Contenu

Recherche par auteur : Roland-Manuel

77 résultats. Page 2 sur 4.

Durée:2h. 45min.
Genre littéraire:Essai/chronique/langage
Numéro du livre:27911
Résumé: Le journal intime écrit par Roland Barthes dans les mois qui ont suivis la mort de sa mère, l'être cher par-dessus tout, en automne 1977. La Chambre claire évoquait déjà largement ce deuil douloureux, qui transforme complètement le regard de Barthes sur la photographie, désormais vu comme le lieu d'une possible résurrection de l'être perdu. Ici, nous sommes tout à la fois dans un constat détaillé et dans une interrogation intime et philosophique du deuil, absolument singulier, impartageable. Cet inédit est une pièce décisive dans la compréhension de Roland Barthes, qui aura vécu toute sa vie auprès de sa mère et ne lui aura survécu que trois ans, les années de l'impossible deuil. Un document émouvant, rédigé au jour le jour en brefs fragments qui, comme toujours chez Barthes, dépassent l'expérience personnelle pour toucher à l'universel. Nous sommes tous porteurs d'un deuil, et celui-ci nous touche, nous éclaire.
Lu par:Nadine Sagel
Durée:2h. 31min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:32085
Résumé: Afin d'éviter le déshonneur de sa famille, une jeune Japonaise se travestit pour devenir kamikaze à la place de son frère déserteur. C'est au côté de Kosaburo, son modèle et son amour d'enfance, que Mitsuko se prépare à accepter la mort.
Durée:3h. 42min.
Genre littéraire:Nouvelle
Numéro du livre:20289
Résumé: Dans L'amour émietté, Vince, veuf inconsolé, reconstitue les lettres déchirées en mille morceaux que Marie-Hélène lui écrivait. Et sa femme bienaimée ressuscite. Jean-Philippe, guide de montagne raconte son face à face avec un « homme sauvage » vivant d'herbes et de chasse au sommet des Alpes Titus, le chat abyssin ramené d'une zone de conflits en Afrique, est écrasé à Genève par la voiture d'une bourgeoise pressée. Jean-Benoît en panne sur l'autoroute dialogue avec Rodion, un Bulgare dont le foyer est un immense panneau publicitaire. L'écriture précise et le sens de l'observation de Roland Buti suggèrent, avec les quinze nouvelles de ce recueil, la douce et cruelle présence de l'insolite dans l'univers des gens ordinaires.
Durée:8h. 35min.
Genre littéraire:Histoire/géographie
Numéro du livre:25462
Résumé: 54 heures d'angoisse, 173 otages et 45 membres du GIGN, prêts à tout pour les sauver. Un exploit historique et une aventure humaine jamais révélés. 24 décembre 1994. Roland Môntins, chef de groupe au GIGN, s'apprête à réveillonner en famille. Au même moment, à Alger, quatre terroristes surarmés s'emparent de l'avion d'Air France pour Paris. À bord, plus de 200 passagers, désormais otages. Très vite, trois d'entre eux sont exécutés. La froide détermination du commando terrifie toute la France. Dans la cabine, les heures puis les jours passent, infernaux, passagers et équipage attendent la mort... Le 26 décembre, l'avion se pose à l'aéroport de Marignane. 17h12 : le GIGN donne l'assaut. Roland, l'un des premiers à entrer dans l'avion, progresse dans les allées face aux tirs du commando. Lui et neuf autres gendarmes sont blessés. La détermination des hommes du GIGN ne faiblit pas : ils n'ont que quelques secondes pour neutraliser les terroristes, sauver les otages et évacuer l'avion piégé par une bombe. Le chef de groupe du GIGN, Roland Môntins et l'écrivain Jean-Michel Caradec'h racontent de l'intérieur, presque seconde par seconde, deux jours de tension et de drame : dans l'avion, l'organisation des terroristes et la terreur des otages ; à Alger et Paris, les âpres négociations politiques et, au coeur du GIGN, le montage de l'opération pour seize minutes de combat meurtrier. Cet assaut lancé sur un avion de ligne, sans qu'aucun otage ne soit blessé, reste unique dans l'histoire de la piraterie aérienne. Quand la réalité dépasse la fiction, cela donne un livre d'aventure et d'action exceptionnel.
Lu par:Jean Frey
Durée:2h. 53min.
