Contenu

Eloge du risque

Résumé
A une époque où la sécurité nous est donnée comme valeur principale, où l'exacerbation des peurs de toutes sortes et la servitude volontaire sont encouragées, ce livre fait l'éloge de la prise de risque. Cet ouvrage pose comme question centrale : qu'est-ce que risquer sa vie, à savoir prendre le risque de vivre ? Dans de courts chapitres, sont explorés les divers lieux où le risque se rencontre : la vie amoureuse, la séparation, la dépendance, mais aussi la vie sociale, le langage ou les biotechnologies.
Mots-clés: Philosophie
Durée: 8h. 41min.
Édition: Paris, Rivages, 2014
Numéro du livre: 36804
ISBN: 9782743629120
CDU: 128

Documents similaires

Lu par : Keren Rouche
Durée : 2h. 58min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 20580
Résumé:La douceur est une énigme. Incluse dans un double mouvement d'accueil et de don, elle apparaît à la lisière des passages que naissance et mort signent. Parce qu'elle a ses degrés d'intensité, parce qu'elle a une force symbolique et un pouvoir de transformation sur les êtres et les choses, elle est une puissance. En écoutant ceux qui viennent me confier leur détresse, je l'ai entendue traverser chaque expérience vécue. En méditant son rapport au monde, il apparaît que son intelligence porte la vie, la sauve et l'accroît.
Lu par : Brigitte Cottens
Durée : 3h. 31min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 66030
Résumé:Tout doit-il être montré, dit, vu ? Face à la tyrannie de la transparence, l'auteur d'"Eloge du risque" et de "Puissance de la douceur" propose une apologie du secret comme dernier rempart de l'intimité, un lieu de renaissance toujours possible : celui de l'intériorité du sujet, son for intérieur.
Lu par : Brigitte Cottens
Durée : 14h. 19min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 36771
Résumé:Tout à la fois épopée initiatique et roman philosophique, cette oeuvre ultime d'Anne Dufourmantelle nous mène aux confins du temps et de la terre. Deux quêtes s'y font écho, à des siècles de distance : quittant ses montagnes de l'Altaï, un roi mongol entreprend une expédition par-delà la Chine et l'océan Pacifique jusqu'aux rives de l'Equateur tandis que, de nos jours, un groupe de chercheurs, fasciné par son périple, tente d'en reconstituer le récit. D'un bord à l'autre du monde, entre le XIVe et le XXIe siècle, ce roman magistral nous fascine, nous captive, nous trouble profondément, tel un rêve chargé de vérité.
Lu par : Keren Rouche
Durée : 6h. 58min.
Genre littéraire : Psychologie/médecine
Numéro du livre : 30189
Résumé:En cas d'amour : que faire ? Axe autour duquel tourne toute vie : aimer, être aimé. Avec toutes ses déclinaisons : reconnaissance, peur d'être abandonné, morsure de la jalousie, désir de possession, envie, délivrance, haine, détachement, paix. L'événement de l'amour est au coeur de ce livre. Depuis les histoires imaginaires que l'on se forge quand on est amoureux jusqu'au désir de vengeance de celui qui est quitté en passant par la jalousie, la fascination, la fusion amoureuse, la relation fraternelle, la dispute, le livre explore différentes figures de la passion et des blessures de l'attente amoureuse. On y rencontre l'écoute attentive et les désarrois d'une psychanalyste recueillant dans la chambre des secrets les mots de ceux qui viennent déposer là leur espérance. On peut y lire aussi une tentative de penser ce qui nous fait répéter le même scénario et souffrir en boucle des mêmes maux d'amour.
Durée : 9h. 25min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 68915
Résumé:Dans cet essai, la philosophe s'intéresse à la notion de confiance à travers la judiciarisation des rapports contractuels, le désir de contrôle, le refus de montrer sa vulnérabilité, etc. Elle montre de quelle manière cela engendre une société de la méfiance, ou de la défiance.
Durée : 5h. 52min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 75811
Résumé:Donnant la parole aux grands philosophes, Q. Bertrand s'interroge sur la place du handicap dans la société, sur le rapport de la personne handicapée à autrui mais aussi avec elle-même. Il interroge ainsi ce qui fonde l'humanité d'un homme et l'origine des peurs que suscite le handicap.
