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Comme un cuivre qui résonne

Quatrième de couverture
Une vieille fille rêve de scènes d'amour torrides avec son voisin du dessus. La Heidi de notre enfance revisitée avec humour. Un jeune prêtre attend désespérément un signe du Ciel et découvre... la paternité. Captés dans leur instantanéité et leur infinie solitude, les personnages de Peter Stamm illuminent ce nouveau recueil de douze nouvelles où, parmi une majorité d'anonymes, on croise aussi Camille Corot...
Genre: Nouvelle
Durée: 4h. 49min.
Édition: Paris, C. Bourgois, 2009
N° de notice: 16320
ISBN: 9782267020106

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Lu par:Anne-Lise Zambelli-Blanc
Durée: 4h. 24min.
Genre: Nouvelle
Quatrième de couverture: Avec ces dix récits, ancrés dans la région du lac de Constance, Peter Stamm renoue avec le genre de la nouvelle, dans lequel il excelle. Variations autour du couple et de la solitude, ces textes conçus comme des instantanés photographiques cadrent un moment de vie sans jamais imposer de jugement ou de résolution définitive : ils capturent quelques pensées et événements flottants au sein d'existences en perpétuel état de tension et d'incertitude.
Lu par: Anne-Lise Zambelli-Blanc
Durée: 4h. 24min.
Numéro: 18622
Lu par:Brigitte Cottens
Durée: 3h. 26min.
Genre: Roman : au sens large et aventures
Quatrième de couverture: Ils sont cadres de banque, étudiants, mères de famille ou retraités, des gens ordinaires. Ils vivent à New York, ou quelque part en Suisse, vont travailler à Londres ou à Riga, se croisent dans un bar à fado de Lisbonne. Gagnés par le train-train quotidien. La banalité même. C'est à eux pourtant que Peter Stamm donne la parole dans son dernier recueil de onze nouvelles. À Henry, l'ancien vacher devenu cascadeur qui sillonne le pays en rêvant de rencontrer une femme. A Inger, la Danoise, qui refuse sa vie étriquée et s'est mise en route pour l'Italie.
Lu par: Brigitte Cottens
Durée: 3h. 26min.
Numéro: 16190
Lu par:Françoise Golaz
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Genre: Roman : au sens large et aventures
Quatrième de couverture: Dans la salle de lecture surchauffée de la bibliothèque municipale, ils ont échangé leurs premiers regards. Puis, autour d'un café, leurs premiers mots. II est suisse et fait des recherches sur les wagons de luxe américains. Elle est américaine, étudiante en physique et rédige sa thèse de doctorat. Ils dînent ensemble, partent en excursion dans les forêts environnantes, visitent les musées. Un jour, Agnès lui demande d'écrire un portrait d'elle. Soir après soir, il se prête à ce qui n'est au début qu'un jeu.
Lu par: Françoise Golaz
Durée: 3h. 7min.
Numéro: 16972
Lu par:Cécile Gavlak
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Genre: Roman : au sens large et aventures
Quatrième de couverture: Elle s'appelle Gillian, elle est belle, elle a du succès, elle est aimée. Mais le début du livre renvoie toutes ces phrases au passé, y compris la première. Est-elle en effet encore Gillian au moment où débute le roman ? N'a-t-elle pas tout perdu, jusqu'au reflet d'elle-même ? Une nuit, au retour d'une soirée trop arrosée, après une dispute, Gillian et son mari Matthias, qui travaillent tous deux pour la télévision, ont un accident de voiture en heurtant un chevreuil sur une petite route qui traverse la forêt. Matthias, qui conduisait, meurt sur le coup. Gillian se réveille à l’hôpital et découvre qu'elle n'a plus de visage. Toute la belle façade s'écroule, tout ce qui faisait sa vie a disparu. Gillian doit subir plusieurs opérations de chirurgie plastique. Elle qui était toujours entourée, admirée, sollicitée, découvre la solitude et l’absence de vraie amitié. Même sa mère n'ose plus aller la voir. Pour Gillian, les jours deviennent des nuits. Après cette première partie, Peter Stamm fait un saut en arrière et raconte la rencontre entre Gillian et Herbert, un artiste qui peint des nus à partir de photos. Croisé sur un plateau de télévision, il finit, après quelques échanges de mails, par photographier et peindre Gillian nue dans son atelier. Ce sont en fait les photos de ce travail qui ont déclenché la dispute fatale avec Matthias. Ce dernier avait en effet découvert par hasard la pellicule dans un tiroir du bureau de Gillian et l'avait faite