Contenu

L'argent et les mots

Résumé
L'éditeur new-yorkais propose des pistes pour sauvegarder l'indépendance de l'édition, de la presse ou du cinéma. Ces solutions ont en commun de pouvoir être appliquées rapidement sans ruiner les finances publiques. Elles nécessitent des décisions politiques, mais pas nécessairement gouvernementales. Régions et municipalités ont un rôle à jouer pour contrebalancer les néolibéralismes nationaux.
Durée: 3h. 6min.
Édition: Paris, la Fabrique, 2010
Numéro du livre: 31399
ISBN: 9782358720069
CDU: 002

Documents similaires

Lu par : Florence Bourqui
Durée : 47min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 78465
Résumé:Lorsqu'on observe le fonctionnement de la justice de plus près, certaines inégalités sautent aux yeux. Que l'on soit riche ou pauvre, noir ou blanc, homme ou femme, chômeur ou chef d'entreprise, français ou étranger, les chances de se retrouver un jour devant un tribunal et les réponses pénales ne sont pas les mêmes. Basile de Bure s'est retrouvé plongé au coeur de la machine judiciaire au contact des condamnés. Il a pu constater les dysfonctionnements d'une institution qui peine à se remettre en question.
Lu par : Francine Crettaz
Durée : 8h. 12min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 77884
Résumé:Dans un captivant voyage de l'aube de l'humanité à nos jours, l'économiste et penseur Oded Galor s'attaque à deux des grands mystères de l'humanité : pourquoi l'espèce humaine a-t-elle surpassé toutes les autres ? Quelles sont les causes ultimes des inégalités entre les peuples et comment les résorber ? Première partie du voyage : depuis l'émergence d'Homo sapiens en tant qu'espèce distincte il y a environ 300 000 ans, le niveau de vie de l'humanité, proche de la survie, n'a guère varié à travers le monde et les époques. Mais, de façon étonnante, au cours des tout derniers siècles, l'humanité a connu, presque du jour au lendemain, une amélioration spectaculaire et sans précédent de ses conditions de vie. Comment expliquer cet incroyable bond en avant ? Elucider ce " mystère de la croissance " permet de s'attaquer, dans la deuxième partie du voyage, au " mystère des inégalités ", aux sources des différences de développement entre les sociétés, et aux immenses écarts de richesse entre les nations advenus dans les deux derniers siècles. Les facteurs profonds qui sous-tendent ces inégalités mondiales nous amènent à inverser le cours du voyage et à remonter par grandes étapes dans l'histoire, pour finalement revenir là où tout a commencé : l'exode d'Homo sapiens depuis l'Afrique, il y a des dizaines de milliers d'années. Alors que nous sommes confrontés à une crise écologique sans précédent, Le Voyage de l'humanité est un livre de vérités urgentes à dire, à la fois profondes et positives : l'éducation, la tolérance et l'égalité des sexes sont les clés de l'épanouissement de notre espèce dans les décennies et les siècles à venir.
Durée : 5h. 42min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 79604
Résumé:Le témoignage d’une survivante Fatma vit dans un HLM, quelque part en France. Un mari, trois enfants, un chien, des petits boulots pour arrondir les fins de mois et un frère djihadiste, Boubaker el Hakim, considéré par les services antiterroristes comme le plus haut cadre français de Daech en Syrie jusqu’à ce qu’il soit exécuté par un tir de drone américain en 2016. Boubaker était « l’émir français » de Daech, l’un des principaux responsables des attentats de l’État islamique, dont ceux du 13 novembre 2015. L’un des premiers à embrasser l’idéologie salafo-djihadiste au début des années 2000 à Paris, l’un des maillons essentiels de la célèbre « filière des Buttes-Chaumont » (Chérif Kouachi, l’un de ses membres, commettra la tuerie de Charlie-Hebdo en 2015). Depuis son enfance, Fatma A. a vécu un enfer. Son frère a entraîné dans son sillage toute sa famille. Redouane, son deuxième frère est mort en combattant les Américains à Falloujah (Irak) en 2004. Ali, son troisième frère, est toujours détenu en Syrie où il risque la peine de mort. Sa sœur, Yasmina, a été condamnée à 4 ans de prison dont 18 mois fermes depuis son retour du « califat » avec sa fille. Sa mère, Habiba, est morte à Raqqa. L’histoire de Fatma et de sa famille est emblématique de la mutation du phénomène djihadiste Français qui a emporté des fratries entières après le 11 septembre 2001. Ce livre, au-delà de la photographie qu’il offre du milieu djihadiste, est le témoignage d’une rescapée à la personnalité hors du commun. Il est aussi un geste de libération magnifique.
