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Après l'orage

Résumé
A la mort de son mari en 2019, la journaliste est confrontée à la violence de la disparition de l'être aimé. Elle évoque la première année d'une vie sans lui et les étapes de la reconstruction de soi.
Genre littéraire: Biographie/témoignage
Durée: 3h. 53min.
Édition: Paris, Flammarion, 2021
Numéro du livre: 73007
ISBN: 9782080260635
Collection(s): Document

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Genre littéraire:Biographie/témoignage
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Résumé: Ce témoignage de Claude Couderc, journaliste et écrivain, porte plus sur son deuil de père que sur la leucémie aiguë qui a tué son fils de quinze ans. S'interrogeant sur les raisons de cette maladie et de cette injustice, 'harcelé par des souvenirs de toi dans la douleur (comme par) les moments heureux' qui augmentent sa peine et sa révolte, le père est discret sur les 'images d'un film d'épouvante' et ne peut s'interdire un sentiment de culpabilité après que la greffe de moelle osseuse qu'il adonnée pour traiter son fils a échoué. Allant au cimetière tous les jours, secoué de sanglots et inondé de larmes à tout moment, hanté par des tentations de suicide dont le détournera le reste de sa famille, il survit avec les souvenirs omniprésents d'un enfant doué et gâté pendant sa maladie, photographié et filmé pour garder sa présence. Loin du silence, le père crie, hurle, écrit, inscrit le nom d'Adrien partout, dans la réalité comme dans ses rêves. On est aux antipodes de la sobre réaction de Xenophon apprenant la mort de son fils à la guerre et maîtrisant sa douleur :'Je savais que le fils que j'ai engendré était mortel'. Bernard Hoerni
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Résumé: A la mort de son père, unijambiste alcoolique et poète sensible, la narratrice doit vider la maison familiale de Carrières-sous-Poissy. Ce capharnaüm devient un réseau de signes et de souvenirs éclairant la personnalité de ce colosse fragile. Comme venue du passé, une lettre arrive qui dit toute la vérité sur ce père aimé malgré la distance sociale.
Durée:5h. 59min.
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Résumé: " Ce dialogue inattendu avec un homme musulman, tolérant, et pourtant père de djihadiste, représentait une extraordinaire opportunité de montrer qu'il nous était possible de parler. Si un tel échange avait lieu entre nous, alors nous pouvions abattre les murs de méfiance, d'incompréhension, et parfois de haine, qui divisent nos sociétés. " Georges Salines. " Aujourd'hui, c'est avant tout une histoire de confiance et d'amitié qui nous unit. Nous avons appris à nous apprécier, pour comprendre, ensemble, et prévenir. Nous avons remonté le temps, tissé le fil de nos vies et de celles de nos enfants. Pour qu'une telle horreur ne se répète jamais plus. " Azdyne Amimour. Georges Salines a perdu sa fille Lola dans l'attentat du 13 novembre 2015 au Bataclan. Elle avait vingt-huit ans. De sa rencontre avec Azdyne Amimour, père de l'un des assaillants, a émergé un dialogue inédit. Georges Salines porte la mémoire de sa fille et de nombreuses autres victimes, tandis qu'Azdyne Amimour cherche à comprendre comment son fils a pu commettre des actes qu'il condamne sans appel. Poussés par une curiosité mutuelle, tous deux se racontent et déroulent le récit de " leur " 13-Novembre. Au fil de cette conversation, un profond respect est né entre ces deux pères que tout aurait pourtant dû opposer. Leur témoignage nourrit une réflexion apaisée sur la radicalisation, l'éducation et le deuil. Parce que s'il reste les mots, il reste aussi l'espoir.
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Genre littéraire:Roman historique/biographique
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Résumé: Cette fois-ci, c'est sa mère et son frère qui s'en sont allés. À six mois d'intervalle, comme si ces deux-là, qui n'avaient jamais vraiment été séparés, n'avaient pu se résoudre à le rester. Un temps de Toussaint. Elle emportée dans son grand âge, lui par le Covid. Elle, femme fragile et forte à la fois, protégée de ses chagrins (la perte d'un fils, puis d'un mari) par sa volonté de saisir le beau jusque dans ses occurrences les plus ténues, par sa foi (partagée souvent en sa paroisse parisienne de Saint-Séverin avec son ami Michael Lonsdale), par sa rigueur morale et finalement par la poésie qu'elle savait faire naître du quotidien. Lui, gentil ogre empêché, par cette maladie génétique dite du « chromosome X » qui le laissa à jamais handicapé, un peu sur les bas-côtés de la vie, de la sienne, et d'une bouleversante innocence. Garcin, à pas de loup, craignant que le moindre mot, la moindre phrase, ne vienne briser l'harmonie délicate de ces caractères, nous les montre dans leur dénuement comme dans leur richesse intérieure. Il faut à cela beaucoup de bienveillance, beaucoup de tact, et finalement, beaucoup d'amour. Pas mal de talent aussi pour éloigner le spectre de la mièvrerie. Ce qui passe là, en ces pages endeuillées, c'est moins la mort qu'un chant mezza voce de vie. Ces funérailles sont d'une dignité exemplaire, d'une hauteur de vue et de style sans pareille. Une leçon, une chanson douce. Qui serre le cœur.
