, la communiste chilienne qui l'accueille dans son appartement moscovite ; «La liberté est proche !», lui annonce d'un air triomphal son ami Sacha, le nationaliste ukrainien ; «Je ne vois rien de bon dans l'avenir, Manuel, rien», lui dit son directeur de recherches, le vieux et sage Derkatchev. Et il ajoute aussitôt : «Il m'arrive de me demander si l'histoire de l'humanité a un sens». En réalité, elle n'en a ni plus ni moins que la vie d'un homme. Après maintes aventures et mésaventures plus rocambolesques les unes que les autres, le destin du jeune prodige devient celui d'un sans-papiers dans l'Europe de la fin du XXe siècle. Mais une surprise attend encore le lecteur dans les dernières pages et elle est de taille : ce roman d'apprentissage, cette histoire à multiples rebondissements, est aussi un chant d'espoir et un appel à la solidarité entre les hommes, peut-être le plus beau témoignage sur notre époque que nous ait laissé Jesús Díaz.
Lu par:Jean Frey
Durée:20h. 39min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:32523
Résumé: Somme culturelle qui rassemble tous les types urbains de La Havane nocturne et dépravée, ce livre est avant tout le roman du langage. Les trois tigres des Tropiques pas si tristes sont, en fait, quatre comme nos Mousquetaires : Silvestre l'écrivain, Arsenio Cué l'acteur, Codac le photographe et Eribo le joueur de bongo, qui gravitent autour d'un personnage emblématique, Bustrofedon -qui est aussi le boustrophédon, ou écriture grecque ancienne qui se lisait alternativement de gauche à droite et inversement-, que l'on ne perçoit pratiquement que comme une voix. Naturellement ce livre est aussi une histoire, ou plutôt un tissu d'histoires. Les débuts dans la vie de chacun des principaux personnages sont ainsi présentés comme autant de nouvelles indépendantes, mais tous ces personnages évoluent dans le même monde : La Havane d'avant la Révolution, métropole nocturne, monde trouble, humide, torride, déliquescent, clos sur lui-même, avec ses bars, ses night-clubs, et leur faune d'entraîneuses, de prostituées, d'homosexuels, de musiciens, de chanteuses -telle l'énorme et géniale Estrella, poignante Moby Dick de cette mer des Sargasses. Un même délire détruit les personnages de cette Babel.
Durée:20h. 22min.
Genre littéraire:Histoire/géographie
Numéro du livre:22464
Résumé: 1959: à la tête de leurs troupes, trois hommes, Fidel Castro, Camilo Cienfuegos et Huber Matos, ce dernier commandant de la fameuse « colonne 9 », s'emparent de La Havane et prennent le pouvoir à Cuba. Neuf mois plus tard, Castro fait condamner Huber Matos, coupable d'être démocrate, à 20 ans de prison, peine que Matos purgera au jour près. Et la nuit est tombée sont les mémoires du commandant Matos, qu'il publia en 2002. Huber Matos, né en 1918, instituteur idéaliste, raconte d'abord comment il a rejoint la guérilla, en est devenu l'un des chefs, et a conquis, avant la victoire finale, Santiago de Cuba témoignage exceptionnel sur l'homme qu'était alors Castro, témoignage aussi sur la vie clandestine des combattants de la Sierra Maestra, leur organisation, leurs histoires individuelles, amitiés et rivalités, revers et succès, portraits de ses proches camarades: Che Guevara, Raul Castro... Ensuite viennent la rupture avec Castro, et la prison: vingt ans de tortures et humiliations de toutes sortes. Écrit dans une langue simple, directe, la langue d'un instituteur, Et la nuit est tombée est un livre bouleversant, par ce qu'il contient d'horreurs et d'espérances déçues il est aussi un document unique sur l'une des figures majeures de notre temps, Castro, dont Matos nous trace un portrait au quotidien, sans haine, et une exceptionnelle leçon de courage: comment survivre au goulag cubain.
Durée:2h. 38min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:32876
Résumé: Livre échangé sous le manteau, longtemps introuvable dans sa langue d'origine, Mon ange a été instrumentalisé par les Cubains des deux rives aux fins de le réduire à un sommaire règlement de comptes. L'histoire de sa publication serait simplement romanesque, si son contenu n'était dramatiquement testamentaire. Un écrivain qui a fui le régime carcéral insulaire refuse la reddition sans condition à la sphère étriquée des " triomphateurs " qui l'attendent à Miami. Il est interné par sa famille " américaine " dans un boarding home, asile prisé qui recueille des inadaptés de toute engeance. Les grilles se referment sur lui et en lui, seul dans un univers hallucinant où l'on ne peut que souffrir et faire souffrir. C'est ici qu'il faut vivre, et pour toujours, sans espérance ni pitié ; pour personne. Le faut-il vraiment ? Reinaldo Arenas et Carlos Victoria célèbrent dans leurs œuvres Guillermo Rosales, l'ami génial et fou qui s'est donné la mort. [Source : 4ème de couverture]
Durée:7h. 11min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:32575
Résumé: À La Havane, une petite fille aux yeux clairs et aux cheveux crépus négocie le difficile tournant de l'enfance à l'adolescence, dans une famille condamnée à la cohabitation par les conditions sociales du pays : un père, officier de toutes les guerres de la Révolution, une mère argentine droguée au tango, une tante amateur d'opéra, un oncle masseur et une grand-mère plaintive, gardienne de la morale. L'enfant va peu à peu découvrir que tout le fragile édifice familial ne tient que sur le mensonge, à commencer par ses origines à elle ; ses cheveux crépus lui font découvrir la faute cachée et inavouable de la grand-mère : un grand-père noir et très sympathique, puis l'homosexualité de l'oncle, la double vie du père... Celle qu'on a surnommée P'tit Mec fuit la famille pour les amis de son âge, fréquente les fêtes des années 80, les débats où l'on refait le monde, et goûte à la drogue, loin de l'apocalypse annoncée du système politique. Également étrangère à cet univers, tout aussi faux que celui de sa famille, l'adolescente cherche sa voie dans la solitude et le silence. Karla Suârez utilise une langue originale, moderne, directe et lucide, séduisante par son rythme expressif et sa concision. Ce premier roman construit autour de personnages attachants, loin des clichés, révèle des aspects inattendus de la Cuba actuelle.
