Lettres de Paul Claudel à Elisabeth Sainte-Marie Perrin et à Audrey Parr
Résumé
Deux correspondances quelque peu contradictoires du célèbre écrivain : avec sa belle-soeur, de 1905 à 1940, d'ordre familial et bourgeois, et avec une amie, la "fée Margotine", de 1919 à 1940, beaucoup plus enjouée.
Lu par :
Thierry Glon
Genre littéraire:
Essai/chronique/langage
Mots-clés:
Roman ÉPISTOLAIRE
Durée:
11h. 14min.
Édition:
Paris, Gallimard, 1990
Numéro du livre:
74581
Produit par:
Association Valentin Haüy
ISBN:
9782070718504
Collection(s):
Cahiers Paul Claudel
CDU:
8
Documents similaires
Lu par : Agnès Hatt
Durée : 12h. 24min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 76247
Résumé:Correspondance entre Paul Claudel et celle qui fut le modèle d'Ysé, Rosalie Vetch, durant cinquante et un ans. Ces lettres permettent de mettre en évidence différentes facettes de Claudel : le diplomate, le créateur, l'amant et le mari mortifié, sa foi et sa passion.
Lu par : Laurence Bardin
Durée : 8h. 53min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 72692
Résumé:Recueil de lettres reflétant la grande diversité des correspondants de l'écrivain français : Marguerite Duras, Michel Déon, Raymond Aron, Jacques de Lacretelle, Jean-François Brisson, Roger Callois, Jeanne Hersch, Claude Lévi-Strauss, Simone Veil, Michel Debré, entre autres. Un dévoilement des jugements littéraires de l'auteur, de ses admirations, de son intimité et de son engagement d'écrivain.
Lu par : Claude Fissé
Durée : 14h. 23min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 19303
Résumé:Au fil de ces 266 lettres, c'est toute la vie de Robert Walser, de ses débuts presque enchantés jusqu'aux sombres années de silence littéraire, qui prend un relief nouveau. Écrites à Zurich, Berlin, Bienne, Berne et Herisau, adressées à ses sœurs, à ses éditeurs, mais aussi à deux femmes, Frieda Mermet, qui fut sa muse et sa confidente, et la toute jeune Therese Breitbach, elles sont des pièces essentielles de son atelier d'écriture ; habitées de tendresse et de colères, d'intransigeance, d'indépendance, d'humour, d'ironie, d'un constant goût de vivre, elles donnent un coup de projecteur sur la carrière et le combat étonnant de l'un des écrivains les plus brillants et les plus mystérieux de la littérature moderne.
Lu par : Suzanne Bettens
Durée : 2h. 32min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 15666
Résumé:Huit auteurs écrivent à leur mère. Ils s'appellent Charles Baudelaire, Ernest Hemingway, Marcel Proust, William Faulkner, Jean Cocteau, André Gide, Henry James, Antoine de Saint-Exupéry. Ils sont jeunes comme Cocteau ou Faulkner, adultes comme Baudelaire ou Proust. Dans ces lettres affleurent l'amour, la tendresse, l'humour, mais aussi les conflits, parfois violents, l'incompréhension entre ces deux êtres, une mère et son fils, qui ont des liens à nul autre pareils. Toutes ces lettres sont différentes mais toutes portent la marque de ce qu'il faut bien appeler la passion.
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 41min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 14249
Résumé:C'est l'une des lettres les plus célèbres de toute la tradition épistolaire occidentale. L'une des plus belles, l'une des plus essentielles aussi. On y a vu l'invention du paysage. Pétrarque, poète et ecclésiastique à la cour papale, a trente deux ans en 1336 lorsqu'il rédige cette lettre à l'attention de son confesseur. Cela fait plus de dix ans qu'il vit à Avignon et que Laure l'a éconduit. Le mont Ventoux appartient au spectacle naturel de la région à laquelle Pétraque est si attaché depuis son enfance. Pic d'une crise spirituelle, le récit de son ascension est celui d'une formidable expérience dont il découvre la portée allégorique. La réconciliation de Pétrarque avec l'ordre du monde et la splendeur de dieu...
Lu par : Vincent Amiel
Durée : 6h. 10min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 75541
Résumé:On s'émerveillera de constater qu'après un demi-siècle à peu près les thèmes de ces médiations n'ont guère perdu de leur actualité. On continue de raisonner sur les usages et les dangers de l'automobile, sur les périls de la pollution - bien que ce fléau fût encore sans nom en 1925 - sur les indications sociologiques fournies par le développement, l'architecture et l'urbanisme, sur les utopies qu'entretiennent les tenants de la cité future, sans oublier les morceaux de bravoures d'un comique intemporel sur les bons usages des belles-mères.
Lu par : Clélia Strambo et Gérald Bloch
Durée : 5h. 57min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 73680
Résumé:Après Lettres à un jeune poète, cette émouvante correspondance est une découverte majeure, riche de lumineuses leçons de vie " Dans la vie, on n'éveille jamais assez souvent le sentiment du commencement en soi, et nul besoin pour cela d'un grand changement extérieur, car nous modifions le monde depuis notre coeur même, et si celui-ci veut bien être neuf et incommensurable, celui-là se présente alors comme au jour de sa création : infini. Si nous devions nous rencontrer un jour et pourquoi cela ne se réaliserait-il pas, vous réclamez que je vous raconte l'histoire d'un commencement nouveau qui se produisit durant une période de mon enfance des plus difficiles et en quelque sorte tout à fait désespérée. Que cela demeure une promesse entre nous. " Cette émouvante correspondance avec la jeune Anita Forrer est une découverte majeure qui comblera tous les amoureux de l'oeuvre de Rainer Maria Rilke. Rendu pour la première fois accessible en langue française, cet échange épistolaire, qui peut se lire comme le prolongement des Lettres à un jeune poète, ouvrit à Anita Forrer des espaces spirituels insoupçonnés et donna un sens nouveau à son existence. Rilke fut son guide et son confident, comme il l'avait été quinze ans plus tôt pour Franz Xaver Kappus. Les lectrices et lecteurs d'aujourd'hui puiseront à leur tour dans ce texte inédit de lumineuses leçons de vie.
