Contenu

Après l'orage

Quatrième de couverture
A la mort de son mari en 2019, la journaliste est confrontée à la violence de la disparition de l'être aimé. Elle évoque la première année d'une vie sans lui et les étapes de la reconstruction de soi.
Durée: 3h. 53min.
Édition: Paris, Flammarion, 2021
N° de notice: 73007
ISBN: 9782080260635
Collection(s): Document

Documents similaires

Lu par: Evelyne Rochat
Durée: 2h. 52min.
Genre: Biographie/témoignage
Numéro: 16745
Quatrième de couverture: ... Le conseiller funéraire, malgré trente ans d'expérience, continue à apprendre son métier en écoutant. «Chaque famille, chaque situation est nouvelle. Mon souci est de ne rien voler de ces instants qui leur appartiennent.» Edmond Pittet raconte à quel point un temps de recueillement est primordial. «Quatre personnes sur dix meurent de manière inattendue. Il faut offrir à la famille la possibilité de s'approprier cette fin de vie, de parler au défunt, de prendre congé. Nous sommes sur le terrain du sacré.»
Lu par: Lisette Vogel
Durée: 8h. 18min.
Genre: Philosophie/religion/spiritualité
Numéro: 31723
Quatrième de couverture: Lorsque mon père est décédé, j'ai placé des objets dans son cercueil. Je n'en ai parlé à personne. Puis j'ai interrogé des médiums qui disent communiquer avec les morts. Découvriront-ils de quels objets il s'agit ? C'est le test. Peut-on parler avec les morts ? Des femmes et des hommes le prétendent et en font même profession. Des milliers de gens les consultent. Ces capacités sont-elles réelles ou est-ce une illusion ? Pour répondre à ces interrogations, Stéphane Allix a testé six médiums. Les résultats sont stupéfiants et confirment ce que révèlent les recherches scientifiques menées sur ce sujet : la vie après la mort est aujourd'hui une hypothèse rationnelle. Comment devient-on médium ? Est-ce un don ou une malédiction ? Comment décrire ce qui se passe lors de la mort ? Où va-t-on après ? Consulter un médium peut-il aider au processus de deuil ? Comment éviter les charlatans ? Autant de questions que ce livre aborde, nous entraînant à la découverte d'une réalité à la fois simple et vertigineuse : il est possible de communiquer avec ceux que nous aimons au-delà de la mort.
Durée: 2h. 36min.
Genre: Philosophie/religion/spiritualité
Numéro: 68538
Quatrième de couverture: La vie de mon fils a été interrompue de façon imprévisible et violente. D’une façon en quelque sorte inacceptable. Mais je veux soutenir ici qu’en dépit de ces apparences, sa vie, singulière comme toute vie réellement subjectivée, a existé, pleinement, porteuse d’un sens dont la signification et l’usage avaient valeur universelle.
Durée: 4h. 46min.
Genre: Biographie/témoignage
Numéro: 13119
Quatrième de couverture: Ce témoignage de Claude Couderc, journaliste et écrivain, porte plus sur son deuil de père que sur la leucémie aiguë qui a tué son fils de quinze ans. S'interrogeant sur les raisons de cette maladie et de cette injustice, 'harcelé par des souvenirs de toi dans la douleur (comme par) les moments heureux' qui augmentent sa peine et sa révolte, le père est discret sur les 'images d'un film d'épouvante' et ne peut s'interdire un sentiment de culpabilité après que la greffe de moelle osseuse qu'il adonnée pour traiter son fils a échoué. Allant au cimetière tous les jours, secoué de sanglots et inondé de larmes à tout moment, hanté par des tentations de suicide dont le détournera le reste de sa famille, il survit avec les souvenirs omniprésents d'un enfant doué et gâté pendant sa maladie, photographié et filmé pour garder sa présence. Loin du silence, le père crie, hurle, écrit, inscrit le nom d'Adrien partout, dans la réalité comme dans ses rêves. On est aux antipodes de la sobre réaction de Xenophon apprenant la mort de son fils à la guerre et maîtrisant sa douleur :'Je savais que le fils que j'ai engendré était mortel'. Bernard Hoerni
Lu par: Flory Lambelet
Durée: 2h. 48min.
Genre: Biographie/témoignage
Numéro: 15893
Quatrième de couverture: L'actrice raconte sa relation avec Léon Schwartzenberg, qu'elle a accompagné jusqu'à ce qu'il meure d'un cancer, et comment elle a ensuite trouvé refuge dans l'alcool.
