Recherche par auteur : Bobin, Christian
30 résultats. Page 1 sur 2.
Lu par: Claude Fissé
Durée: 2h. 25min.
Genre: Roman : au sens large et aventures
Numéro: 8931
Quatrième de couverture: " Tu dis n'importe quoi, c'est tellement agréable, d'ailleurs n'importe quoi, ce n'est jamais n'importe quoi : tu es là, tu passes d'une chambre à l'autre, tu parles toute seule, et voilà ce que tu entends quand tu parles toute seule, de la chambre rouge à la chambre jaune, dans le passage : hier j'étais heureuse. Aujourd'hui je suis amoureuse, et ce n'est pas pareil. Et c'est même tout le contraire. "
Lu par: Jean Perrenoud
Durée: 31min.
Genre: Essai/chronique/langage
Numéro: 66726
Quatrième de couverture: Parlant de sa ville natale, Christian Bobin fait exploser toutes les notions tristes d’appartenance, de racines, voire d’identité. Il dessine ses rues, ses maisons préférées, le ciel qui roule au-dessus et contracte le tout dans le dessin d’une feuille d’automne, ou la minuscule cathédrale d’un flocon de neige. Celui qui était réputé immobile, plus sédentaire qu’un arbre, se révèle en vérité habitant de tous les mondes, vagabond de tous les ciels.
Durée: 36min.
Genre: Essai/chronique/langage
Numéro: 23677
Quatrième de couverture: Si l'auteur parle de l'"éloignement du monde" comme d'un petit livre de prières, c'est parce qu'il est le fruit d'une réflexion sur l'homme et sur la solitude et que ces méditations sont écrites comme on tient un journal.
Lu par: Isabelle Chabanel
Durée: 1h. 49min.
Genre: Biographie/témoignage
Numéro: 15604
Quatrième de couverture: Quatrième de couverture : "Je m'égare un peu, ce livre ressemble de plus en plus à ce que ma mère me disait en me voyant sortir, mal coiffé : tu ressembles à l'orage. Ce livre ressemble à l'orage mais, somme toute, une promenade sous la pluie n'est jamais mauvaise, la joie y vient avec la peur."
Lu par: François-Xavier Deschenaux
Durée: 1h. 8min.
Genre: Essai/chronique/langage
Numéro: 19725
Quatrième de couverture: Antonin Artaud, c'est l'impossible que vous exigiez. Il vous revenait de droit, du très haut droit de votre naissance sur la terre peinte en or. Vous cherchiez la vie innocente, la vie au sang de neige, et votre voix, pour l'appeler, était celle d'un enfant de cinq ans, perdu sous l'orage. L'homme du désastre, c'est Antonin Artaud, à qui est adressée cette longue lettre que Bobin écrit avec cette trompeuse douceur qu'on lui connaît et d'où découle une méditation sur l'enfance, l'innocence, la précarité de l'existence.
Lu par: Henriette Kunzli
Durée: 1h. 38min.
Genre: Essai/chronique/langage
Numéro: 19091
Quatrième de couverture: Construit en quinze récits brefs, joliment ponctués de notes manuscrites, ce livre envoûtant est agrémenté d'un Carnet bleu entièrement écrit à la main, envoyé en 1980 à la "plus que vive", son amie Ghislaine morte à 44 ans d'une rupture d'anévrisme. Il y est aussi question de son père atteint de la maladie d'Alzheimer, de la gitane Maria, du peintre Soulages, du génial pianiste Glenn Gould, des Pensées de Pascal, de Typhon de Joseph Conrad, de Suréna de Corneille, d'un tableau de Georges de La Tour... (...) Il y est tout simplement question de son rapport à l'écriture, à la lecture, à l'art, à la nature, à la foi. L'accuse-t-on d'être mièvre ? Christian Bobin répond en citant maître Dôgen, ce sage japonais du XIIIe siècle : "L'univers entier est fait des sentiments et des émotions des fleurs." Comment ne pas savoir gré à l'auteur de L'Inespérée de semer ainsi les mots comme le Petit Poucet ses cailloux pour nous permettre de retrouver quelque sens à la vie ? Comment ne pas lui savoir gré d'écrire : "Le silence, ce cadeau des anges dont nous ne voulons plus, que nous ne cherchons plus à ouvrir" ? Assurément, on a tous en nous quelque chose de Christian Bobin... (lexpress.fr)
Lu par: Michèle Richard
Durée: 2h. 24min.
Genre: Nouvelle
Numéro: 7077
Quatrième de couverture: Christian Bobin nous livre ici onze textes sur les sentiments tels que l'amour, l'amitié, la vie mais aussi son profond mépris de la société et surtout de la télévision qui vient gâcher la pureté dont Bobin nous avoue être "fou".
Lu par: Françoise Dufour
Durée: 2h. 6min.
