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Le Pèlerin noir, et autres récits

Résumé
Récit magnifiant la taïga de l’Extrême-Orient russe, Ginseng est une allégorie osée de l’amour. Le Pèlerin noir est un récit de voyage chez les nomades d’Asie centrale où le danger est sublimé en poésie. Le Calice d’ici-bas nous emmène dans la Russie profonde des premières années de la Révolution russe. C’est un texte réaliste, porté par une inspiration quasi nietzschéenne, fantastique et même biblique, au point que l'instituteur au centre du récit se confond avec l’image du Christ. Un florilège d’extraits de son journal intime – mis en regard avec les œuvres concernées – transporte le lecteur dans le monde intérieur de Prichvine tout en éclairant les chemins secrets qui le menèrent de la vie à la création littéraire.
Genre littéraire: Nouvelle
Durée: 13h. 11min.
Édition: Lausanne, Noir sur blanc, 2022
Numéro du livre: 73231
ISBN: 9782882507990

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Numéro du livre : 74214
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Durée : 5h. 41min.
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Résumé:Provincial d'origine, amoureux de la nature et de sa Loire natale, l'auteur a compris, bien avant la mode écologiste, que la vie moderne donne à l'homme la nostalgie des plaisirs simples et vrais. Entraînant le lecteur dans une promenade curieuse et attentive à travers bois et forêts, il se propose de le ramener à ces " réalités chaleureuses " qu'il était en passe d'oublier. Réflexions, commentaires, rêveries et portraits d'animaux : l'ablette (poisson), le lapin, la girafe, le ménate, le cobaye, le castor, l'hérisson, le sanglier, le merle, le lézard ou le cygne sont autant de prétextes à des réflexions empreintes de sagesse et non dénuées de morale. Une trentaine de chroniques ou plutôt de "contes oralisés" qui donnent "une vision" très lucrécienne de la nature dont les secrets et la beauté restent à découvrir... .
Lu par : Henriette Kunzli
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Résumé:Pragmatique, Lizka quitte sa mère et son village pour cultiver sa parcelle de bonheur. Ses amants seront les jalons de son initiation: Micha, le beau parleur, Viktor, le politicard ambitieux, Arthur, le mari volage, et d'autres encore. Fustigeant leur inconsistance avec ses amies, Nina et Vera, Lizka passe de l'un à l'autre sans s'impliquer. «Fatiguée des révolutions», cette jeunesse attachante et philosophe observe avec un humour désabusé une Russie qui désormais s'égare pour rattraper l'Occident. (Le Nouvel Observateur)
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Genre littéraire : Nouvelle
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Résumé:Un enfant dans la campagne russe, en proie à une étrange terreur... Un jeune homme interné dans un hôpital de Sibérie, rêvant d'amour et de liberté... Un père reconnaissant dans l'infirmité de sa fille le pendant de ses propres souffrances morales... Un SDF sauvé par une voix intérieure... Un pèlerin attendant à Athènes que son billet pour la Terre sainte lui soit accordé de manière divine, c'est-à-dire inattendue... Revenant sur divers épisodes de sa vie, une vie riche d'expériences - dont celle de la rue -, de révoltes, de rencontres et de coïncidences, l'auteur constate qu'il n'y a pas de réponse claire aux grandes questions de la destinée humaine. " Mais, dit-il, il existe une zone de réponse: il faut entrer à l'intérieur et attendre. La réponse se formera d'elle-même dans l'âme, et ne s'exprimera pas toujours par des mots. Parfois, elle restera tout à fait informulée, ce qui ne lui enlèvera nullement son efficacité. " On retrouve dans ces huit récits, le sens aigu du détail, l'humour et tout ce qui fait l'originalité du style de Nicolas Bokov. De la part de l'homme et du philosophe, c'est peut-être aussi une ouverture vers un chemin de sérénité.
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Lu par : Anne Tardy
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Lu par : Annie Séjourné
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Genre littéraire : Nouvelle
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Résumé:Les vingt-cinq nouvelles présentées ont été publiées par Anton Tchekhov entre 1883 et 1887 dans des revues humoristiques de l'époque et certaines ont fait partie de recueils (Contes de Melpomène, 1884, Nouvelles bariolées, 1886, et Dans la pénombre, 1887) qui ont eu un beau succès populaire. Remarqué par un des meilleurs critiques de l'époque qui lui propose un « vrai travail » littéraire, Tchekhov se consacre désormais à l'écriture. Le lecteur devinera ici des larmes silencieuses, ces larmes invisibles qui vont tant caractériser toute l'œuvre de Tchékhov. Comme une vieille collection de photographies, elles nous apprennent bien des choses sur la société dans laquelle il vit. Ses personnages sont les champions de l'ennui et de l'échec, et leurs amours s'achèvent souvent en queue de poisson. Comme à son habitude, il maîtrise ses personnages, attachants ou caricaturaux. Avec une sensibilité impressionniste, et avec aisance, il passe du petit notable cupide au pauvre qui joue le noyé pour gagner quelques kopecks ou à l'amant hébergé par sa maîtresse sous les yeux de son mari. Tchekhov parle de l'humanité, des êtres humains, observés minutieusement dans leur quotidien ;il dissèque les apparences, sans porter de jugement, tout en éprouvant une immense compassion pour ses personnages. Son regard est empreint d'une certaine tendresse mêlée de compréhension lorsqu'il parle du propriétaire terrien mort d'ennui en lisant Tourgueniev ou du mari humilié par sa femme devant les invités à un dîner improvisé. De nouvelle en nouvelle, le lecteur perçoit très nettement le changement de tonalité et de style de Tchekhov. L'effet purement comique du début disparaît au fil du recueil pour annoncer la tristesse de La Cerisaie.