La reine des mousselines: roman
Résumé
Les grands couturiers, elle a connu. Et les appartements luxueux, les soirées mondaines, Paris, les hommes. Élue Reine des Mousselines dans sa ville natale de province à l'âge de 17 ans, elle a été choyée, admirée, adorée. Isabelle avait un rêve. Il s'est brisé. Reste une jeune femme titubant, dans un manteau de fourrure dévasté, sur un trottoir de Tokyo où elle vend son corps. La fin d'une génération qui a trop cru aux vertiges de l'argent et de la réussite.
Lu par :
Danielle Schwartz
Genre littéraire:
Roman : au sens large et aventures
Durée:
5h. 11min.
Édition:
Paris, B. Grasset, 2009
Numéro du livre:
18280
Produit par:
Bibliothèque Sonore Romande
ISBN:
9782246657316
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Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
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Lu par : Madiana Roy
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Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 30745
Résumé:Quand on parle d'amour en France, Racine arrive toujours dans la conversation, à un moment ou à un autre, surtout quand il est question de chagrin, d'abandon. On ne cite pas Corneille, on cite Racine. Les gens déclament ses vers même sans les comprendre pour vous signifier une empathie, une émotion commune, une langue qui vous rapproche. Racine, c'est à la fois le patrimoine, mais quand on l'écoute bien, quand on s'y penche, c'est aussi du mystère, beaucoup de mystère. Autour de ce marbre classique et blanc, des ombres rôdent. Alors Nathalie Azoulai a eu envie d'aller y voir de plus près. Elle a imaginé un chagrin d'amour contemporain, Titus et Bérénice aujourd'hui, avec une Bérénice quittée, abandonnée, qui cherche à adoucir sa peine en remontant à la source, la Bérénice de Racine, et au-delà, Racine lui-même, sa vie, ses contradictions, sa langue. La Bérénice de Nathalie Azoulai veut comprendre comment un homme de sa condition, dans son siècle, coincé entre Port-Royal et Versailles, entre le rigorisme janséniste et le faste de Louis XIV, a réussi à écrire des vers aussi justes et puissants sur la passion amoureuse, principalement du point de vue féminin. En un mot, elle ne cesse de se demander comment un homme comme lui peut avoir écrit des choses comme ça. C'est l'intention de ce roman où l'auteur a tout de même pris certaines libertés avec l'exactitude historique et biographique pour pouvoir raconter une histoire qui n'existe nulle part déjà consignée, à savoir celle d'une langue, d'un imaginaire, d'une topographie intime. Il ne reste que peu d'écrits de Racine, quelques lettres à son fils, à Boileau mais rien qui relate ses tiraillements intimes. On dit que le reste a été brûlé. Ce roman passe certes par les faits et les dates mais ce ne sont que des portes, comme dans un slalom, entre lesquelles, on glane, on imagine, on écrit et qu'on bouscule sans pénalités.
Lu par : Annick Portmann
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Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 18146
Résumé:Montréal, décembre 1989. Un matin comme les autres à Polytechnique. Soudain, en plein cours, un jeune homme fait irruption dans une salle, et tout bascule. Il sort de son sac un fusil, abat toutes les filles de la classe, et va poursuivre son carnage dans les couloirs de l'école. Il ne vise que les femmes. Au total, il en tuera quatorze, avant de retourner l'arme contre lui. pourquoi cette folie meurtrière, chez un garçon apparemment sans histoires ? Par haine des féministes. Elles lui ont, écrivait-il avant de se tuer, gâché la vie... A partir d'un fait divers qui traumatisa le Québec, Elise Fontenaille dresse le portrait d'un enfant brûlé. Et ausculte une société qui en moins d'une génération est passée d'un catholocosme tout-puissant à un féminisme triomphant, non sans heurts.
Lu par : Françoise Dufour
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Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
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Résumé:... un savoureux récit mi-autobiographique mi-fantastique, qui emprunte à l'alchimie (du noir au blanc en passant par le rouge) la symbolique de son parcours. C'est un roman d'initiation ou d'apprentissage, mais à la vieillesse : comment trouver le bon rythme de la vie quand on a 99 ans, qu'on n'a jamais compris rien à rien, et qu'on est enfermé dans une sorte de Disneyland délavé, univers asilaire que d'autres appellent un home pour personnes âgées? La drôlerie irrépressible du texte emprunte à Lewis Carroll et à Swift; elle est surtout tissée d'humour noir. André Breton ne s'y était pas trompé, qui choisit autrefois un conte de Leonara Carrington pour illustrer son Anthologie de l'humour noir.