Des hommes qui lisent
Résumé
Le Premier ministre évoque son attachement à la lecture à travers les grands auteurs qui l'ont marqué et l'importance qu'ont eue les livres dans sa vie.
Lu par :
Anne Tardy
Genre littéraire:
Essai/chronique/langage
Mots-clés:
Politique
/
Littérature française
/
Essai
Durée:
5h. 50min.
Édition:
Paris, Lattès, 2017
Numéro du livre:
37382
Produit par:
Association Valentin Haüy
ISBN:
9782709661430
CDU:
300
Documents similaires
Lu par : Manon
Durée : 7h. 25min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 28438
Résumé:A partir de confidences, bons mots et anecdotes, la journaliste politique brosse le portrait de F. Hollande entre cruauté et indulgence, et analyse les évolutions du personnage public et privé depuis son élection à la présidence de la République.
Lu par : François Blanchard
Durée : 2h. 56min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 78025
Résumé:L'auteur, ancien conseiller diplomatique, porte-parole et secrétaire général de l'Elysée pendant le premier septennat de François Mitterrand, raconte ce qui le lie, dans sa jeunesse puis dans son présent, à Albert Camus et à ses oeuvres. Il évoque notamment les combats politiques menés par l'écrivain français et l'éthique de vie fondée sur la droiture qu'il incarne.
Lu par : Jean-Michel Berthuy
Durée : 7h. 33min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 69814
Résumé:Bien que je ne souhaite pas être un "artiste engagé", je me suis efforcé dans ces textes de persuader mes lecteurs de la validité de mes points de vue, sur le plan politique rarement, sur différents "sujets de société" le plus souvent, sur le plan littéraire de temps à autre. Il n'y aura pas de quatrième édition. Je ne promets pas absolument de cesser de penser, mais au moins de cesser de communiquer mes pensées et mes opinions au public, hors cas d'urgence morale grave - par exemple une légalisation de l'euthanasie (je ne pense pas qu'il s'en présente d'autres, dans le temps qui me reste à vivre). J'ai essayé de classer ces "interventions" par ordre chronologique, dans la mesure où je me souvenais des dates. L'existence au moins apparente du temps a toujours été pour moi un grand motif d'agacement ; mais l'habitude a été prise de voir les choses en ces termes. Pour cette fois, donc, j'y consens. " M. H.
Lu par : Dominique Tanet
Durée : 4h. 20min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 65290
Résumé:L'ancien rédacteur en chef de L'Humanité raconte cinquante ans de l'histoire du quotidien communiste au travers de son parcours personnel. Engagé contre la guerre d'Algérie puis en mai 1968, il assiste à la fin de l'Union soviétique et, au sein de son activité journalistique, s'interroge sur le rôle de l'idéal communiste.
Lu par : Claire Martinez
Durée : 2h. 53min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 79726
Résumé:Texte d'un spectacle dans lequel Clément Vitkorovitch joue le rôle d'un ancien communicant qui révèle tous les artifices qu'il a utilisés dans son métier pour écrire les discours de responsables politiques élus aux hautes fonctions. Il est complété d'un florilège de formules prononcées par des figures en responsabilité, illustrant cet art de ne pas dire qui affaiblit le pacte républicain.
Lu par : Annie Saby Aguila
Durée : 1h. 43min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 70064
Résumé:La conviction qui nous anime en prenant aujourd’hui la parole, c’est que plutôt que de se taire par peur d’ajouter des polémiques à la confusion, le devoir des milieux universitaires et académiques est de rendre à nouveau possible la discussion scientifique et de la publier dans l’espace public, seule voie pour retisser un lien de confiance entre le savoir et les citoyens, lui-même indispensable à la survie de nos démocraties. La stratégie de l’omerta n’est pas la bonne. Notre conviction est au contraire que le sort de la démocratie dépendra très largement des forces de résistance du monde savant et de sa capacité à se faire entendre dans les débats politiques cruciaux qui vont devoir se mener, dans les mois et les années qui viennent, autour de la santé et de l’avenir du vivant.
Lu par : Thierry Salaün
Durée : 9h. 38min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 39523
Résumé:« L'avantage de l'âge - il y en a - est que le sentiment de liberté ne cesse de s'accroître, comme si l'on redoutait inconsciemment de gâcher une matière politique périssable. D'où ces souvenirs d'un vieux chroniqueur ». Lecteur insatiable, Alain Duhamel rêvait de devenir historien, mais un stage au Monde déclenche sa vocation : il sera journaliste. Dans la France bouillonnante des années 1960, ses éditoriaux sur les élections présidentielles, les événements de Mai 68 ou l'Europe sont déjà remarqués pour leur sérieux. La télévision, au moment où elle accueille le spectacle politique, appellera ensuite l'homme qui a interviewé cent fois Présidents et Premiers ministres : ce sera « À armes égales », « Cartes sur table », « L'Heure de vérité », « Le Club de la presse », et bien d'autres. Être l'un des éditorialistes les plus lus et écoutés des Français et les plus craints des hommes politiques a un prix : critiques injustes et tempêtes accompagneront le parcours d'un homme fidèle à son exigence et à son honnêteté intellectuelle. Dans ce livre d'une sincérité frappante défilent soixante ans de vie politique et d'épisodes professionnels dont Alain Duhamel extrait de ses carnets les secrets, la grandeur, les drames et une analyse qui compte parmi les plus influentes et respectées de la presse française. Journal d'un observateur est son livre le plus personnel.