développer. Outre un fort sentiment de culpabilité, Gillian en retire l'idée que l'art peut tuer, mais aussi la conviction que sa vie n'était jusque-là qu'une simple mise en scène fondée sur les apparences. La troisième partie nous emmène sept ans plus tard. Herbert traverse une crise existentielle. Incapable de peindre depuis plusieurs années, il a finalement accepté un poste de professeur aux Beaux-Arts. Un jour, il reçoit l'invitation d'une fondation culturelle dans les montagnes de l'Engadine, qui lui donne carte blanche pour faire une exposition. Après de longues hésitations, il finit par accepter, d'autant plus que sa compagne, avec qui il a un petit garçon de sept ans maintenant, vient de le quitter. C'est là qu'il retrouve Gillian qui, après sa guérison, a fui le monde des médias et a trouvé un travail d'animatrice culturelle, loin de la ville et de ses attraits, dans le centre de loisirs qui jouxte la fondation. Peter Stamm est trop bon romancier pour confier cette rencontre au hasard : c'est en fait Gillian (qui se fait désormais appeler Jill) qui a convaincu le directeur du centre culturel d'inviter Hubert et de lui proposer de faire une exposition. Si tous les jours sont des nuits quand l'amour disparait, les nuits peuvent devenir des jours quand le bonheur d'être ensemble est là, pour reprendre les dernières lignes du sonnet de Shakespeare mis en exergue au début du livre. Mais Peter Stamm sait aussi éviter les pièges des réconciliations prématurées, c'est le prix de la liberté de ses personnages qui ne réagissent pas toujours comme on l'attend. Ici, la vie n'est pas un songe, elle est un jeu dont on doit maitriser les règles pour ne pas se faire rejeter. Mais dont on peut aussi rejeter les règles, si on en a le courage.
Lu par: Cécile Gavlak
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Numéro: 36249
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Genre: Roman : au sens large et aventures
Quatrième de couverture: Alexander et Sonia forment un couple parfait. Tous deux sont jeunes, beaux et partagent une passion commune pour l'architecture. Guidés par l'ambition de Sonia, ils s'installent à Munich et ouvrent un cabinet qui connaît un succès rapide. Cette union, idyllique en apparence, se trouve bouleversée par la rencontre d'Alex avec Iwona, une Polonaise sans papiers, peu cultivée, peu attirante. Rien ne devrait les réunir mais Alex est irrésistiblement attiré par cette femme dont la seule qualité est d'être l'exact opposé de Sonia.
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Numéro: 17012
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Genre: Roman : au sens large et aventures
Quatrième de couverture: Un homme – appelons-le le narrateur – donne rendez-vous à une femme prénommée Lena dans le grand cimetière de Stockholm. Cette femme est une inconnue (nous apprendrons plus tard qu’elle est comédienne et a joué Mademoiselle Julie au théâtre), mais elle rappelle intensément au narrateur la jeune femme dont il a été très amoureux il y a une vingtaine d’années. Cette dernière s’appelait Magdalena, était aussi comédienne et elle aussi avait joué Strindberg. Après leur rupture, le narrateur a écrit un livre sur les trois années qu’ils ont vécu ensemble et il veut en donner les détails à l’inconnue de Stockholm. Lena accepte de l’écouter, mais se moque des similitudes qui lui semblent forcées entre sa vie et celle de Magdalena, invoquant à chaque détail troublant une coïncidence et ne cessant de répéter qu’elle ne peut être Magdalena puisqu’elle a vingt ans de moins. Ce récit de Peter Stamm, ciselé en 37 petits chapitres et dont le titre rappelle « la tendre indifférence du monde » évoquée par Camus à la fin de L’Étranger, est d’une vertigineuse intelligence. Tout en conservant sa part épique qui n’en fait pas un livre sec, cette réflexion sur les confusions de la vie, les obsessions de l’existence, la portée de la littérature, la différence entre le vécu et le récit qui en est fait, frôle sans cesse les abîmes sans jamais tomber dans la confusion, encadré qu’il est par deux chapitres qui mettent encore ce kaléidoscope en perspective. Poursuivant la recherche sur la vérité et l’imaginaire et le jeu avec la réalité initiée dans L’un l’autre, Peter Stamm nous donne un livre diablement virtuose
Lu par: Françoise Golaz
Durée: 3h. 26min.
