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L'(h)auteur et l'éditeur: guide et méthodes

Résumé
S'appuyant sur son expérience personnelle, l'auteur livre une critique du milieu éditorial français. Il commente également différents modèles de contrats d'édition.
Lu par : Agnès Hatt
Genre littéraire: Essai/chronique/langage
Durée: 7h. 38min.
Édition: Almenèches (Orne), Ed. des Vérités, 2019
Numéro du livre: 70826
ISBN: 9782916241272
CDU: 002

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Durée : 25h. 11min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
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Résumé:Qualifié à sa mort, en 2014, de « grand fauve de l’édition », Jean- Jacques Pauvert, l’éditeur de Sade et d’Histoire d’O, est souvent vu comme un franc-tireur sulfureux. Cette image est un cliché. D’abord parce que Pauvert ne s’est jamais limité à la littérature érotique, construisant un catalogue original et d’une qualité rare. Ensuite parce qu’il n’a jamais cessé de ferrailler contre la censure pour le grand bien de tous. Et qu’enfin, éditeur à vingt ans, il restera plutôt, avec quelques autres, l’incarnation de l’éditeur indépendant. À partir de précieux fonds d’archives publics et privés et d’échanges avec les grands acteurs de la geste pauvertienne, l’auteure éclaire sous son vrai jour l’itinéraire plein de panache d’un éditeur au non-conformisme assumé, devenu sur le tard écrivain érudit.
Lu par : Brigitte Bordron
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Genre littéraire : Essai/chronique/langage
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Résumé:"Coup de sang" d'un éditeur - qui reçoit cinq cents manuscrits par an - autant que déclaration d'amour aux écrivains. Ouvrage de pédagogie, également, à l'attention de ceux qui "se fantasment écrivains", comme l'a écrit si joliment une journaliste, cette Lettre, enrichie de réponses d'auteurs et de considérations sur l'édition, devrait figurer dans les bibliothèques de tous ceux qui ont un penchant pour "livresse" : auteurs comme libraires, bibliothécaires, étudiants des formations "métiers du livre" ou tout simplement lecteurs impénitents...
Lu par : Anne Béranger
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Genre littéraire : Essai/chronique/langage
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Résumé:L'auteure, passionnée de littérature, livre les souvenirs de ses années de travail comme standardiste à l'accueil de la maison d'édition Fayard, au cours desquelles elle rencontre nombre d'écrivains. Elle donne à voir de l'intérieur le petit monde de l'édition parisienne et rend hommage à Claude Durand, le patron de Fayard, mort en 2015.
Lu par : Anne Ballandras
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Genre littéraire : Essai/chronique/langage
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Résumé:En 1972, un jeune éditeur de 28 ans prend contact avec un écrivain un peu oublié qui en a 63. L'un est un passionné, à la recherche d'incunables publiés sous pseudonyme, l'autre un sauvage qui, cependant, se pique au jeu, et voit renaître une part oubliée de son oeuvre. Au "Cher Monsieur" des premiers échanges succède vite un "Mon vieux Guérif" , qui devient une tradition. François Guérif sera l'éditeur de Malet, et leur amitié se poursuivra jusqu'à la mort de l'écrivain. Dans ses lettres, Léo Malet ressemble étrangement à son héros Nestor Burma : ironique, caractériel, tendre et filou, avec un goût prononcé pour l'érotisme. Quant aux savoureuses dédicaces-collages néo-surréalistes de Léo Malet à François Guérif, elles témoignent de la complicité qui unit les deux hommes. Accompagnant le témoignage de la vie quotidienne de l'écrivain Léo Malet, cette correspondance embrasse les thèmes de la création littéraire, du métier de l'édition et de la cinéphilie.
Durée : 13h. 51min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
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Résumé:Ecrit-on pour les enfants ou les adolescents comme on écrit pour les adultes ? Comment construire une intrigue, inventer des personnages, captiver jeunes lecteurs et jeunes lectrices et voir ses textes publiés ? C'est en apprenant à lire la littérature jeunesse qu'on peut apprendre à l'écrire, répond Clémentine Beauvais. A l'aide de nombreux exemples tirés de romans et d'albums, elle livre outils théoriques, méthodes, conseils pratiques et anecdotes pour écrire ses propres textes, de l'idée de départ au point final.
Lu par : Henri Duboule
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Genre littéraire : Essai/chronique/langage
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Résumé:"Je suis né dans un monde, un siècle et un milieu où les premiers objets que je perçus , quand je fus assez grand pour le faire, furent des Bugatti, et non des diligences, des avions Caudron et Bréguet et non des montgolfières. Ces engins me parurent toujours familiers, je dirai même naturels et je me rendis compte en les voyant que la Beauté n'avait nullement déserté ce siècle mécanique, qu'Elle aussi pouvait habiter le métal, le verre ou le béton. Il m'apparaît de plus en plus que ce monde moderne a un génie à lui, des inventions irremplaçables et des trouvailles qui auraient sûrement plu -ou n'auraient pas déplu- à Balzac ou Baudelaire. De ces trouvailles, ces inventions, et ces beautés, j'ai voulu rendre compte en ce livre, cahier de rédaction, de lecture pour le temps présent et recueil des morceaux choisis de ma modernité."
