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Les Japonais aussi pètent parfois les plombs

Résumé
Un vieux proverbe japonais dit " Bouddha ne sourit jamais trois fois de suite ". Les Japonais acceptent les provocations avec une bienveillante condescendance. Mais après une paire de coups de boutoir, eux aussi perdent patience et la diplomatie défaille immanquablement. Après le succès de Pourquoi les Japonais ont les yeux bridés, Keiko Ichiguchi continue à nous expliquer sa vie de nomade dans ce nouveau livre à l'ambiance bon enfant. Elle commente avec malice la vie d'un vrai Japonais : comment naît une idylle dans un train, quel est le langage de la sensualité nippone, comment se sont émancipés les shojo mangas, quelle est l'origine des mythes et légendes. Elle nous offre même une partie dédiée aux formules de politesse et aux... gros mots ! Car les Japonais aussi pètent parfois les plombs !
Durée: 4h. 34min.
Édition: Bruxelles, Kana, 2008
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ISBN: 9782505003809
CDU: 392

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Résumé:De la cuisine de jadis, préparée par les femmes, au feu de bois : chaleur douce, pénétrante, présences tutélaires, la "cuisine du coeur", à la haute gastronomie : un peu froide, esthétique, élaborée par ces messieurs les virtuoses. Du repas solitaire : au restaurant, sur un chantier, dans un parc, la nuit quand on se relève, aux repas de l'enfance : en famille, heureux ou tournant à la tempête. Repas du dimanche, paisible, à "l'Auberge du bel Eté". Ou triste réfectoire gériatrique. Mais il y a aussi ce repas, la Cène ("Prenez et mangez, ceci est mon corps"). Et ce repas encore, à Emmaüs, le soir même du dimanche de Pâques. Repas à Paris. En province. Petits restaurants populaires. Dîners d'apparat. Sandwiches ou grands menus. Cosmique est l'acte de manger ! Haldas dit tout cela, et bien d'autres choses encore : le wagon-restaurant (rêveur), l'avion (désopilant). Repas ratés et festins somptueux. Mais aussi l'amitié, indissociable de tout vrai repas (à l'inverse des "repas d'affaires"). Et il rappelle, en passant, que les mots saveur et savoir ont, en latin, la même origine, sapere. Quels horizons ! Bref, des repas comme manifestation, par excellence, de la condition humaine. Telle est cette légende. Où le quotidien, le burlesque et le sacré, de par la voix de l'auteur ne font qu'un.
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Résumé:Une véritable philosophie se cache derrière le mot « innovation ». Une philosophie dont nos dirigeants politiques se sont emparés. « Ce qui va nous sauver, ce n'est pas la décroissance, c'est l'innovation. Même si elle déstabilise le monde, même si elle peut être formidable et, en même temps, destructrice. Gutenberg a détruit l'activité des copistes... avant de permettre la création de millions d'emplois dans les métiers liés à l'imprimerie. » Vitale, l'innovation, mais angoissante aussi : c'est le dilemme que n'a pas encore résolu la France, selon Ferry, dans un 20e siècle de déconstruction (artistique, sociale, économique) comme jamais l'Europe n'en a connue. Luc Ferry remet aussi l'économiste autrichien Schumpeter (1883-1950) au goût du jour. Ce prophète de l'innovation, penseur de la « destruction créatrice » (Ferry préfère, lui, parler « d'innovation destructrice », plus optimiste) reste d'actualité. L'innovation comme moteur de la croissance, qui rend obsolète tout ce qui est ancien. Et qui, quand elle s'essouffle, aboutit à une crise... avant de reprendre le dessus et de relancer l'économie pour un nouveau cycle. L'informatique a ainsi permis l'expansion des années 1980 et 90. Aujourd'hui, les schumpétériens sont nombreux à penser que le numérique haut débit et ses avatars annoncent le prochain cycle capitaliste.