Genre littéraire:Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre:14180
Résumé: Pourquoi le Japon ? Parce que c'est le pays de l'écriture : de tous les pays que l'auteur a pu connaître, le Japon est celui où il a rencontré le travail du signe le plus proche de ses convictions et de ses fantasmes, ou, si l'on préfère, le plus éloigné des dégoûts, des irritations et des refus que suscite en lui la sémiocratie occidentale. Le signe japonais est fort : admirablement réglé, agencé, affiché, jamais naturalisé ou rationalisé. Le signe japonais est vide : son signifié fuit, point de dieu, de vérité, de morale au fond de ces signifiants qui règnent sans contrepartie. Et surtout, la qualité supérieure de ce signe, la noblesse de son affirmation et la grâce érotique dont il se dessine sont apposées partout, sur les objets et sur les conduites les plus futiles, celles que nous renvoyons ordinairement dans l'insignifiance ou la vulgarité. Le lieu du signe ne sera donc pas cherché ici du côté de ses domaines institutionnels : il ne sera question ni d'art, ni de folklore, ni même de " civilisation " (on n'opposera pas le Japon féodal au Japon technique). Il sera question de la ville, du magasin, du théâtre, de la politesse, des jardins, de la violence ; il sera question de quelques gestes, de quelques nourritures, de quelques poèmes ; il sera question des visages, des yeux et des pinceaux avec quoi tout cela s'écrit mais ne se peint pas.
Durée:2h. 1min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:65510
Résumé: Il n'y a pas de philosophie de Wittgenstein, il y a l'histoire d'un homme qui lutta pied à pied contre la folie et le suicide avec pour seules armes la logique et l'éthique. Tel est l'axe de lecture que s'est donné Roland Jaccard pour enquêter sur Wittgenstein.
Durée:3h. 32min.
Genre littéraire:Arts
Numéro du livre:37039
Résumé: Une tentative de comprendre la puissance émotionnelle de la photographie et de définir la nature de cet art. Cela amène l'auteur à évoquer le traumatisme que fut le décès de sa mère
Durée:13h. 46min.
Genre littéraire:Policier/épouvante
Numéro du livre:68585
Résumé: Mars 1938. Le physicien italien Ettore Majorana disparaît au large de la Sicile. Avec lui, le projet secret sur lequel il travaillait depuis des années. Automne 1955. On retrouve par miracle les notes du physicien disparu. Elles inspirent au père Ernetti une idée folle : construire une machine à voir dans le temps. Un chronoviseur. Sur ordre de Pie XII, le prêtre plonge deux mille ans en arrière. L'objectif est simple : prouver l'existence du Christ. Commence alors une course folle entre le Vatican, la CIA, le KGB et le Mossad. Car ce que le père Ernetti va découvrir, en pleine Guerre froide, pourrait changer l'ordre du monde.
Durée:1h. 56min.
Genre littéraire:Nouvelle
Numéro du livre:18053
Résumé: La première fois que j'allais à la chasse avec mon frère, cela s'est passé au Lac de Bret, situé en dessus du village de Puidoux; de toute la journée, pas de sauvagines à l'horizon, mais juste avant de rentrer, mon frère, jetant un dernier regard sur ce lac, avait repéré quelques tâches foncées au loin, qui flottaient sur l'eau...
Lu par:Denis Gey
Durée:7h. 22min.
Genre littéraire:Science-fiction
Numéro du livre:29293
Résumé: La Chine a envahi la Mongolie, la France est occupée par les Etats-Unis, une guerre civile sans précédent menace l'Inde, lorsqu'une vague d'attentats à peine croyables bouleverse la planète. Un ptérodactyle géant arrache la Tour Eiffel, des statues de Mao ravagent Pékin, un Godzilla dévaste le port de Yokohama et des soucoupes volantes auraient procédé à des enlèvements dans l'Arkansas. Face à ce terrorisme surnaturel, la communauté internationale se lance dans une chasse aux sorcières d'un nouveau genre, enrôlant de force tout ce que la planète compte de magiciens potentiels. Le futur n'est plus ce qu'il était, et ce n'est décidément pas la bonne saison pour sortir de prison.