Durée : 15h. 30min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 75453
Résumé:D’où vient le jihadisme ? Où va-t-il ? Depuis l’effondrement de Daech en Syrie, ces interrogations semblent avoir disparu du débat public. Certes, les affaires qui émaillent tragiquement l’actualité rappellent que le sujet du terrorisme islamiste est loin d’être réglé. Mais en dehors des attentats, il est urgent de comprendre ce qui a permis au jihadisme de devenir, en l’espace d’une génération, un enjeu politique, sociétal et démocratique de premier plan. Hugo Micheron retrace avec précision ce qu’est le jihadisme depuis 1989, au-delà de la simple menace sécuritaire et du seul cas de la France. Il propose la première histoire du jihadisme européen, un phénomène d’abord ignoré, dont les transformations sont passées inaperçues et dont les implications sont considérables pour les équilibres actuels et futurs des démocraties européennes.
Lu par : André Cortessis
Durée : 4h. 9min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 69162
Résumé:Christophe Naudin est le coauteur de Charles Martel et la bataille de Poitiers. De l'histoire au mythe identitaire (Libertalia, 2015). Enseignant dans le second degré, il était au Bataclan le 13 novembre 2015. Il a assisté au concert du groupe Eagles of Metal le soir de l'attaque terroriste. Il y a perdu l'un de ses proches amis. Rescapé, il a rédigé un journal. Ce livre reproduit ce journal poignant, accompagné d'une forte postface contextualisante.
Durée : 12h. 34min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 77829
Résumé:Une guerre à laquelle nous n'étions pas préparés se déroule sous nos yeux, pour l'essentiel sans que nous en soyons conscients, et constitue pour nos démocraties une menace mortelle. Depuis la fin de la guerre froide et l'essor d'Internet et de médias planétaires, la militarisation de l'information par les Etats bouleverse l'ordre géopolitique. La guerre de l'information, qui oppose les Etats autoritaires aux régimes démocratiques, démultiplie les champs de bataille et fait de chaque citoyen un potentiel soldat. Plus que jamais, la puissance des Etats -qu'il s'agisse de leur hard power, leur soft power ou leur sharp power- dépend de leur capacité à mettre leurs moyens de communi cation au service de leur influence, en recourant à la cyberguerre, à la désinformation ou à l'instrumentalisation de théories du complot. A l'ère de l'intelligence artificielle et de la guerre cognitive, les médias sociaux sont le théâtre d'une "guerre du Net" sans merci, sans fin, dont nos esprits sont l'enjeu. Dans cet ouvrage, David Colon, spécialiste de l'histoire de la propagande et de la manipulation de masse, décrit les mécanismes de cette guerre longtemps restée secrète en dévoilant les stratégies de ses commanditaires et en décrivant les tactiques et le parcours de ses acteurs, qu'ils soient agents secrets, diplomates, journalistes ou hackers.
Lu par : Francine Crettaz
Durée : 9h. 49min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 77797
Résumé:Harcèlement, humiliations, insultes : nous sommes bien averti.es de ces fléaux de la vie en société et nous nous efforçons de lutter contre eux. Mais il y a un cas de figure que nous négligeons : celui où l'agresseur, c'est... nous-même. Bien souvent résonne dans notre tête une voix malveillante qui nous attaque, qui nous sermonne, qui nous rabaisse ; qui nous dit que, quoi que nous fassions, nous avons tort ; que nous ne méritons rien de bon, que nous présentons un défaut fondamental. Cette voix parle particulièrement fort quand nous appartenons à une catégorie dominée : femmes, enfants, minorités sexuelles ou raciales... Ce livre se propose de braquer le projecteur, pour une fois, sur l'ennemi intérieur. Quels sont ces pouvoirs qui s'insinuent jusque dans l'intimité de nos consciences ? Comment se sont-ils forgés ? Nous étudierons quelques-unes de leurs manifestations : la disqualification millénaire des femmes et, notamment, aujourd'hui, des victimes de violences sexuelles ; la diabolisation des enfants, qui persiste bien plus qu'on ne le croit ; la culpabilisation des mères, qui lui est symétrique ; le culte du travail, qui indexe notre valeur sur notre productivité ; et enfin la résurgence de logiques punitives jusque dans nos combats contre l'oppression et nos désirs de changer le monde.
Lu par : Henri Duboule
Durée : 9h. 15min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 17906
Résumé:La situation économique américaine, telle que l'a décrit Myret Zaki, a de quoi faire peur. Car l'image correcte, qui en est donnée par les autorités du pays, est volontairement falsifiée pour justement éviter la panique. Les chiffres-clés officiels, tels que le PIB, l'inflation, la productivité, le taux de chômage, sont différents des chiffres-clés réels et permettent de masquer l'effondrement de l'économie américaine, qui se traduit par une paupérisation croissante de la population. Dont la baisse des salaires moyens et le transfert des emplois qualifiés outremer sont les symptômes indubitables.