Lu par: Anne Béranger
Durée: 5h. 59min.
Genre: Biographie/témoignage
Numéro: 68444
Quatrième de couverture: " Ce dialogue inattendu avec un homme musulman, tolérant, et pourtant père de djihadiste, représentait une extraordinaire opportunité de montrer qu'il nous était possible de parler. Si un tel échange avait lieu entre nous, alors nous pouvions abattre les murs de méfiance, d'incompréhension, et parfois de haine, qui divisent nos sociétés. " Georges Salines. " Aujourd'hui, c'est avant tout une histoire de confiance et d'amitié qui nous unit. Nous avons appris à nous apprécier, pour comprendre, ensemble, et prévenir. Nous avons remonté le temps, tissé le fil de nos vies et de celles de nos enfants. Pour qu'une telle horreur ne se répète jamais plus. " Azdyne Amimour. Georges Salines a perdu sa fille Lola dans l'attentat du 13 novembre 2015 au Bataclan. Elle avait vingt-huit ans. De sa rencontre avec Azdyne Amimour, père de l'un des assaillants, a émergé un dialogue inédit. Georges Salines porte la mémoire de sa fille et de nombreuses autres victimes, tandis qu'Azdyne Amimour cherche à comprendre comment son fils a pu commettre des actes qu'il condamne sans appel. Poussés par une curiosité mutuelle, tous deux se racontent et déroulent le récit de " leur " 13-Novembre. Au fil de cette conversation, un profond respect est né entre ces deux pères que tout aurait pourtant dû opposer. Leur témoignage nourrit une réflexion apaisée sur la radicalisation, l'éducation et le deuil. Parce que s'il reste les mots, il reste aussi l'espoir.
Lu par: Annie Belet
Durée: 3h. 46min.
Genre: Biographie/témoignage
Numéro: 66600
Quatrième de couverture: A la mort de son père, unijambiste alcoolique et poète sensible, la narratrice doit vider la maison familiale de Carrières-sous-Poissy. Ce capharnaüm devient un réseau de signes et de souvenirs éclairant la personnalité de ce colosse fragile. Comme venue du passé, une lettre arrive qui dit toute la vérité sur ce père aimé malgré la distance sociale.
Durée: 6h. 32min.
Genre: Philosophie/religion/spiritualité
Numéro: 73564
Quatrième de couverture: "Faire son deuil", tel est l'impératif qui s'impose à tous ceux qui se trouvent confrontés au décès d'un proche. Cela va-t-il de soi ? Se débarrasser de ses morts est-il un idéal indépassable auquel nul ne saurait échapper s'il ne veut pas trop souffrir ? L'auteure a écouté ce que les gens racontent dans leur vie la plus quotidienne. Et une histoire en a amené une autre. "J'ai une amie qui porte les chaussures de sa grand-mère afin qu'elle continue à arpenter le monde. Une autre est partie gravir une des montagnes les plus hautes avec les cendres de son père pour partager avec lui les plus beaux levers de soleil, etc." Elle s'est laissé instruire par les manières d'être qu'explorent, ensemble, les morts et les vivants. Elle a su apprendre de la façon dont les vivants se rendent capables d'accueillir la présence de leurs défunts. Depuis un certain temps, les morts s'étaient faits discrets, perdant toute visibilité. Aujourd'hui, il se pourrait que les choses changent et que les morts soient à nouveau plus actifs. Ils viennent parfois réclamer, plus fréquemment proposer leur aide, soutenir ou consoler... Ils le font avec tendresse, souvent avec humour. On dit trop rarement à quel point certains morts peuvent nous rendre heureux ! Ce livre a reçu le prix des Rencontres philosophiques de Monaco 2016
Lu par: Jean Perrenoud
Durée: 6h. 8min.