Lu par : Claire Besençon
Durée : 30min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 74118
Résumé:Avoir une opinion définitive, choisir son camp et réprouver l'autre… Nous sommes sans arrêt incités à prendre parti. Et ce, sans retour possible. Pourtant, comment savoir avec certitude quel métier nous exercerons dans 10 ans ? Quel style de musique nous définit le mieux ? Dans ce texte intime, à la fois ode aux convictions et à l'incertitude, Blandine Rinkel prend le contrepied des injonctions actuelles, et rappelle notre droit à changer. Parce que s’autoriser à changer, c’est préférer le dialogue à l’entente forcée, et le conflit à l’indifférence. C’est accepter que l’on puisse se tromper sans se trahir, être contradictoire et pluriel. C’est créer de l’inattendu. Bref, s’autoriser à changer, c’est gagner en liberté.
Durée : 4h. 36min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 69223
Résumé:Livre testament du philosophe français disparu en 2019, dans lequel il revient sur le monde qu'il a connu dans sa jeunesse, prétexte pour réfléchir aux transformations de la société occidentale du XXe siècle et des premières décennies du XXIe.
Durée : 4h. 28min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 67646
Résumé:Une angoisse nous hante : être en retard. Nous vivons notre vie quotidienne, notre travail, l’éducation de nos enfants, et même nos vacances dans une telle crainte du retard que nous finissons par être en avance sur tout, par tout anticiper. Nous avons perdu le sentiment du temps, et avec celui-ci le sentiment de notre existence. Être en retard, c’est faire l’école buissonnière, prendre des chemins de traverse, ne pas aller droit au but, c’est introduire d’infimes variations qui peuvent faire dérailler les rouages bien huilés de nos vies trop machinales. C’est finalement vivre. Face aux valeurs dominantes de nos sociétés modernes – fluidité, flexibilité, urgence et vitesse – et aux pathologies qui en découlent, le retard, un « laps » de temps qui nous permet de ressaisir notre condition temporelle, devient une véritable stratégie de résistance.
Lu par : Murielle Le Goff
Durée : 8h. 16min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 76952
Résumé:Une réflexion sur la Terre, ses devenirs et la sorte de communauté qu'elle forme avec la cohorte des espèces animées et inanimées qui l'habitent. L'auteur montre comment notre relation fondamentale à la Terre est basée sur les notions d'existence et de passage.
Lu par : Laurence Bardin
Durée : 1h. 47min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 75314
Résumé:Un documentaire sur les peuples et les personnages considérés comme sauvages par l'Occident. Le terme sauvage n'a ainsi pas vraiment de sens en soi, regroupant plutôt tout ce que la civilisation trouve chaotique et qu'elle rejette.
Durée : 4h. 1min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 76849
Résumé:« C’est beau ». En trois mots, tout est dit. Devant un paysage comme devant un tableau, les mêmes trois mots. Que veulent-ils dire ? Qu’expriment-ils : un plaisir, une préférence, une appréciation culturelle ? Et si c’était tout cela à la fois et bien plus encore ? Et si la beauté, notre capacité à la voir, à la sentir et à l’entendre, était la manière singulière et profonde que nous avons d’être vivants, sur cette Terre ? Au fil d’une trentaine de textes lumineux, mettant en scène ses propres expériences esthétiques, Laurence Devillairs tente d’élucider le mystère de la rencontre avec la beauté et nous invite à réapprendre à voir le beau, qui nous échappe souvent par manque de temps ou conformisme. Elle propose pour cela des « exercices d’esthétiques appliqués » - tenter d’apprécier ce qu’on n’aime pas, voyager comme Bouvier sans attentes ni plans, accomplir non pas une bonne action mais un beau geste. Le jeu en vaut la chandelle ; qu’elle soit naturelle, créée ou bien même morale, la beauté nous fait une grande promesse, celle d’être émerveillés, changés et d’exister de façon plus accomplie.