Lu par:Serge Cantero
Durée:1h. 59min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:32869
Résumé: Un trentenaire désabusé traîne son spleen à La Havane, entre son bureau et le Malecón... L'espoir se fait rare, la vie est un disque rayé. Rhum, salsa, tabac, et parfois un détour chez la Russe du neuvième étage. Il fait une chaleur criminelle et la révolution semble s'être oubliée au milieu du gué. Seule la mer, au loin, promet encore quelque chose... Canek Sánchez Guevara, petit-fils du Che, fait vibrer Cuba comme jamais : le désenchantement s'écrit dans une langue intense, hypnotique, et la crise des balsas est prétexte à un formidable hymne à la liberté. [Source : Site de l'éditeur]
Lu par:Madiana Roy
Durée:16h. 28min.
Genre littéraire:Nouvelle
Numéro du livre:33114
Résumé: Ces récits dessinent une mosaïque qui capture de manière saisissante une réalité complexe. Les Cubains forment un peuple divisé, mais uni dans l'attente. Ce volume réunit 27 textes dans l'ordre chronologique de naissance des écrivains et prouve que malgré l'exil et la diaspora, le credo de leurs auteurs est vérifié : il n'y a qu'une littérature cubaine. [Source : 4ème de couverture]
Durée:2h. 41min.
Genre littéraire:Nouvelle
Numéro du livre:20511
Résumé: Un après-midi de pluie, un homme et une femme déjeunent dans un restaurant du centre-ville de La Havane : une scène d'ouverture commune pour ces nouvelles, point de départ de trois histoires d'amour qui sont autant de portraits de Cuba. En un brillant exercice de style, Cuba aux multiples visages : l'île des rites africains et des tambours sacrés, l'île des hôtels de luxe, l'île de l'utopie communiste et des persécutions politiques.
Durée:20h. 10min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:18772
Résumé: Un adolescent de La Havane découvre le monde - l'amour, l'amitié, la différence, la trahison - au cours de ces fameuses années 60 qui furent pour une partie de la jeunesse cubaine celles de l'espoir (bientôt déçu). Considéré depuis 1994 comme un classique de la littérature latino-américaine, La Traversée secrète n'est pas un roman politique, mais un récit d'apprentissage bourré d'ironie et d'autodérision où la politique, contre le gré du héros qui a d'autres chats à fouetter, fait de violentes irruptions. L'horreur est là, mais racontée par un émule de Woody Allen qui aurait assez de cran pour la tenir à distance.
Durée:10h. 40min.
Genre littéraire:Nouvelle
Numéro du livre:70411
Résumé: Babelio: Sous ce titre sont regroupés des récits dont certains avaient paru en France en 1971 et toute une série de textes restés inédits en français. Contes brefs qui nous confrontent à un des univers les plus étranges qu'il nous ait été donné de lire. Les conduites apparemment les plus banales y sont prises en charge par une logique folle qui les fait déboucher sur des issues à la fois surréelles, absurdes et grinçantes. Ainsi, la famine mène à l'autodévoration, l'alpinisme et ses "légers" accidents au morcellement total des corps, la minutieuse description d'un album prend une éternité, et l'insomnie trouve sa seule solution dans le suicide. Il y a, dans ces syllogismes glacés, une dérision proche de celle de Buster Keaton, ou, pour citer un des amis et complices de Piñera, un rire noir et sournois proche de celui de Gombrowicz. Paradoxalement, on pourrait dire que ce Cubain appartient au grand courant ricanant et désespéré qui, de Kafka à Schulz, a marqué la littérature européenne de l'Est en ce siècle.
Durée:3h. 28min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:14148
Résumé: Zoé Valdés raconte ici l'histoire d'une jeune femme qui lui ressemble à s'y méprendre, de sa naissance à cette soirée ultime où, trente ans plus tard, en pleine "période spéciale", les deux hommes de sa vie vont jouer aux échecs le privilège de finir la nuit avec elle. Dehors semble l'attendre la mer, par où se sont déjà enfuis les amis chers... Tour à tour révolté, lyrique, provocant ou désespéré, ce texte paraît avoir été écrit d'un seul souffle, dans l'urgence de tout dire pour sauver ce qui pouvait l'être encore. Une artiste à l'écriture flamboyante, passionnément éprise de son pays, fait de son île natale un portrait d'une impardonnable vérité.