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Avorter, un droit en danger ?

Résumé
Les femmes ont toujours eu recours à l'avortement, qu'il soit autorisé ou non, souvent au péril de leur vie. Si de nombreux pays ont rendu légale l'Interruption volontaire de grossesse (IVG) au cours des dernières décennies, ce droit difficilement acquis, pour et par les femmes, est aujourd'hui en pleine régression. Pourquoi l'avortement est-il encore autant sujet à débats ? Ghada Hatem retrace dans ce texte engagé les jalons de l'histoire complexe de l'avortement. Avorter : est-ce bien ou mal ? Loin de du jugement d'ordre moral, elle livre un manifeste en faveur du droit des femmes à disposer de leur corps !
Durée: 51min.
Édition: Paris, La Martinière, 2023
Numéro du livre: 74468
ISBN: 9791040111160
Collection(s): ALT
CDU: 173

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Résumé: Elle (E. Badinter) constate un repli inquiétant sur le terrain des droits des femmes, lequel se manifeste, par exemple, par la forte baisse de la natalité dans tous les pays développés (bien moins nettement en France comme on sait), la hausse conjointe du nombre de femmes qui ne veulent pas avoir d'enfant (en dix ans, la proportion a doublé), le regain des discours naturalistes visant à river les femmes à leur rôle de mère, et plus spécifiquement par le biais d'un diktat concernant l'allaitement. La barque de la maternité est aujourd'hui chargée de trop d'attentes, de contraintes, d'obligations. Il y a péril tant pour la femme et le couple que pour le lien social : quelle perspective offre une société où le fait d'avoir un enfant serait le lieu d'un clivage fatidique ?
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Résumé: " Parce qu'elles sont femmes, elles sont victimes de mutilations génitales, de viols, de traite, d'esclavage sexuel. Parce qu'elles sont femmes, elles subissent des discriminations légales, ne peuvent pas divorcer ou témoigner devant un tribunal. Parce qu'elles sont femmes, elles sont jetées en prison pour avoir avorté de façon clandestine ou même pour une simple fausse couche. Parce qu'elles sont femmes, elles ne peuvent pas aller à l'école et sont réduites à la pauvreté extrême. " Manon Schick retrace, au travers de portraits poignants, le parcours de militantes inconnues mais non moins importantes, chacune ayant fait face aux dangers et difficultés de son pays respectif. Ces femmes ont eu la force remarquable de se rebeller contre l'injustice qu'elles et de bien trop nombreuses autres femmes et jeunes filles subissent partout dans le monde. Elles sont des anonymes courageuses, imparfaites, et humaines, qui rendent le monde meilleur et méritent un hommage pour leur engagement dans une cause sociétale actuelle majeure. Elles sont devenues actrices du changement, héroïnes des droits humains. Le combat pour le respect de nos droits est le même partout dans le monde, qu'il soit défendu par des hommes ou femmes venus de tous horizons. Ce livre fait le portrait inspirant de femmes fortes et engagées d'Afrique, d'Amérique centrale et du sud ou encore du Moyen-Orient, qui ont marqué Manon Schick au cours de sa lutte pour faire avancer les causes féministes et les droits humains.
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Résumé: "J'ai longtemps pensé que l'acte de consentir relevait de l'intimité la plus grande, mélange de désir et de volonté dont la vérité gisait dans un moi profond. Lorsque j'ai entendu ce mot consentement dans des enceintes politiques, Parlement européen, débats télévisuels, discussions associatives, j'ai compris qu'il pénétrait l'espace public comme un argument de poids. Je voyais bien que la raison du consentement, utilisée pour défendre le port du foulard, ou exercer le métier de prostituée, s'entourait de principes politiques avérés, la liberté, la liberté de choisir, la liberté offerte par notre droit ; et la résistance, la capacité de dire non à un ordre injuste. Car dire "oui", c'est aussi pouvoir dire "non", l'âpreté de l'établissement d'un viol nous le rappelle méchamment. J'ai beaucoup cherché, des années durant, à identifier les lieux de l'autonomie des femmes contemporaines. Ce travail sur le consentement m'entraîne, désormais, dans la pensée du lien, du mouvement de l'un vers l'autre des êtres, de chacun des êtres que nous sommes. Par là commence, ainsi, la construction d'un monde".