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Maman...: récit

Résumé
Elle est la seule personne qui ne l'a jamais quittée, de Sofia à Paris, de Paris à Los Angeles. Tout tenait par elle. Grâce à elle. Parce qu'elle était là. Toujours. Sylvie Vartan a retrouvé le journal intime de sa mère, Ilona. Elle a rassemblé toutes les notes qu'elle avait prises après chacune de leurs conversations. Puis elle a composé cet hommage bouleversant à cette femme qui aura été tout pour elle : le pilier, l'alliée, le secours. Lorsqu'en 1952 ils ont décidé de fuir l'enfer du communisme et de vivre à Paris, les Vartan ont logé dans une petite chambre d'hôtel du quartier des Halles. Pendant trois ans, le père a dormi avec son fils, et Sylvie a partagé le lit de sa mère. C'est là, sans doute, dans ces années où Sylvie Vartan a vu sa mère tomber de fatigue sans jamais se plaindre, que ce lien unique s'est formé. Aujourd'hui, dans son livre, tout lui revient. Et on se laisse submerger par la puissance de cet amour maternel.
Genre littéraire: Biographie/témoignage
Durée: 5h. 27min.
Édition: Paris, XO, 2016
Numéro du livre: 33891
ISBN: 9782845638266
CDU: 78

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Résumé: Au début du siècle dernier, être fille-mère, c'est-à-dire, mère célibataire, ne suscitait que l'opprobre. Entre non-dits et mensonges, l'enfant non-désirée (la narratrice) s'arrange tout de même pour grandir, comme grandit la haine entre la mère et la fille. Jusqu'au dénouement fatal qui ouvre le débat sur l'euthanasie sans toutefois porter de jugement. Au-delà de fioritures inutiles, au-delà du mélodrame, ce texte transcrit avec force une réalité dure que seul une forme de détachement pouvait rendre supportable.
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Résumé: « J’ai aimé ma mère, follement. Je l’ai cajolée, protégée. Je lui chantais des comptines de couleur, bleue, ou rose selon l’humeur, pour la rassurer. Je l’épaulais lors de ses chagrins d’amour, j’assistais, déboussolée, à ses crises de manque. J’étais parfois la mère de ma mère… Pourtant, je l’admirais plus que quiconque, je ne l’aurais à aucun moment échangé contre une autre. Maman, elle n’avait pas peur de se bagarrer avec ses pieds et ses mains, ni de claquer la porte aux nez de ses amants. Maman, elle partait en pleine nuit faire la fête, elle m’emmenait dans des dîners de grands en plein Saint-Germain des Prés, à la Coupole ou au Flore, alors que nous vivions dans de petits appartements faits de bric et de broc. Ma mère était bohème. Elle était mon ciel et ma terre. Elle était mon Ode. Tout un poème. » La comédienne retrace la vie bohème de sa mère, entre les chagrins d'amour et les grands dîners du côté de Saint-Germain-des-Prés. Premier roman. ©Electre 2017
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Résumé: Dans Un voile de coton, Amélie Plume obéit à un irrésistible appel vers la terre de ses origines. Elle décide de s’en aller le plus souvent possible loin de sa grise capitale, avec le train, le car, la voiture. Rendre visite à ces petits villages et ces vastes campagnes jurassiennes où elle n’a plus mis les pieds depuis longtemps lui procure une joie profonde et inattendue. Alors son alerte monologue en basse continue se teinte de commentaires de voyage dont la palette va du grand bon sens à l’autoironie la plus cocasse. Son entrain l’amène pourtant à déterrer des souvenirs enfouis « dans une purée de pois », qui, finalement, la conduisent à se mettre en chambre et regarder en face son enfance et sa mère. La seconde partie de ce livre leur est consacrée, avec une honnêteté qui émeut. Du cocon fusionnel « comme dans une poche de kangourou » avec cette mère si douce et sévère à la déchirure d’avec cette femme à l’ancienne, voici le retour d’une féministe à l’enfance, là où l’amour maternel, lorsqu’il est trop fort, peut être source d’une sourde violence.
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Résumé: "Tu viens quand alors ? Bientôt quand ? Ton frère dit ça aussi mais je ne vous vois plus que pour Noël. Pourquoi tu ne demandes pas ta mutation ? Si vous viviez plus près, je vous inviterais à manger, j'irais chez vous faire le ménage. Si par malheur vous n'aviez plus d'argent, je m'occuperais de vous. Je pourrais même vous aménager la cave, y installer le chauffage pour l'hiver, elle est grande, vous auriez toute la place. Tatata, tu verras quand tu auras mon âge. Tu penseras à moi, à tout ce que je te disais. Tu diras, eh oui, maman avait raison et j'avais tort, et maintenant elle n'est plus là. Une mère, on n'en a qu'une, vous devriez en profiter ". Charlène, la soixantaine, est restée jeune. Mais quand le vide l'envahit soudain, elle enchaîne les appels téléphoniques à sa fille. Mère touchante et toxique à la fois, elle l'atteint toujours là où ça fait mal.
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