Recherche par mot-clé: Japon -Moeurs et coutumes -1945-....
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Lu par : Philippe Diserens
Durée : 2h. 38min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 69605
Résumé:« Je noue le hachimaki aux couleurs de notre Japon éternel autour de mon casque. J’effectue ce geste avec lenteur et solennité, sans pensées, sans émotions. Le froid dans mes veines, le temps s’est arrêté, je suis une fleur de cerisier poussée par le vent. À vingt et un ans, j’ai l’honneur d’accepter de mourir pour l’empire du Grand Japon. » En nous plongeant dans l’intimité d’un kamikaze de la guerre du Pacifique, Stéphanie Hochet nous livre un roman vibrant, poétique et d’une intensité rare.
Lu par : Denise von Arx
Durée : 4h. 34min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 18675
Résumé:Un vieux proverbe japonais dit " Bouddha ne sourit jamais trois fois de suite ". Les Japonais acceptent les provocations avec une bienveillante condescendance. Mais après une paire de coups de boutoir, eux aussi perdent patience et la diplomatie défaille immanquablement. Après le succès de Pourquoi les Japonais ont les yeux bridés, Keiko Ichiguchi continue à nous expliquer sa vie de nomade dans ce nouveau livre à l'ambiance bon enfant. Elle commente avec malice la vie d'un vrai Japonais : comment naît une idylle dans un train, quel est le langage de la sensualité nippone, comment se sont émancipés les shojo mangas, quelle est l'origine des mythes et légendes. Elle nous offre même une partie dédiée aux formules de politesse et aux... gros mots ! Car les Japonais aussi pètent parfois les plombs !
Lu par : Simone Reeve-Gagnebin
Durée : 7h. 47min.
Genre littéraire : Voyage/exploration
Numéro du livre : 14257
Résumé:"Dans l'esprit de bien des Japonais, l'Occidental est un être troublé, plein de scories et de caillots. Tout à fait moi ce soir. Aussi la perfection de cette chambre nue m'écrase. Me réprouve. Me donne l'impression d'être sale alors que je sors du bain. D'avoir trop de poils, et de désirs immodestes, et peut-être même un ou deux membres superflus. Il y a dans ce décor - comme ailleurs dans la nourriture - une immatérialité qui répète sans cesse : faites-vous petits, ne blessez pas l'air, ne blessez pas votre oeil avec vos affreux blousons de couleur, ne soyez pas si remuants et n'offensez pas cette perfection un peu exsangue que nous jardinons depuis huit cent ans."