Durée:20h. 25min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:15547
Résumé: Franz Liszt est né le 22 octobre 1811 à Doborján en Hongrie, aujourd'hui Raiding en Autriche. Son père Adam Liszt est régisseur du Prince Esterhazy, où Haydn a passé trente ans de sa vie. Adam Liszt est musicien et offre un piano à son fils dès son plus jeune âge. Très précoce, il étudie le piano et à l'âge de neuf ans il donne sa première représentation publique. Quelques mécènes hongrois, enthousiasmés, lui offrent une bourse pour lui permettre d'approfondir ses études musicales. Il s'établit avec sa famille à Vienne. Il a pour professeur Salieri et Czerny l'élève de Beethoven qui est tellement enthousiasmé qu'il ne demande aucune rétribution pour ses cours. Liszt peut tout jouer à la première lecture. Czerny lui donne maitrise et discipline. A l'âge de douze ans, Czerny n'a plus rien à lui apprendre. Salieri donne également quelques leçons au jeune prodige. Par l'intermédiaire de Czerny, Liszt aura l'occasion de se produire devant Beethoven qui lui fera jouer plusieurs morceaux dont le clavecin bien tempéré de Bach. A la fin d'un concert donné le lendemain, Beethoven embrasse le garçon sur le front. Ce moment marquera Liszt pour la vie. Il part pour une tournée triomphale en Allemagne puis s'installe à Paris en 1823. Il y donne des récitals, Erard lui offre un superbe piano et il provoque l'enthousiasme. Certains n'hésitent pas à le comparer à Mozart. En 1824 il fait une tournée en Angleterre. L'un des plus grands pianistes Moscheles convient que :"Par sa puissance et sa faculté à vaincre les difficultés, il surpasse tout ce que l'on n'a jamais entendu".
Durée:21min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:69862
Résumé: Ce matin, la mère de Timéo lui a ordonné de ne pas oublier le...? Impossible de retrouver le dernier mot. Pourtant, ça avait l'air très important ! Décidé à retrouver le mot perdu, Timéo part à la... Veuillez nous excuser l'éditeur a égaré ses mots et se trouve actuellement au bureau des mots perdus pour rétablir la situation.
Lu par:Anne Seuvre
Durée:10h. 53min.
Genre littéraire:Policier/épouvante
Numéro du livre:71174
Résumé: Les meilleurs crimes impossibles, de Conan Doyle à Maurice Leblanc, en passant par Chesterton et Melville Davisson Post, sélectionnés par Roland Lacourbe, spécialiste du roman d'énigme. Un ministre britannique foudroyé alors qu'il était sous la surveillance de trois gardes du corps dans les sous-sols de la banque d'Angleterre... Un scaphandrier poignardé au fond de l'océan alors qu'il se trouvait seul au milieu des petits poissons... Un gentleman assassiné dans une cabine de plage fermée de l'intérieur à Etretat... Autant de crimes qui défient la logique et mettent à mal nos raisonnements cartésiens. Avec Double Assassinat dans la rue Morgue, d'Edgar Allan Poe (1841), apparaissait un nouveau genre au sein de la littérature criminelle : le "crime en chambre close", qui depuis a fait nombre d'émules. Dans ce recueil, Roland Lacourbe, spécialiste du roman d'énigme et auteur de nombreuses anthologies, présente 13 classiques du genre, dont Le Suicide de Kiaros (1897), de Franck L. Baum, Le Problème du pont de Thor (1922), d'Arthur Conan Doyle, Thérèse et Germaine (1923), de Maurice Leblanc, et Le Mystère du clocher de Noël (1977), d'Edward D. Hoch.
Durée:5h. 48min.
Genre littéraire:Roman terroir
Numéro du livre:19688
Résumé: Gus a quitté l'enfance un été de canicule. Alors qu'il aide son père paysan, lit et relit ses bandes dessinées, se baigne dans un réservoir souterrain avec Mado, la fille perdue du village, son univers familier et rassurant se fissure. La mère de Gus, présence constante, tendre et complice s'éloigne peu à peu de lui, tandis que son père, pourtant véritable force de la nature, s'enferme dans sa chambre pour cuver son chagrin. L'impensable arrive. Gus doit alors prendre en main l'exploitation, guider les camions-citernes de l'armée vers les champs desséchés, traire les vaches trop pleines d'avoir été oubliées. Quand il découvre le secret de sa mère, dans une scène magnifique de pudeur, il vit la fin d'un monde.
Durée:1h. 40min.
Genre littéraire:Roman historique/biographique
Numéro du livre:39281
Résumé: Sous forme de prolongement du Journal d'Amiel, écrivain suisse dont l'œuvre fait dix-sept mille pages, Roland Jaccard imagine les derniers moments de la vie d'Amiel. Chaque jour est le dernier pour Henri-Frédéric Amiel et c'est pourquoi il conjure son angoisse de la mort en tenant son journal. Roland Jaccard se substitue à lui alors qu'il agonise et se remémore ce que fut sa vie. Et, paradoxalement, il y trouve plus de raisons de se réjouir que de se lamenter. Cet inlassable séducteur tergiverse sans fin sur les avantages et les inconvénients du célibat. Travaux pratiques à l'appui. Ce mélancolique fait tourner les têtes sans pour autant y sacrifier la sienne. Rien ne saurait pourtant lui faire oublier sa tendre Cécile qui s'est suicidée à la fleur de l'âge...