Lu par : Jacques Bagge
Durée : 2h. 49min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 66630
Résumé:L'été sied à Paul Valéry (1871-1945), ce solaire impénitent qui nous enjoint de plonger dans la mer pour mieux renaître. Même en maillot de bain, ce grand amoureux des femmes, de la peinture et de la musique, reste un homme du trait, du brillant, de l'éclat, du paradoxe et du charnel. Son oeuvre dessine une rose des vents. L'auteur de l'universel Cimetière marin est aussi « un lanceur d'alerte » sur la fragilité de notre civilisation et de notre société mondialisée. Paul Valéry, notre contemporain brûlant, est un poète à lire de toute urgence par temps de détresse.
Lu par : Hervé Guignard
Durée : 10h. 58min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 19089
Résumé:L'apocalypse, serait-ce donc l'édition numérique, ou comme dans Fahrenheit 451 de Ray Bradbury, la température à laquelle le papier s'enflamme et se consume ? Dans son Dernier inventaire avant liquidation, Frédéric Beigbeder commentait le choix de la FNAC. Désormais, dans cette arche de papier, il sauve au vingtième siècle tous les livres, pour être précis les 100 oeuvres, qu'il souhaite conserver au vingt-et-unième siècle. C'est donc un choix totalement personnel, égotiste, joyeux, inattendu, parfois classique (Fitzgerald, Paul-Jean Toulet, Salinger et d'autres grands), souvent surprenant (Lolita Pille, Simon Libérati, Patrick Besson, Jay Mc Inerney, Bret Easton Ellis, Gabriel Matzneff, d'autres oiseaux de nuit, d'autres perturbateurs). Il est rare d'établir le panorama d'une littérature en train de se faire, de s'améliorer, de s'inventer. Avec ce livre-manifeste, c'est le Beigbeder livresque, joueur, lecteur, que nous découvrons, en même temps qu'une autobiographie en fragments.L'apocalypse, serait-ce donc l'édition numérique, ou comme dans Fahrenheit 451 de Ray Bradbury, la température à laquelle le papier s'enflamme et se consume ? Dans son Dernier inventaire avant liquidation, Frédéric Beigbeder commentait le choix de la FNAC. Désormais, dans cette arche de papier, il sauve au vingtième siècle tous les livres, pour être précis les 100 oeuvres, qu'il souhaite conserver au vingt-et-unième siècle. C'est donc un choix totalement personnel, égotiste, joyeux, inattendu, parfois classique (Fitzgerald, Paul-Jean Toulet, Salinger et d'autres grands), souvent surprenant (Lolita Pille, Simon Libérati, Patrick Besson, Jay Mc Inerney, Bret Easton Ellis, Gabriel Matzneff, d'autres oiseaux de nuit, d'autres perturbateurs). Il est rare d'établir le panorama d'une littérature en train de se faire, de s'améliorer, de s'inventer. Avec ce livre-manifeste, c'est le Beigbeder livresque, joueur, lecteur, que nous découvrons, en même temps qu'une autobiographie en fragments.
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 2h. 13min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 14225
Résumé:Giono s'intéresse depuis longtemps à l'institution judiciaire (...) Il pense qu'une des missions de l'écrivain est de traquer l'injustice (...) Aussi accepte-t-il quand André Parinaud, directeur de l'hebdomadaire Arts, lui demande de couvrir le procès, qui va s'ouvrir aux Assises de Dignes (...) L'affaire Dominici, dans la trajectoire de Giono, se situe sur la ligne qui va d'Un roi sans divertissement à Ennemonde: celle d'un univers où la réalité est tout naturellement monstrueuse. (Pierre Citron. Giono. Éditions du Seuil, 1990, p.489-491)
Lu par : Henri Duboule
Durée : 5h. 47min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 14431
Résumé:"Je suis né dans un monde, un siècle et un milieu où les premiers objets que je perçus , quand je fus assez grand pour le faire, furent des Bugatti, et non des diligences, des avions Caudron et Bréguet et non des montgolfières. Ces engins me parurent toujours familiers, je dirai même naturels et je me rendis compte en les voyant que la Beauté n'avait nullement déserté ce siècle mécanique, qu'Elle aussi pouvait habiter le métal, le verre ou le béton. Il m'apparaît de plus en plus que ce monde moderne a un génie à lui, des inventions irremplaçables et des trouvailles qui auraient sûrement plu -ou n'auraient pas déplu- à Balzac ou Baudelaire. De ces trouvailles, ces inventions, et ces beautés, j'ai voulu rendre compte en ce livre, cahier de rédaction, de lecture pour le temps présent et recueil des morceaux choisis de ma modernité."
Lu par : Marie-France Javet
Durée : 5h. 42min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 15596
Résumé:"Il me semble souvent que j'écris des romans comme le ferait un cinéaste, et j'ai eu le sentiment très net de réaliser mon film, Il y a longtemps que je t'aime, comme un écrivain compose un roman.