Contenu

Faire face à la perversion

Résumé
De la pédophilie à l’inceste, du harcèlement moral ou sexuel en entreprise, en famille ou en groupe jusqu’aux relations mortifères que provoquent les « pervers narcissiques » : partout la perversion est un danger réel susceptible de culpabiliser, d’humilier, et même de détruire la personne. Certes, la psychologie apporte des outils de défense, mais la spiritualité peut, elle aussi, nous aider à « sortir par le haut » de situations inextricables. C’est ce que montre Lytta Basset en se fondant sur une exégèse originale de récits évangéliques pour répondre à dix facettes de la perversion (manipulation, harcèlement, humiliation…).
Durée: 13h. 56min.
Édition: Paris, Albin Michel, 2019
Numéro du livre: 67581
ISBN: 9782226445308
CDU: 248

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Durée:9h. 23min.
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Numéro du livre:73149
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Genre littéraire:Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre:34839
Résumé: Il arrive que l'on soit témoin du monde de l'Invisible. Mais quelle que soit l'intensité de cette expérience, pourquoi cesserait-on d'être en quête ? interroge Lytta Basset. "On serait alors tenté d'invalider le témoignage d'autrui : ne s'étripe-t-on pas encore et toujours entre témoins qui, persuadés d'avoir trouvé "Dieu", ne Le cherchent plus ? En revanche, on s'enrichit d'autant plus des expériences spirituelles des autres qu'on demeure profondément des chercheurs. Personnellement, j'ai beau avoir plusieurs fois vécu des rencontres lumineuses avec Lui, mon pain quotidien reste la quête. Impossible de thésauriser." Pour Lytta Basset, il importe davantage d'être crédible pour autrui par son comportement que croyant déclaré. La Vie nous offre bien des manières de nourrir notre désir de la Source, pour autant que nous acceptions d'endurer le vide que creuse en nous le retrait des autres, de l'Autre. L'auteur dAirnersans dévorer et d'Oserla bienveillance a mis beaucoup d'elle-même dans cet essai remarquable qui renverse les idées reçues sur la perception du divin, nous montre les impasses d'une certaine théologie trop sûre d'elle-même, et nous invite à nous découvrir ou nous (re)connaître comme des assoiffés d'infini.
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Résumé: C'est un courrier. Une longue missive visant à mettre les choses au point. De manière définitive. Le lecteur entre alors dans Un garçon qui court comme au dernier acte d'un drame. Le pire a été commis, restent les explications. Et un sentiment amer, le dégoût.
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Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
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Résumé: « Le pistolet était placé à côté du frein à main. Quand le conducteur fut assuré que personne ne pouvait voir la scène sur le point de se dérouler, la scène imaginée, fantasmée, celle qui marquerait son entrée hors du champ de la norme, de la loi, de la vie sociale, quand il fut tout à fait sûr que la longue et morne rue longeant le mur d'enceinte du lycée était déserte, il prit l'arme, la pointa sur ma tête, m'ordonna d'ouvrir la portière et de monter à l'avant, à côté de lui, à la place du mort. » David a douze ans et attend la belle Nina devant l'aumônerie jouxtant le lycée. Elle ne viendra jamais au rendez-vous. À la place, une Peugeot bleue et un homme armé. Il ne relâchera l'enfant que trois heures plus tard. Trois heures, le temps pour le bourreau de commettre son crime. Trois heures dans la tête de l'enfant qui fera tout pour survivre. Entremêlés à ces heures obscures, les fragments de sa vie d'adulte et d'une enfance à l'ombre d'un frère absent : une banlieue tranquille au mitan des années 1980, quelques échappées sur la Côte d'Azur, des voyages lointains et des amours lumineuses pour tromper le vertige. Femmes et paysages dessinent une géographie intime secouée de tremblements. Nulle vallée de larmes, juste l'urgence de trouver la liberté, l'amour, la poésie. L'écriture somptueuse nous plonge au cœur de ce combat pour conjurer la tragédie et rester du côté de ceux qui sont « un peu plus vivants que morts ». Un premier roman à bout portant.