Durée : 6h. 35min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 17203
Résumé:Selon l'éditeur : L'auteur explique les enjeux commerciaux du gigantesque marché de l'évasion fiscale, au-delà des discours faussement moralisateurs qui diabolisent les pays à secret bancaire, et révèle les conséquences perverses de l'autoritarisme fiscal des Etats.
Durée : 5h. 8min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 71485
Résumé:Des années durant, l’écrivain Yves Pagès a glané toutes sortes de statistiques, notant dans un carnet des centaines de pourcentages. De ce vertigineux inventaire, il a fait un livre étrange qui, entre jeu littéraire à la Raymond Queneau et réflexions philosophiques à la Theodor Adorno, reconstitue par fragments le tableau d’une société infestée par une vision comptable du monde. Difficile de rompre la glace du monstre statistique, d’échapper à ses ordres de grandeur qui prétendent tout recenser de nos faits et gestes, quantifier nos opinions, mettre en coupe réglée nos vies matérielles. Sous emprise comptable, chacun se sent casé d’office, sondé de bas en haut, pris au piège. Mais alors, comment nous soustraire au grand dénombrement ? Sans prétention d’exhaustivité, l’auteur se propose de passer ces données brutes au tamis de rêveries interprétatives, pour traquer leurs failles implicites ou les confronter à d’autres cas de figure. À la logique de la quantification de toutes choses, il oppose, par collage, accumulation et divagation, une poétique de l’absurde. Par-delà cet art du détournement stylistique, il nous livre en pointillé une analyse caustique de la condition des vivants à l’ère de la gouvernance par les nombres, agrémentée de quelques suggestions paradoxales pour passer entre les mailles du filet statistique.
Durée : 12h. 45min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 34525
Résumé:Certains en possèdent déjà : les animaux de compagnie, les espèces protégées et les animaux d'élevage. Mais les droits que nous leur avons consentis sont minimaux et incohérents. Nous traitons différemment les chiens, que nous considérons comme des membres de la famille, et les cochons, réduits au rang d'objets produits en masse et abattus dans d'indignes conditions. Pourtant cochons et chiens présentent une sensibilité et une intelligence similaires. Comment en sommes-nous venus à les classer dans des catégories si différentes ? C'est que nous sommes spécistes. Le terme, peu connu en France, fera bientôt partie de notre vocabulaire. A l'instar du racisme et du sexisme, dont il poursuit la logique. Le spécisme consiste à traiter différemment, et sans la moindre raison valable, deux espèces qui présentent les mêmes caractéristiques. Tout comme nous avons longtemps dénié aux femmes les mêmes droits que les hommes. L'affirmation de l'antispécisme sera celle de l'animalisme, un mouvement philosophique qui promeut la nécessité d'accorder des droits à tous les animaux, en raison de leur capacité à souffrir. Loin d'être anecdotique, l'animalisme incarne le mouvement idéologique le plus révolutionnaire ; pour la première fois depuis 2000 ans, il entend sortir nos systèmes de pensée occidentaux de leur logique anthropocentriste et reconnaître que nous, qui sommes des animaux, avons des obligations morales à l'égard de nos cousins. Surtout, l'animalisme s'inscrit dans une logique d'écologie politique, éloignée de celle incarnée dans les élections. Non plus une écologie superficielle, qui se soucie seulement de préserver les écosystèmes, les ressources et quelques espèces en péril, mais une écologie profonde, qui repense complètement la place de l'homme dans le monde. Pour que ce dernier ne vive plus en parasite, mais en symbiose avec toutes les formes de vivant. Cela oblige à une refonte de nos institutions et à briser la vision à court-terme du temps politique. Cela nous oblige aussi à une réforme intellectuelle qui remette en question la notion de " profit ". Le capitalisme, le socialisme, le communisme, le néo-libéralisme sont aujourd'hui discrédités, si ce n'est dépassés.
Durée : 14h. 22min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 32562
Résumé:Quel travail mérite salaire ? Un gouvernement devrait-il être moralement neutre ? Qu'est-ce que la liberté ? Sommes-nous propriétaires de nous-mêmes ? Le patriotisme est-il une vertu ?... Michael J. Sandel excelle dans l'art d'aborder, sous un angle éthique, les questions politiques les plus complexes en les ramenant à des enjeux dont chacun peut aisément se saisir.