Lu par : Jean Frey
Durée : 12h. 39min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
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Résumé:Quatrième de couverture : [...] essai d'élucidation de la création littéraire et artistique, mais encore une recherche précise de ce qui est en jeu pour l'homme d'aujourd'hui, par le fait que "quelque chose comme l'art ou la littérature existe" : descente vers la profondeur , approche de l'obscurité, expérience de la solitude et de la mort. [...]
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Résumé:« Sans esprit de sérieux mais sérieux en tout ce qu'il touche, Erik Orsenna se montre tel qu'en lui-même dans ce recueil sur-vitaminé d'images et d'idées. Chez lui, l'humour est ami de la profondeur. Écrivain-voyageur, reporter d'inquiétude et parfois de colère, grammairien anti-jargonnant, vénérable curieux invétéré, cet éternel jeune homme en habit vert est un caméléon du savoir. Et plus il sait, plus il partage. C'est un professeur qui parle à voix douce, et comme tous les conteurs, il vous entraîne là où il a choisi de vous emmener, de la banquise du Grand Nord au grand froid des prisons, des frontières de l'Europe à la forêt de Zika où règnent d'inquiétants moustiques. Toujours apprendre, toujours comprendre, ce pourrait être la devise de ce mousquetaire des mots qui n'est jamais si heureux qu'en sortant de lui-même pour y trouver de quoi nous rassasier, nous émouvoir, nous épater. »
Durée : 8h. 12min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
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Résumé:Au fil des neuf parties indépendantes de cet essai, les mêmes personnages reviennent et se croisent : Stravinski et Kafka avec leurs curieux amis Janacek et Hemingway ; Rabelais et ses héritiers, les grands romanciers. L'art du roman est le héros principal du livre : l'esprit de l'humour dont il est né ; sa mystérieuse parenté avec la musique ; son histoire qui se déroule (comme celle de la musique) en trois temps ; l'esthétique du troisième temps (le roman moderne). Et la sagesse existentielle du roman. Sous son éclairage sont examinées les grandes situations de notre ère : les procès moraux intentés contre l'art du siècle l'indiscrétion généralisée annonçant le crépuscule de l'individualisme ; les testaments trahis (de l'Europe, de l'art, de l'art du roman, des auteurs).
Lu par : Henriette Kunzli
Durée : 3h. 24min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 16027
Résumé:Présentation de l'éditeur : Toute sa vie, François Cheng a été habité par l'errance orientale de Victor Segalen, étrangement semblable à son propre périple occidental. C'est même par le cycle chinois de l'oeuvre de Segalen, lui aussi poète, romancier et critique d'art, que Cheng a d'abord visité de façon imaginaire une Chine qu'il avait quittée jeune. François Cheng dit ici l'intime proximité spirituelle qui le relie à Victor Segalen. Comme lui, la surface ne l'intéresse pas : il est allé voir " ailleurs " pour mieux voir au-dedans. Non pour se fuir mais pour se chercher. Les deux poètes " exotes ", selon l'expression de Victor Segalen, nous invitent à une trajectoire croisée qui voit la meilleure part des deux traditions s'amalgamer en un trésor unique, donnant naissance à une parole qui ouvre sur l'universel.
Lu par : Delphine Horst
Durée : 1h. 40min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 13874
Résumé:Publiée en 1953 aux Éditions de Minuit, La Fausse Parole ne donne à découvrir qu'une partie de son oeuvre, celle consacrée aux investigations radiophoniques. Cette réédition s'enrichit de deux textes ayant trait au travail de l'écoute, et de quelques bulletins ronéotypés, tels qu'il les distribuait à ses abonnés (parmi lesquels figurait l'Élysée). La Fausse Parole peut être tenue pour la lecture théorique et critique que Robin formule après dix ans de pratique sur son propre travail, qui visait à obtenir des renseignements inédits et à tenter de prévoir l'événement (par exemple la dénonciation du culte de la personnalité après la mort de Staline en 1953 et la tension des relations sino-soviétiques).
Lu par : Henriette Kunzli
Durée : 1h. 38min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 19091
Résumé:Construit en quinze récits brefs, joliment ponctués de notes manuscrites, ce livre envoûtant est agrémenté d'un Carnet bleu entièrement écrit à la main, envoyé en 1980 à la "plus que vive", son amie Ghislaine morte à 44 ans d'une rupture d'anévrisme. Il y est aussi question de son père atteint de la maladie d'Alzheimer, de la gitane Maria, du peintre Soulages, du génial pianiste Glenn Gould, des Pensées de Pascal, de Typhon de Joseph Conrad, de Suréna de Corneille, d'un tableau de Georges de La Tour... (...) Il y est tout simplement question de son rapport à l'écriture, à la lecture, à l'art, à la nature, à la foi. L'accuse-t-on d'être mièvre ? Christian Bobin répond en citant maître Dôgen, ce sage japonais du XIIIe siècle : "L'univers entier est fait des sentiments et des émotions des fleurs." Comment ne pas savoir gré à l'auteur de L'Inespérée de semer ainsi les mots comme le Petit Poucet ses cailloux pour nous permettre de retrouver quelque sens à la vie ? Comment ne pas lui savoir gré d'écrire : "Le silence, ce cadeau des anges dont nous ne voulons plus, que nous ne cherchons plus à ouvrir" ? Assurément, on a tous en nous quelque chose de Christian Bobin... (lexpress.fr)