Genre: Roman : au sens large et aventures
Numéro: 15252
Quatrième de couverture: Derrière la porte fermée à clé de sa chambre, Emily écrit des textes dont la grâce saccadée n'a d'égale que celle des proses cristallines de Rimbaud. Comme une couturière céleste, elle regroupe ses poèmes par paquets de vingt, puis elle les coud et les ressemble en cahiers qu'elle enterre dans un tiroir. 'Disparaître est un mieux'. A la même époque où elle revête sa robe blanche, Rimbaud, avec la négligence furieuse de la jeunesse, abandonne son livre féerique dans la cave d'un imprimeur et fuit vers l'Orient hébété. Sous le soleil clouté d'Arabie et dans la chambre interdite d'Amherst, les deux ascétiques amants de la beauté travaillent à se faire oublier.
Lu par: Henriette Kunzli
Durée: 2h. 51min.
Genre: Roman : au sens large et aventures
Numéro: 10154
Quatrième de couverture: Albe est une petite fille de deux mois. Son père peint, mais cela ne rapporte pas, alors il vend des assurances vies. Sa mère lit des manuscrits et « elle est l'air que l'on mange et le silence qu'on respire ». Et puis il y a les amis, « Ceux qui restent à la maison pour un soir, pour quinze ans. » A quatre ans, Albe est de temps à autre gardée par Guillaume : « Il suffit de l'entendre parler - de n'importe quoi - pour comprendre : dans sa voix, cet écho d'une terre disparue, cette violente nostalgie d'un pays natal. » Un jour le père ne peint plus. Il ne parle plus, il devient irritable et les soirées deviennent infernales. Albe regarde ses parents « qui ne savent plus se parler sans se tuer. Elle crie : vous n'êtes plus mes parents. Vous avez tué mes parents et vous avez pris leur place. Je vous hais. »
Lu par: Simone Reeve-Gagnebin
Durée: 3h. 16min.
Genre: Roman : au sens large et aventures
Numéro: 7874
Quatrième de couverture: C'est le portrait de Lucie, de 2 à 27 ans, petite "elfe" qui court sa vie et ne tient pas en place, qui refuse les carcans, carcans de la société, carcans de l'amour. Elle est capable de tout laisser tomber, (parents, mari, amant, métier...) d'un seul coup, pour deux jours ou pour la vie, pour se trouver ou se retrouver en elle-même, dans la solitude, ou à la rigueur avec celui qu'elle appelle "le gros" (J.S. Bach) qu'elle écoute tellement souvent. Née dans un cirque, elle sera figurante au cinéma, après un court mariage, avant de commencer à écrire.
Lu par: Bernard Goyez
Durée: 1h. 34min.
Genre: Essai/chronique/langage
Numéro: 29468
Quatrième de couverture: Cet ouvrage, qui sonne comme un manifeste, appelle à rétablir le lien perdu avec le passé, à jouir des mots et à lutter contre un monde moderne, électronique et amnésique, qui tend à faire du livre un objet obsolète. ©Electre 2014
Lu par: Laurence Bovay
Durée: 4h. 1min.
Genre: Biographie/témoignage
Numéro: 17691
Quatrième de couverture: Paroles réveillées et recueillies par Lydie Dattas. Transcriptions d'entretiens avec le romancier Bobin, les questions ont été supprimées seules restent les paroles de l'auteur. Il évoque son travail d'écriture, son enfance, ses premières lectures, son goût pour les livres, la poésie, la solitude et la contemplation.
Lu par: Henriette Kunzli
Durée: 2h. 51min.
Genre: Philosophie/religion/spiritualité
Numéro: 10812
Quatrième de couverture: La vie quotidienne vue à travers le regard d'un homme différent, un poète. Ce petit livre contient des entretiens de Christian Bobin avec Charles Julliet, Nelly Bouveret et Judith Brouste. Bobin nous parle de la vie, des enfants, de l'adolescence, de l'art, du regard sur les choses, etc. Toute son Ïuvre tourne autour de ce regard sur les choses. Il voit ce que nous ne voyons plus, sent ce que nous ne sentons plus, trop occupés que nous sommes à courir derrière tout et rien. Dans un de ses recueils, il nous dit jouir d'un reflet de soleil dans une flaque d'eau, du bruit des jeux des enfants dans la cour de l'école et à regarder le frémissement des feuilles dans un arbre avant l'arrivée des premières gouttes de pluie. C'est cela un regard de poète !... C'est voir ce que nous ne voyons pas, ce qui n'existe peut-être pas encore, ce qui pourrait être, si nous nous donnions le temps d'y penser. Bobin, c'est le dialogue avant toute chose. Avec les enfants, les gens, le monde, la nature, sa feuille de papier, l'ordinaire et l'extraordinaire.
Lu par: Jean Perrenoud
Durée: 27min.
