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Dame de vestiaire

Quatrième de couverture
La vie de Jeanne Blanc, personne de condition modeste, "montée" à Paris pour gagner sa vie. Le récit d'une existence tout entière dévouée au service d'autrui.
Durée: 2h. 5min.
Édition: Nyon, Cabédita, 1992
N° de notice: 5976
ISBN: 9782882950703
CDU: 396

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Quatrième de couverture: Publié en 1973 à un moment où Alice Rivaz était au sommet de son art, "De mémoire et d'oubli" peut être considéré comme l'un de ses livres majeurs. Il est constitué de dix-neuf courts récits, nourris de choses vues, entendues, devinées, supputées, imaginées ou vécues. On y retrouve ses thèmes favoris : la passion et la compassion pour les humbles, la quête inassouvie de vérité et surtout une sourde et violente révolte contre la souffrance et la mort.
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Quatrième de couverture: Yvette Z'Graggen, genevoise de naissance et d'existence, a tissé des liens très particuliers avec l'Allemagne et plus particulièrement la langue de Goethe. Sa seconde langue. Des racines fortes créant un attachement durable. A cause d'un arrière-grand-père berlinois, d'un grand-père viennois, d'un père suisse alémanique et d'une mère empreinte de nostalgie autrichienne. En 1996, à Berlin, alors qu'elle veut réaliser une étude sur la perception de la réunification par les Allemands, Yvette Z'Graggen éprouve, plus fortement encore, le besoin de coucher sur papier l'histoire de ces liens et de son attachement au monde germanique. Des souvenirs, des observations, des regrets, des espoirs. Une correspondance aussi, celle échangée avec un ami de la Ruhr pendant une dizaine d'années.
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Quatrième de couverture: Si j’excepte le séjour d’une année que je fis à Rome, où mes supérieurs de l’Abbaye de Saint-Maurice m’avaient envoyé pour y achever mes études théologiques, c’est à quarante-deux ans que je fis mon premier voyage, moi qui, depuis, n’ai cessé de parcourir les pays que j’aime, cherchant à y découvrir de nouveaux visages, des sagesses nouvelles, de nouveaux cœurs amis. A quinze ans j’ignorais l’existence des bananes, et c’est au couvent, âgé de plus de vingt ans, je m’en souviens, que je dégustai mon premier pamplemousse ! Quand j’étais petit, j’habitais donc la Gruyère, le Pays des herbes grasses, des foins luxuriants, le pays, par conséquent, où le lait, si ce n’est le miel, devait couler à flots, comme sur la terre de Canaan.
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Quatrième de couverture: « J'ai dû en franchir des barrières, des murs, des frontières, des pays, des préjugés et les aspects plus ou moins avoués du machisme. » Reporter, écrivaine et photographe, Laurence Deonna s'inscrit dans la lignée des grandes voyageuses : Isabelle Eberhardt, Ella Maillart, Anne-Marie Schwarzenbach. Née en 1937, elle leur succède. Autre temps. Autre parcours de vie. Un point commun : l'aventure. Vient s'y ajouter la franchise qui est le luxe de sa génération : une femme qui peut tout dire, ou presque, et même s'étendre sur ses amours-qui-ne-durent-pas-toujours. Son irrésistible sens de l'humour, joint à une volonté inoxydable, lui ont permis de survivre tant aux tragédies familiales, qu'à celles, parfois insoutenables, du terrain du reportage. Son éditrice l'a définie ainsi : « Ce n'est pas qu'une journaliste, c'est une créatrice. » Un fil rouge tisse ces Mémoires empreintes à la fois de légèreté et de gravité : le pacifisme, l'empathie et la compassion, particulièrement envers les femmes. Vétérane des années 60, Laurence Deonna a parcouru en solitaire des pays devenus depuis périlleux. Elle a connu des situations cocasses, comme de réussir à émouvoir le Conseil des Ministres du Yémen, en leur chantant « Les Feuilles Mortes » de Prévert et Kosma. Des situations hasardeuses, comme d'être la seule, en 1984, à pénétrer dans la redoutable prison politique d'Evine, à Téhéran. Elle s'est trouvée face à de cruels chefs d'Etat, comme Idi Amin Dada et Saddam Hussein, ou d'autres encore de la même veine sanglante. « Les êtres lumineux étaient souvent des sans-grades, eux restent dans mon cœur », dit-elle.