Lu par : Sandrine Strobino
Durée : 9h. 6min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 73206
Résumé:Un village sans cimetière est un village mort. Le cimetière de Mase est singulier, tourné plein sud, avec ses croix blanches, ses pierres funéraires sobres, pas une plus haute que les autres. Et surtout, il est capable de séduire les vivants. J’en sais quelque chose, j’y ai laissé, avec bonheur.
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 4h. 40min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 17199
Résumé:Les lettres d'Annemarie Schwarzenbach (1908-1942) à son ami Claude Bourdet - futur grand Résistant et journaliste politique qui deviendra en 1950 l'un des fondateurs de l'ancêtre du Nouvel Observateur - permettent de suivre l'évolution de cette femme écrivain, journaliste et photographe depuis ses premiers pas en littérature jusqu'à la veille de son fameux voyage Genève-Kaboul en voiture avec Ella Maillart. Certes, la voix de Claude Bourdet manque cruellement - ses lettres ont été détruites par la mère d'Annemarie après sa mort -, mais elle n'est pas totalement absente, car on en trouve des échos passionnants dans ses lettres à sa mère, la poétesse Catherine Pozzi, dont se nourrissent les notes du présent ouvrage, et dans un texte émouvant qu'il écrivit en son souvenir et qui est publié ici pour la première fois dans son intégralité.
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 10h. 28min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 30188
Résumé:" Ma chère mère, Si tu possèdes vraiment le génie maternel et si tu n'es pas encore lasse, viens à Paris, viens me voir, et même chercher. Moi, pour mille raisons terribles, je ne puis pas aller à Honfleur chercher ce que je voudrais tant, un peu de courage et de caresses. À la fin de mars, je t'écrivais : Nous reverrons-nous jamais ! J'étais dans une de ces crises où on voit la terrible vérité. Je donnerais je ne sais quoi pour passer quelques jours auprès de toi, toi, le seul être à qui ma vie est suspendue, huit jours, trois jours, quelques heures. [...] Toutes les fois que je prends la plume pour t'exposer ma situation, j'ai peur ; j'ai peur de te tuer, de détruire ton faible corps. Et moi, je suis sans cesse, sans que tu t'en doutes, au bord du suicide. Je crois que tu m'aimes passionnément ; avec un esprit aveugle, tu as le caractère si grand ! Moi, je t'ai aimée passionnément dans mon enfance ; plus tard, sous la pression de tes injustices, je t'ai manqué de respect, comme si une injustice maternelle pouvait autoriser un manque de respect filial ; je m'en suis repenti souvent, quoique, selon mon habitude, je n'en aie rien dit. Je ne suis plus l'enfant ingrat et violent. De longues méditations sur ma destinée et sur ton caractère m'ont aidé à comprendre toutes mes fautes et toute ta générosité. Mais, en somme le mal est fait, fait par tes imprudences et par mes fautes. Nous sommes évidemment destinés à nous aimer, à vivre l'un pour l'autre, à finir notre vie le plus honnêtement et le plus doucement qu'il sera possible. Et cependant, dans les circonstances terribles où je suis placé, je suis convaincu que l'un de nous deux tuera l'autre, et que finalement nous nous tuerons réciproquement. Après ma mort, tu ne vivras plus, c'est clair. Je suis le seul objet qui te fasse vivre. Après ta mort, surtout si tu mourais par une secousse causée par moi, je me tuerais, cela est indubitable. Ta mort, dont tu parles souvent avec trop de résignation, ne corrigerait rien dans ma situation ; le conseil judiciaire serait maintenu (pourquoi ne le serait-il pas ?), rien ne serait payé, et j'aurais par surcroît de douleurs, l'horrible sensation d'un isolement absolu. Moi, me tuer, c'est absurde n'est-ce pas ? [...] Adieu, je suis exténué. Pour rentrer dans les détails de santé, je n'ai ni dormi, ni mangé depuis presque trois jours ; ma gorge est serrée. - Et il faut travailler. Non, je ne te dis pas adieu ; car j'espère te revoir. Oh ! lis-moi bien attentivement, tâche de bien comprendre. Je sais que cette lettre t'affectera douloureusement, mais tu y trouveras certainement un accent de douceur, de tendresse, et même encore d'espérance, que tu as trop rarement entendus Et je t'aime."
Lu par : Lucien Rolland
Durée : 9h. 19min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 34168
Résumé:Balzac, Céline, Sartre, K. Blixen, Napoléon, les lycéens fusillés de Buffon, Kafka, Catherine de Russie... des lettres réunies qui révèlent les relations mère-enfant.
Lu par : Madiana Roy
Durée : 7h. 9min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 75988
Résumé:Quand la Russie déclare la guerre à l'Ukraine, Pavlov, écrivain, décide de s'engager dans l'armée ukrainienne tandis que sa femme Viktoriya, agente littéraire, s'exile en France avec leurs quatre enfants. Cette correspondance est comme un fil tressé qui parvient à abolir la distance et la séparation. Il y est question de violence, de deuil, de chagrin mais aussi et surtout d'amour.