Durée:6h. 32min.
Genre littéraire:Philosophie/religion/spiritualité
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Résumé: "Faire son deuil", tel est l'impératif qui s'impose à tous ceux qui se trouvent confrontés au décès d'un proche. Cela va-t-il de soi ? Se débarrasser de ses morts est-il un idéal indépassable auquel nul ne saurait échapper s'il ne veut pas trop souffrir ? L'auteure a écouté ce que les gens racontent dans leur vie la plus quotidienne. Et une histoire en a amené une autre. "J'ai une amie qui porte les chaussures de sa grand-mère afin qu'elle continue à arpenter le monde. Une autre est partie gravir une des montagnes les plus hautes avec les cendres de son père pour partager avec lui les plus beaux levers de soleil, etc." Elle s'est laissé instruire par les manières d'être qu'explorent, ensemble, les morts et les vivants. Elle a su apprendre de la façon dont les vivants se rendent capables d'accueillir la présence de leurs défunts. Depuis un certain temps, les morts s'étaient faits discrets, perdant toute visibilité. Aujourd'hui, il se pourrait que les choses changent et que les morts soient à nouveau plus actifs. Ils viennent parfois réclamer, plus fréquemment proposer leur aide, soutenir ou consoler... Ils le font avec tendresse, souvent avec humour. On dit trop rarement à quel point certains morts peuvent nous rendre heureux ! Ce livre a reçu le prix des Rencontres philosophiques de Monaco 2016
Durée:5h. 28min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:67139
Résumé: Une mère, âgée mais indépendante, se trompe de jour, de lieu de rendez-vous avec ses filles, achète des objets superflus et coûteux, oublie dans le coffre de sa voiture les fruits de mer bretons, et se lève la nuit, croyant partir pour une destination inconnue. Cela pourrait être drôle, si ce n'était une maladie mentale due à l'âge, et surtout si cette femme si confuse n'était pas la romancière Benoîte Groult, la mère de l'auteure de ce livre d'une force rare. Benoîte Groult, luttant, jouant avec sa propre fin, mais refusant avec rage de céder à la fatalité et à la vieillesse, elle qui a été une militante de l'association "Pour le droit de mourir dans la dignité " . Voici la femme intime, plus que la femme publique, ici telle qu'on ne la connaît pas, et qui écrivait : "Dans la vie, deux mondes se côtoient : celui des gens qui vont vivre et celui des gens qui vont mourir. Ils se croisent sans se voir". Benoîte s'éteint en juin 2016 à Hyères, à 96 ans. Ecrivaine comblée, mère et grand-mère heureuse, femme de combats remportés. Mais ce que ce livre raconte, ce n'est pas juste le deuil hélas ! prévisible d'une mère admirée et aimée, mais un double deuil : voici le terrible sens du titre, La mère morte. "Maman, mon dernier rempart contre la mort. Bientôt, ce sera moi le rempart pour ma fille" . Le 1er avril 2016, la fille de Blandine de Caunes, Violette, 36 ans, meurt dans un banal accident de voiture, laissant orpheline sa fille Zélie. L'ordre du monde est renversé : Benoîte s'accroche à la vie, Blandine sombre, Violette n'est plus. De Benoîte Groult, sa fille a hérité l'humour et la force vitale. Ce livre n'est pas triste, au contraire. C'est une réconciliation entre trois générations de femme qui partagent le "même amour forcené pour la vie, toujours plus forte que tout" , le credo de Benoîte qu'elle a transmis à sa fille.
Durée:4h. 59min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:16354
Résumé: Ce livre est pour Sophie l'occasion de clore un chapitre douloureux de son passé en entreprenant un véritable travail de deuil, une notion dont on négligeait l'importance il y a vingt-cinq ans. C'est également l'occasion de faire le point sur l'évolution des pratiques dans la prise en charge de la maladie grave et l'accompagnement de fin de vie. Par ailleurs, ce récit débouche sur un paradoxe : Comment peut-on à la fois souffrir de la disparition d'une personne et éprouver l'émergence d'une liberté intérieure qui vous incite à aller au-delà de vous-même ?