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Quatrième de couverture: Un père peut-il être un homme comme les autres ? Metin Arditi évoque le souvenir du sien, mort il y a vingt ans. En pélerinage dans les Grisons, où son père aimait aller, à sa table de travail, dans un bar d'hôtel, Metin Arditi rappelle à lui les souvenirs. Au fur et à mesure qu'ils reviennent, le portrait se précise, le non-dit s'entend, la vérité affleure. Revenant à son enfance stambouliote, il retrouve son père avec des yeux de petit garçon ébloui : un homme toujours élégant, admirable et admiré, héros d'une famille juive cosmopolite. Il revit ses onze années d'internat en Suisse, un inoubliable amour d'adolescent avec Géraldine Chaplin, les leçons de sagesse offerts par ce père qu'il voyait à peine, et notamment : "Les livres, c'est autre chose. » Au fil de l'écriture, il revient sur l'éloignement et ses déchirures, l'affrontement sur la question juive, et la quête de l'estime d'un père qu'il continue de chercher après sa mort. Un récit bouleversant, d'homme à homme.
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Quatrième de couverture: «Ce livre est destiné à ma fille, comme un fragment de sa propre histoire. Un morceau de mémoire qui, s’il s’éteint sans avoir été transmis, disparaîtra. Mais cette histoire est aussi pour vous. Finalement, Fernand, mon grand-père, pourrait être le vôtre et son parcours de vie déclencher l’ouverture de la porte…» Voici le récit et les faits d’armes d’un homme debout qui, du haut de ses 94 ans, coule des jours heureux à Genève. Après une enfance brisée, Fernand a réussi à se reconstruire. Enfant placé, pour fuir les internements administratifs, il s’engage à 16 ans dans la Légion étrangère ! Envoyé en Indochine, il reviendra quatre ans plus tard en Suisse, marqué à vie. Il est difficile d’évoquer ces années douloureuses à jamais gravées en lui. Sa petite-fille, aujourd’hui journaliste rassemble ici quelques souvenirs personnels et familiaux, couplés à des sources d’archives de première main. Orchestrés avec brio en de multiples aller-retours entre le passé de Fernand et le nôtre pour donner corps au travail de mémoire, les passages volontairement courts s’éclairent les uns les autres en une très belle mosaïque de vie.
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Quatrième de couverture: Il a incarné à lui seul tout un pan du cinéma français des années 70-80, même s’il a continué de jouer jusqu’en 2015. Discrètement mais porté par l’assurance de son talent, il s’est imposé comme l’un des rares monuments authentiques du septième art. Les plus grands l’ont sollicité à leur côté : Buñuel, Clouzot, Hitchcock, Sautet, Melville, Chabrol, Resnais, Godard, Demy, Ferreri, Moretti, Costa-Gavras, Malle, De Broca, Lelouch, Boisset, Deville, Tavernier, Girod, Rouffio, Granier-Deferre, Doillon, Rivette, Ruiz, de Oliveira, Chahine, Miller, Larrieu, Carax, Angelopoulos… Une liste presque interminable que bien des comédiens peuvent lui envier. Car elle est unique. Cet incroyable parcours lui a permis d’accrocher à sa riche carrière des titres comme Le Mépris, César et Rosalie, La Grande Bouffe, Les Demoiselles de Rochefort, Vincent, François, Paul et les autres, Le Sucre, Le Charme discret de la bourgeoisie, Les Noces rouges, Le Trio infernal, Le Doulos… et pléthore d’autres. Non content d’accumuler les rôles puissants au cinéma, Michel Piccoli a brillé au théâtre.
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Quatrième de couverture: "Le printemps des vaches" raconte le trafic des Montbéliardes au temps de la construction de l'A1 dans la plaine de l'Orbe.
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Quatrième de couverture: ... Dès le premier livre qu'il «avoue», Le chêne brûlé (1969), Gaston Cherpillod dit se concevoir, dans l'écriture, comme un soldat. Un soldat pas forcément ami de l'armée d'ailleurs, puisqu'en 1975, il est condamné à deux mois de prison avec sursis pour «menée antimilitariste». C'est qu'à ses yeux, les menaces ne se trouvent pas aux frontières. Elles sont entrées depuis longtemps dans le pays. Elles ont pour nom esprit de caste, soif du pouvoir, exploitation. Il ne les digère pas, comme il l'a noté dès ce premier Chêne brûlé. Né dans un milieu populaire, pauvre, puis étudiant à l'université, enseignant, il ne s'est jamais intégré à la classe qui aurait pu être la sienne, selon son parcours: il a trop vite perçu «l'idéologie de caste» de ceux qui fréquentaient les bancs des universités. Il a donc choisi son camp. Et ce n'était pas celui des dominants.