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Oser la bienveillance

Résumé
Qui croit encore au péché originel ? Les Eglises elles-mêmes n'en parlent plus guère, et la sécularisation nous a fait ranger ce dogme au rang des vieilleries moralisantes. Et pourtant ! Après avoir terrorisé nos ancêtres, il fait encore sentir ses ravages dans bien des domaines, et notamment celui de l'éducation : que nous le voulions ou non, nous avons intégré cette perception négative de la nature humaine, et la reproduisons sans cesse. Lytta Basset décrit ici la généalogie et l'impact de cette notion profondément nocive qui remonte à saint Augustin, et qui contredit les premiers Pères de l'Eglise...
Durée: 13h.
Édition: Paris, Albin Michel, 2014
Numéro du livre: 20218
ISBN: 9782226253880
CDU: 241

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Lu par : Madiana Roy
Durée : 9h. 23min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 73149
Résumé:Dans Ce lien qui ne meurt jamais, Lytta Basset racontait comment elle avait fait l’expérience de contacts avec son fils aîné mort par suicide à l’âge de vingt-quatre ans. Mais la théologienne protestante, à la fois par discrétion et parce que sa formation ne l’avait pas préparée à de tels aveux, n’avait alors pas tout dit des circonstances qui l’avaient amenée à témoigner. Quinze ans plus tard, elle ose révéler ce qu’elle appelle « l’Evénement improbable » qui l’a « remise dans le courant de la vie ».
Lu par : Manon
Durée : 7h. 14min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 34839
Résumé:Il arrive que l'on soit témoin du monde de l'Invisible. Mais quelle que soit l'intensité de cette expérience, pourquoi cesserait-on d'être en quête ? interroge Lytta Basset. "On serait alors tenté d'invalider le témoignage d'autrui : ne s'étripe-t-on pas encore et toujours entre témoins qui, persuadés d'avoir trouvé "Dieu", ne Le cherchent plus ? En revanche, on s'enrichit d'autant plus des expériences spirituelles des autres qu'on demeure profondément des chercheurs. Personnellement, j'ai beau avoir plusieurs fois vécu des rencontres lumineuses avec Lui, mon pain quotidien reste la quête. Impossible de thésauriser." Pour Lytta Basset, il importe davantage d'être crédible pour autrui par son comportement que croyant déclaré. La Vie nous offre bien des manières de nourrir notre désir de la Source, pour autant que nous acceptions d'endurer le vide que creuse en nous le retrait des autres, de l'Autre. L'auteur dAirnersans dévorer et d'Oserla bienveillance a mis beaucoup d'elle-même dans cet essai remarquable qui renverse les idées reçues sur la perception du divin, nous montre les impasses d'une certaine théologie trop sûre d'elle-même, et nous invite à nous découvrir ou nous (re)connaître comme des assoiffés d'infini.
Durée : 12h. 54min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 17731
Résumé:Pour l'auteure, il s'agit ici de trouver en soi le souffle d'amour capable de nous soutenir et de nous élever dans le difficile apprentissage d'une relation vraie. Or ce souffle d'amour n'est autre que le souffle saint, ou souffle de liberté, dont parle Jésus, trace de la transcendance en nous, et signe de notre liberté intérieure.
Durée : 8h. 17min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 10419
Résumé:C'est toujours pour de « bonnes raisons » que nous jugeons autrui, au nom d'une prétendue morale chrétienne, ou de valeurs laïques qui en dérivent peu ou prou, oubliant l'affirmation de Jésus : « Moi, je ne juge personne. » Lytta Basset analyse ici notre besoin de juger l'autre, symptôme d'une peur fondamentale. En entrant dans le récit évangélique de « la femme adultère », nous devenons acteurs de ce drame dans lequel on voit les défenseurs de la morale religieuse présenter à Jésus une misérable « traînée », pour qu'il la juge. Au fil de cette lecture de l'Évangile de Jean, alors que sont convoquées quelques autres figures bibliques comme celle de Judas, nous sommes peu à peu transformés de manière subtile, renvoyés à nos angoisses personnelles, confrontés à notre être profond. Et là, guéris de toute peur par Celui qui ne juge personne, nous Le suivons enfin dans ce pays où il n'est plus question de jeter la pierre à autrui.
Durée : 8h. 48min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 10906
Résumé:Nous abordons toujours le problème du mal à partir de ce que les choses devraient être, et des concepts a priori de Bien et de Mal. Lytta Basset, professeure de théologie et pasteure, propose ici une tout autre voie : prendre pour point de départ l'expérience, autrement dit le moi souffrant, le mal subi par chacun de nous. En s'appuyant sur des récits bibliques et sur les paroles de Jésus, cet ouvrage fait apparaître que tout être humain possède en lui le pouvoir de pardonner, à condition qu'il accepte de mettre à nu sa blessure, de regarder vraiment ce qui s'est passé, et de tout "laisser aller". Une telle "bonne nouvelle" vaut la peine de travailler sur soi : ainsi est-on entraîné dans l'abîme d'un pardon plus originel que l'abîme du malheur dans lequel on s'était noyé.
Durée : 13h. 56min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 67581
Résumé:De la pédophilie à l’inceste, du harcèlement moral ou sexuel en entreprise, en famille ou en groupe jusqu’aux relations mortifères que provoquent les « pervers narcissiques » : partout la perversion est un danger réel susceptible de culpabiliser, d’humilier, et même de détruire la personne. Certes, la psychologie apporte des outils de défense, mais la spiritualité peut, elle aussi, nous aider à « sortir par le haut » de situations inextricables. C’est ce que montre Lytta Basset en se fondant sur une exégèse originale de récits évangéliques pour répondre à dix facettes de la perversion (manipulation, harcèlement, humiliation…).