Genre: Essai/chronique/langage
Numéro: 68493
Quatrième de couverture: Le sommet de la vie, veux-tu que je te dise ce que c'est ? C'est écrire une lettre d'amour, sentir le feutre appuyer sur le papier, et voir le papier s'ouvrir à une nuit plus grande que la nuit.
Lu par: Arlette Glairon-Mondet
Durée: 1h. 31min.
Genre: Roman : au sens large et aventures
Numéro: 22135
Quatrième de couverture: Les oeuvres de Christian Bobin sonnent souvent comme des prières. Encensé par un large public d'inconditionnels, fustigé par quelques farouches détracteurs, le caractère quasi religieux de cette prose limpide, aérienne, s'épanouit librement dans La plus que vive. Oraison funèbre, "tombeau" à la manière des poètes de la Renaissance, on n'y trouve pourtant nulle trace de ténèbres : Bobin chante son amie morte tel un rossignol, à pleine gorge et en plein soleil. Il fouille ébloui les sources de son amour, scrute l'éclat transparent de la mort, en effleure la vitre infranchissable - du bout des doigts toujours, du bout des lèvres. Avec une grâce, une sincérité détachées de tout effet, il crée un texte fort, tout de blancheur et de neige, comme une page déchirée, vibrante de lumière.
Lu par: Henriette Kunzli
Durée: 19min.
Genre: Poésie
Numéro: 12247
Quatrième de couverture: "Aujourd'hui les gens sont occupés à tuer Dieu. C'est une occupation à plein temps". Une réflexion sur l'amour et la foi.
Lu par: Jean Perrenoud
Durée: 19min.
Genre: Essai/chronique/langage
Numéro: 36920
Quatrième de couverture: Un texte , toujours rempli de poésie, traitant du monde végétal et de l'être humain. - De l'infiniment petit... magique, fragile, négligé à notre monde saturé, surchargé...de fausses valeurs...
Lu par: Alain Burnand
Durée: 2h. 27min.
Genre: Roman : au sens large et aventures
Numéro: 15735
Quatrième de couverture: L'enfant partit avec l'ange et le chien suivit derrière. Cette phrase convient merveilleusement à François d'Assise. On sait de lui peu de choses et c'est tant mieux. Ce qu'on sait de quelqu'un empêche de la connaître. Ce qu'on en dit, en croyant savoir ce qu'on dit, rend difficile de le voir. On dit par exemple : Saint-François-d'Assise. On le dit somnambule, sans sortir du sommeil de la langue. On ne dit pas, on laisse dire. On laisse les mots venir, ils viennent dans un ordre qui n'est pas le nôtre, qui est l'ordre du mensonge, de la mort, de la vie en société.
Lu par: Simon Corthay
Durée: 2h. 24min.
Genre: Essai/chronique/langage
Numéro: 18712
Quatrième de couverture: C'est autour d'un événement - la destruction de Port-Royal par Louis XIV - et d'une idée : retrouver dans les ruines de la société actuelle « les signes d'une vie heureuse, toujours possible », que l'auteur fait s'entrecroiser des portraits du XVIIe (saint François de Sales, Saint-Cyran, Pascal, Racine, etc.) et du XXe siècle (Dhôtel, un clochard, Genet, le grand-père de l'auteur, etc.). Leurs rencontres, leurs paroles, leurs visions tissent une tapisserie lumineuse, pleine d'espérance pour notre siècle en ruine.
Lu par: Isabelle Chabanel
Durée: 2h. 56min.
Genre: Roman : au sens large et aventures
Numéro: 13069
Quatrième de couverture: Il raconte la passion religieuse et idolâtre d'un théologien pour une parfumeuse, qui s'immisce dans l'univers cloîtré de ce biographe des saints par le simple pouvoir de son nom, "parfait, synthèse de tous les noms rêvés": Louise Amour. Un détail minuscule, mais en immenses majuscules, qui fait basculer la vie du narrateur et évince une à une ses convictions les plus pieuses. Créatrice d'un nouveau parfum, "Madone", Louise Amour souhaite utiliser une citation extraite de l'un des livres du narrateur pour en faire la promotion: "Un parfum de rose fait le fond de cette vie." Bien entendu, le narrateur compte refuser, par principe... Louise Amour lui écrit une lettre. Cette lettre conduit à une rencontre. Cette rencontre bouleverse l'ordre des choses. L'auteur de mystiques devient incapable de dire non. Derrière le nom de Louise Amour, dont il est immédiatement tombé amoureux, il découvre un sourire, fatal, qui achève de le séduire. Le jeune théologien abandonne Dieu, le ciel, sa cage de papier et ses souvenirs d'enfance, pour consacrer chacune de ses pensées, chacun de ses écrits, à celle à laquelle il voue un culte sans limite. Il se dédie corps et âme à sa nouvelle religion. Pour le meilleur... et pour le pire.