Genre: Biographie/témoignage
Numéro: 71181
Quatrième de couverture: C'est durant la réception internationale de La Plus Précieuse des marchandises que Jean-Claude Grumberg perd Jacqueline son épouse. Depuis, jour et nuit, il tente de lui dire tout ce qu'il n'a pas pu ou pas osé lui dire. Sans se protéger, ni rejeter ce qu'il ne peut ni ne veut comprendre, il dialogue avec la disparue. Incrédulité, révolte, colère se succèdent. Dans ses propos en cascades, réels ou imaginaires, qui évoquent la vie de tous les jours, Grumberg refuse de se raisonner, de brider son deuil. Les jeux de mots, l'humour, l'ironie, l'autodérision n'y changent rien. Dans ce livre, où alternent trivialité et gravité, entre clichés et souvenirs, l'auteur dit la difficulté d'exprimer ce qu'il ressent. Jean-Claude Grumberg fait son livre " pour et avec " Jacqueline, exaltant l'amour et l'intimité de la vie d'un couple uni pendant soixante ans.
Durée: 5h. 28min.
Genre: Biographie/témoignage
Numéro: 67139
Quatrième de couverture: Une mère, âgée mais indépendante, se trompe de jour, de lieu de rendez-vous avec ses filles, achète des objets superflus et coûteux, oublie dans le coffre de sa voiture les fruits de mer bretons, et se lève la nuit, croyant partir pour une destination inconnue. Cela pourrait être drôle, si ce n'était une maladie mentale due à l'âge, et surtout si cette femme si confuse n'était pas la romancière Benoîte Groult, la mère de l'auteure de ce livre d'une force rare. Benoîte Groult, luttant, jouant avec sa propre fin, mais refusant avec rage de céder à la fatalité et à la vieillesse, elle qui a été une militante de l'association "Pour le droit de mourir dans la dignité " . Voici la femme intime, plus que la femme publique, ici telle qu'on ne la connaît pas, et qui écrivait : "Dans la vie, deux mondes se côtoient : celui des gens qui vont vivre et celui des gens qui vont mourir. Ils se croisent sans se voir". Benoîte s'éteint en juin 2016 à Hyères, à 96 ans. Ecrivaine comblée, mère et grand-mère heureuse, femme de combats remportés. Mais ce que ce livre raconte, ce n'est pas juste le deuil hélas ! prévisible d'une mère admirée et aimée, mais un double deuil : voici le terrible sens du titre, La mère morte. "Maman, mon dernier rempart contre la mort. Bientôt, ce sera moi le rempart pour ma fille" . Le 1er avril 2016, la fille de Blandine de Caunes, Violette, 36 ans, meurt dans un banal accident de voiture, laissant orpheline sa fille Zélie. L'ordre du monde est renversé : Benoîte s'accroche à la vie, Blandine sombre, Violette n'est plus. De Benoîte Groult, sa fille a hérité l'humour et la force vitale. Ce livre n'est pas triste, au contraire. C'est une réconciliation entre trois générations de femme qui partagent le "même amour forcené pour la vie, toujours plus forte que tout" , le credo de Benoîte qu'elle a transmis à sa fille.
Lu par: Michel Zendali
Durée: 1h. 51min.
Genre: Biographie/témoignage
Numéro: 35696
Quatrième de couverture: Voici quelques mois, Jean François Billeter a perdu Wen, son épouse. Face à ce drame, l'auteur a décidé de faire oeuvre utile, de partager les sentiments qui l'ont traversé et les observations qu'il a pu faire dans cette période agitée. Dans ce récit entre confession et journal de bord, il décrit les "opérations salvatrices" qui se produisent en lui au fil du temps. Mais ces observations ne touchent ni la seule personne de l'auteur, ni celle de son épouse en particulier, mais quiconque se trouve confronté à une telle situation. De tels bouleversements sont riches en enseignements : ils nous apprennent "de quoi nous sommes faits". A la précision de l'observation s'ajoute la clarté du style, dans cet ouvrage qui répond à la nécessité de partager une expérience intime à caractère universel.
Durée: 4h. 35min.
Genre: Biographie/témoignage
Numéro: 19177
Quatrième de couverture: À la veille de ses six ans, Olivier fut fauché par une voiture. Il ne survécut pas à l'accident. II était le frère jumeau de Jérôme Garcin. Olivier a grandi en lui, en même temps que lui. Une présence fantomatique qui lui a donné très tôt le goût du repli, et un étrange rapport à l'existence. Dans ce récit, Jérôme Garcin remonte le fil de ses souvenirs, met en regard les grands textes littéraires ainsi que les écrits scientifiques consacrés à la gémellité. et retrouve à chaque fois un peu de ce frère perdu. Un jeu de miroir et de mémoire pour tenter de dire ce drame qui a déterminé sa vie. Olivier prolonge La chute de cheval et Théâtre intime, deux récits antobiographiques...