Durée : 6h. 31min.
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Numéro du livre : 15208
Résumé:Présentation de l'éditeur : " Aucun livre ne m'a autant coûté. Sa matrice est un journal intime que j'ai entrepris de tenir dès les premières semaines du deuil, après le suicide de notre fils Samuel, âgé de 24 ans... Au plus épais du brouillard qui avait alors avalé tous mes repères, il me semblait discerner quelques lucioles sur le sentier incertain que je suivais en funambule. Cinq ans plus tard, j'ai repris des éléments de ce document autobiographique en les rédigeant à la troisième personne, et en les accompagnant de méditations ou de réflexions formulées en "je". Déjà, j'avais commencé à aborder publiquement ces sujets demeurés largement tabous dans nos sociétés occidentales : la mort, le suicide, l'au-delà, notre rapport aux réalités invisibles... Et, chaque fois ces interventions suscitaient des confidences de la part de personnes bouleversées qui m'encourageaient à témoigner. Le chemin de vérité qui mène à une Vie plus forte que l'irréparable n'est pas l'apanage des croyants. Le clivage est ailleurs. Il dépend de l'orientation choisie : malgré ou à travers la mort de notre proche, désirons-nous ardemment aller vers ce qui vit ou décidons-nous d'étouffer ce désir en nous ? "
Lu par : Maurice Schumann
Durée : 1h. 11min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 17312
Résumé:
Durée : 10h. 37min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 31342
Résumé:On les appelle les "sortants", ces hommes et ces femmes issus des milieux utra-orthodoxes israéliens qui, un jour, décident de se fondre dans la vie laïque. Ce choix douloureux, coupure brutale avec leur famille, les plonge dans un univers inconnu, souvent sans ressources, privés d'éducation autre que religieuse. Là d'où ils viennent, la vie est réglée de façon précise et immuable, soumise à une loi implacable mais rassurante. Là où ils vont, ils sont seuls face à eux-mêmes. Ce sont ces cheminements chaotiques d'un monde à l'autre que Florence Heymann restitue à travers une enquête de terrain attentive et sensible. L'auteur se met elle-même en scène, bénévole dans une association d'aide aux sortants, à Jérusalem. Elle dresse des portraits hauts en couleurs et attachants : des dissidents, des "apostats sortis du placard", des suicidaires, des marginaux, des "kippas roses", des voyous - autant de déserteurs réclamant simplement le droit de choisir leur vie. Leurs récits nous donnent un aperçu du monde religieux, ultra fermé, ritualisé, dans lequel même le sexe et le téléphone sont estampillés cashers. Certaines sorties du "ghetto" sont réussies, d'autres tragiques. Elles sont toujours un voyage fascinant dans lequel l'apprentissage de la liberté s'avère semé d'embûches, de doutes et de questions.
Lu par : Keren Rouche
Durée : 5h. 54min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 33764
Résumé:Avec La Rose aux treize pétales, le rabbin Adin Steinsaltz nous introduit dans l'univers mystérieux de la mystique juive et nous livre les clés fondamentales de la Cabbale qui, au-delà de son apparente complexité, exprime en langage symbolique l'essentiel de la quête de Dieu. Devenu célèbre dans le monde entier par, sa nouvelle édition du Talmud de Babylone - œuvre essentielle dans la tradition orale du judaïsme, dont les premiers volumes ont été publiés en français - , le rabbin Steinsaltz est sans conteste l'auteur, le plus compétent pour présenter l'origine, la structure et la nature de la Cabbale. Il propose ici une brillante et vivante synthèse de ce sujet réputé difficile, qu'il rend accessible à un large public.
Lu par : Vincent Aubert
Durée : 5h. 25min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 76747
Résumé:Etude psychologique du "manque" et de son lien à la créativité. Il analyse le phénomène de la guérison, à la lumière de la science et de l'Evangile, et aborde la question du développement de la personne dans une perspective de foi.
Lu par : Francine Crettaz
Durée : 2h. 48min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 76014
Résumé:Fracassée comme tant d’autres après le massacre perpétré par le Hamas le 7 octobre 2023 en Israël, l’auteur voit son monde s’effondrer. Elle dont la mission consiste à porter la souffrance des autres sur ses épaules et à la soulager par ses mots, se trouve soudain en état de sidération, impuissante et aphasique. Dans la fièvre, elle écrit alors ce petit traité de survie, comme une tranche d’auto-analyse qui la fait revenir sur ses fondements existentiels. Le texte est composé de dix conversations réelles ou imaginaires : conversation avec ma douleur, conversation avec mes grands-parents, conversation avec la paranoïa juive, conversation avec Claude François, conversation avec les antiracistes, conversation avec Rose, conversation avec mes enfants, conversation avec ceux qui me font du bien, conversation avec Israël, conversation avec le Messie. Comme toujours avec l’auteur, le va et vient entre l’intime et l’universel, entre l’exégèse des textes sacrés et l’analyse de la société actuelle, entre la gravité du propos et l’humour comme politesse du désespoir, parvient à transformer le déchirement en réparation, l’inconfort en force, l’inquiétude en réassurance et le doute en savoir.