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Parler plusieurs langues: le monde des bilingues

Résumé
La moitié de la population mondiale est bilingue (un habitant sur cinq en France). Alors même que la nécessité de posséder plusieurs langues s'impose François Grosjean, psycholinguiste, vient démonter les idées fausses sur le bilinguisme : Il est faux que le bilingue maîtrise parfaitement ses différentes langues : c'est rare. Il est faux que ce n'est que dans la petite enfance qu'on devient bilingue ; Non, le bilinguisme précoce ne retarde pas l'acquisition du langage ; Non, il n'y a aucun lien entre le bilinguisme et un trouble éventuel du langage ; Non, le bilinguisme n'est pas mauvais pour le développement cognitif des enfants : au contraire. Et ce qui est valable pour le bilingue l'est a fortiori pour le polyglotte. Ce livre sans équivalent en français intéressera toutes les personnes intéressées par le bilinguisme et le contact des langues, notamment les parents d'enfants bilingues ou en devenir bilingue, les professionnels ayant affaire au bilinguisme (exemple : orthophonistes, enseignants, psychologues), les bilingues qui désirent mieux comprendre leur bilinguisme, et les professionnels de l'éducation, les étudiant(e)s en sciences humaines et sociales.
Genre littéraire: Essai/chronique/langage
Durée: 5h. 42min.
Édition: Paris, Albin Michel, 2015
Numéro du livre: 30461
ISBN: 9782226312600
CDU: 8

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Résumé:Le pain de coucou est cette plante des sous-bois aux petites fleurs blanches et aux feuilles d'un trèfle à la fois savoureux et acide, dont les enfants se régalent. Une croyance populaire, en outre, veut qu'aux endroits où il pousse, de l'or se trouve enfoui.
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Résumé:En Europe, on a brûlé les sorcières jusqu’au XVIIe siècle. Elles n’étaient coupables que d’une seule chose : être femme. À la veille de la Renaissance, un pape avait proclamé que toutes les femmes étaient sorcières. Bonnes à tuer pour protéger le « membre viril » disent les textes. Toutes ces cruautés à peine balayées par la Révolution française, l’impure sorcière fut bientôt transformée en son contraire : la très pure Sainte Vierge. Que reste-t-il aujourd’hui de ces sorcières jadis brûlées, écartelées, maudites ? Guérisseuses de choc cachées dans les campagnes, petites-filles du féminisme, activistes Femen ou membres du mouvement #Metoo, les sorcières du XXIe siècle sont libres et fières de l’être. Romancière, philosophe, critique littéraire, essayiste, Catherine Clément n’est pas entrée en sorcellerie par hasard. Après avoir profondément aimé sa mère, une « sublime sorcière juive-russe passionnée d’occultisme et de voyance », choisissant « la raison contre sa folie », elle nous offre aujourd’hui dans un essai lumineux une réflexion pertinente sur les liens subtils qui relient misogynie, féminisme, religion et sorcellerie.
Lu par : Laura Régimbart
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Genre littéraire : Essai/chronique/langage
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Résumé:« Ceci est une adresse. Aux femmes en général, autant qu’à leurs alliés. Je vous écris d’où je peux. Le privé est politique, l’intime littérature. » En France, la quatrième vague féministe a fait son entrée : non plus des militantes, mais des femmes ordinaires. Qui remettent en cause les us et les coutumes du pays de la gaudriole, où une femme sur dix est violée au cours de sa vie, et où tous les trois jours une femme est assassinée par son conjoint. Dans ce court texte incisif qui prône la sororité comme outil de puissance virale, Chloé Delaume aborde la question du renouvellement du féminisme, de l’extinction en cours du patriarcat, de ce qu’il se passe, et peut se passer, depuis le mouvement #metoo.