Durée:6h. 21min.
Genre littéraire:Théâtre
Numéro du livre:18266
Résumé: En 1953, Dubillard joue quotidiennement dans des sketches radiophoniques qu'il écrit à la demande de Jean Tardieu : Grégoire et Amédée. Par la suite, il adapte pour la scène ces dialogues absurdes sous le titre Les Diablogues en 1975.
Durée:1h. 5min.
Genre littéraire:Théâtre
Numéro du livre:26846
Résumé: «Avec un caractère comme j'en ai un, on n'épouse pas n'importe qui. On épouse un cocu. C'est ce que j'ai fait. Il ne l'était pas encore quand je l'ai épousé, mais on voyait bien qu'il était fait pour ça. Et ça n'a pas tardé. C'est comme moi : je n'étais pas encore veuve. Mais il a bien vu tout de suite que j'étais faite pour être veuve. Et ça non plus, ça n'a pas tardé. De ce point de vue, il a été très bien. Ça lui plaisait, à cet homme d'épouser sa veuve. On peut même dire qu'on a été trop vite, tous les deux, ça marchait trop bien, parce que à peine il était devenu mon cocu, je suis devenue sa veuve.» Des êtres occupés à décortiquer des phrases banales, dissèquent les mots et font mouche, créant des quiproquos, des calembours souvent vertigineux.
Durée:3h. 44min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:30347
Résumé: On est en 1933. La petite Luce a 8 ans quand son père meurt d'avoir inhalé les miasmes de la fonderie à côté de son atelier. On est en 2000. Deux femmes âgées s'introduisent de nuit dans une maison promise à la démolition. Elles ont quelque chose de compromettant à récupérer. Dans ce roman paru en 2007 et largement remanié, Roland Buti entrelace dans le désordre chronologique les destinées de Luce et de Célie. Luce est l'épouse brimée et terrorisée de Jean Périard, imprimeur fortuné, spécialisé dans la production de billets de banque. En 1959, Célie travaille comme gouvernante dans la villa du couple. Si elle a postulé pour cet emploi, c'est qu'elle a un projet: «Pourrir la vie de Jean Périard». Cette haine s'explique par son histoire familiale compliquée, une captation d'héritage, une injustice de classe. Entre la bourgeoise alcoolique et la domestique se tisse une amitié fondée sur le dégoût que leur inspire cet homme. Chacune a ses raisons de lui en vouloir. Pour se débarrasser de lui sans risquer d'être démasquées, elles inventent un scénario cocasse qui envoie au Brésil un ami complaisant et une belle-mère acariâtre. Roland Buti joue ici dans un registre burlesque inattendu.
Durée:4h. 31min.
Genre littéraire:Roman historique/biographique
Numéro du livre:74181
Résumé: A cinq ans, Roland ne marche toujours pas. Il vit dans un HLM du XIIIe arrondissement de Paris avec sa famille juive séfarade d’origine marocaine. Un appartement plein de vie d’où Roland ne peut sortir, si ce n’est dans les bras de sa mère. La religion et la culture juives tiennent dans sa vie une place primordiale. Très croyante et surprotectrice, elle le garde à l’écart du monde extérieur. L’appartement est devenu son territoire, d’où il observe avec fascination les va-et-vient de ses frères et sœurs et de leurs amis. Mais c’est en regardant la télévision qu’il découvre le monde. Il se passionne pour les émissions de variétés et pour Sylvie Vartan, « étoile parmi les étoiles ». Un jour, alors qu’il a six ans, un miracle se produit : il réussit enfin à marcher.
Durée:3h. 4min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:19193
Résumé: Il m'est pénible de l'avouer, mais je suis un pauvre type. Je n'ai pas le souvenir de l'avoir toujours été. Cette foutue tendance à embellir le passé. Mais c'est vrai, il est arrivé parfois que ma vie tienne ses promesses, qui étaient de ressembler à Hollywood. Et puis, petit à petit, les étoiles ont disparu de ma galaxie et je me suis retrouvé seul dans ce café parisien, face à l'église Saint-Sulpice, avec un stylo feutre et une feuille de papier. Un thé sur une table en formica et quelques biscuits. Ce n'est pas rien, me direz-vous. Et vouc ajouterez : surtout ne me racontez pas votre vie. Cela tombe bien, je n'en avais pas l'intention.