Numéro: 38884
Lu par:Françoise Golaz
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Genre: Roman : au sens large et aventures
Quatrième de couverture: C'est la fin de l'été dans une petite bourgade suisse. Une famille rentre de vacances, elle s'apprête à reprendre le cours d'une existence paisible : Astrid est une mère dévouée, Thomas est un père aimant, Ella et Konrad, élèves de collège, semblent épanouis. Rien ne semble présager la situation à laquelle ils vont se trouver confrontés. Lorsque Astrid se réveille le matin suivant, Thomas est parti. Commence alors une longue errance à travers les montagnes, vers une nouvelle vie.Le roman de Peter Stamm, qui s'ouvre sur une vie de famille et un retour au quotidien décrit à l'unisson, alterne progressivement les points de vue de Thomas et d'Astrid, comme pour trouver un sens au départ, à la disparition - thème majeur de l'œuvre de l'auteur - ce, jusqu'à la chute de Thomas dans une crevasse. À la vie à la maison, avec les enfants peu compatissants et un irrépressible désir de revenir en arrière, s'oppose la vie sur les routes, la nature et la volonté de se confronter à son hostilité.Avec un style dépouillé et sobre, sans jugement de valeur ou de résolution définitive, l'écrivain suisse s'interroge encore une fois sur la notion de couple et de solitude propre à chaque être humain. Qu'est-ce qui lie deux personnes entre elles et jusqu'à quel point ? Quelles sont les limites de notre compréhension de l'autre ?
Lu par: Françoise Golaz
Durée: 5h. 17min.
Numéro: 34732
Lu par:Jacqueline Dupuis
Durée: 3h. 34min.
Genre: Nouvelle
Quatrième de couverture: Existe-t-il une réalité différente de la nôtre, qui échappe à certains mais se révèle à d’autres ? Les protagonistes des histoires composant cet ouvrage vivent tous une rencontre entre rêve et réalité, de celles qui nous laissent à penser qu’il existe un univers de tous les possibles où deux âmes peuvent se rencontrer et s’unir pour l’éternité. Ces rencontres sont étranges, saisissantes, aussi bien dans l’extraordinaire que dans la banalité de la vie. Elles illustrent de façon kaléidoscopique la palette des sentiments humains: ceux qui retiennent ici-bas les êtres par-delà la mort, ou au contraire les rappellent à elle, ceux qui poussent à la vengeance malgré tout, au sacrifice, à commettre des folies, ceux qui manipulent des vies à leur guise, sans ménagement, ceux qui se présentent au moment où l’on s’y attend le moins. La plume de l’auteure dépeint admirablement la complexité de la rencontre humaine et les entrelacs des sentiments et des chemins parcourus.
Lu par: Jacqueline Dupuis
Durée: 3h. 34min.
Numéro: 66059
Lu par:Bertrand Baumann
Durée: 2h. 14min.
Genre: Nouvelle
Quatrième de couverture:
Lu par: Bertrand Baumann
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Numéro: 18960
Lu par:Brigitte Cottens
Durée: 2h. 26min.
Genre: Nouvelle
Quatrième de couverture: Jean-Pascal Ansermoz est un grand romantique, un philosophe, un observateur critique. Aristote, non c'est Ari pour les intimes qui nous raconte sa vie, ses sentiments, ses observations, ses amours, ses passions, tout ce qui se passe dehors. Tout ce que le petit bonhomme dans la rue risque de ne pas voir, parce qu'il n'a pas le temps pour observer, ou parce qu'il est superficiel. Ari observe, jette un coup d'oeil jusqu'au fond. Rien n'échappe à son oeil critique. Il a le temps, il est mélancolique, poète, romantique, il pose le doigt dans la plaie là où personne n'ose le faire. Ari ose, Ari a ce droit, car lui c'est le chat.
Lu par: Brigitte Cottens
Durée: 2h. 26min.
Numéro: 18711
Lu par:Claude Fissé
Durée: 8h. 9min.
Genre: Nouvelle
Quatrième de couverture: Ces chroniques de Peter Bichsel - choisies et traduites par Ursula Gaillard - sont parues dans la presse alémanique de 1980 à 2008. Elles ont davantage la saveur de contes que la tonalité de la narration historique ou anecdotique. Et c'est justement dans une histoire intitulée «Un conte d'hiver africain» que Peter Bichsel évoque la couleur isabelle à propos du «Livre», les Mammifères de la Terre du Dr Schleyer, grâce auquel, écrit-il, il s'est éveillé au monde?: «?Je l'ouvre de temps en temps et cela commence toujours par une déception, ses illustrations ne sont plus d'emblée aussi captivantes qu'au moment du premier regard, mais quand je les regarde plus longuement, elles prennent la couleur du souvenir, cette couleur qui comme la couleur isabelle n'est pas une couleur de ce monde-ci, mais celle du monde qui commence à la gare du préposé Schleyer, la gare agricole royale. [...] Je n'ai encore jamais été en Afrique. L'école isabelle a ceci de particulier que ce que l'on y apprend, on ne l'apprend pas pour aller de l'avant ou plus loin, mais pour être là et pour rêver.»
Lu par: Claude Fissé
Durée: 8h. 9min.
Numéro: 18816
Lu par:Suzanne Bettens
Durée: 1h. 2min.
Genre: Nouvelle
Quatrième de couverture:
Lu par: Suzanne Bettens
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