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[La comédie humaine]: Illusions perdues

Résumé
Dédié à Victor Hugo, Illusions perdues est non seulement le plus vaste roman de La Comédie humaine, mais une de ses clés de voûte. En 1819, de retour à Angoulême, sa ville natale, David Séchard rachète pour un prix exorbitant le commerce de son père, vieil avare alcoolique. Il s'agit d'une imprimerie vétuste dont l'activité périclite du fait de la concurrence des frères Cointet...
Durée: 31h. 12min.
Édition: Paris, Garnier-Flammarion, 1966
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Résumé:Étudiant désargenté, Eugène de Rastignac est monté à Paris pour y faire son droit et y acquérir gloire et pouvoir. Il loge dans une pension miteuse et rencontre le père Goriot. Ancien négociant, il s'est ruiné pour ses filles qui, après leur mariage, ne lui témoignent qu'indifférence et mépris. Rastignac est alors confronté aux calculs sordides et à la noirceur du coeur humain. Il tire de cette expérience un sentiment de fatalité mais aussi une formidable volonté de conquête.
Durée : 1h. 41min.
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Lu par : Bertrand Baumann
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Résumé:Deux femmes, Clémentine et Marie. Deux mariages, deux époux, charmants, convenables, vivant l'amour à la petite semaine et " soignés comme une petite maîtresse ". Deux femmes, deux mariages, deux époux et, bien sûr, deux amants, vigoureux comme des tigres, de " chevelure inculte " et de regard " napoléonien ". Deux amants ? En fait un seul, Balzac lui-même, prodigieux narcisse et visionnaire amoureux qui évoque ici une de ses conquêtes et " récupère " un de ses plus cuisants échecs amoureux, toutes les femmes ne lui ayant pas dit, comme Mme de Berny : " Adieu didi on t'aime quand même... malgré la corde qui te manque. " Et tous les personnages qui apparaissent dans Une fille d'Eve et deviendront les maréchaux et les grognards de la Grande Armée balzacienne font de ce roman le laboratoire central de La Comédie humaine
Lu par : Jean Frisch
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Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 11689
Résumé:Ce roman est le plus riche et le plus complet de l'ensemble de l' Histoire des Treize. Le général de Montriveau est épris de la duchesse de Langeais, une coquette qui se refuse à lui et qui disparaît. Aidé par les puissants Treize, sorte de franc-maçonnerie aux pouvoirs occultes comme Balzac aime à mettre en scène, il la poursuit jusqu'à un monastère espagnol où elle s'est réfugiée sous le nom de soeur Thérèse. Là, elle accepte de le recevoir en présence de la mère supérieure à qui elle fait croire que cet homme est son frère. Mais, au dernier moment, elle avoue sa faute en même temps que son amour longtemps caché pour Montriveau. Ce début amène un long retour en arrière, à l'époque où la duchesse menait le monde par le bout du nez, faisant ménage à part avec son mari et méprisant ses soupirants. L'esprit des Treize imprègne le roman, en particulier la scène de violence où l'on voit Montriveau, conseillé par Ronquerolle, menacer la duchesse de la marquer au front avec une croix de Lorraine rougie au feu. Dédié à Franz Liszt, ce portrait d'une coquette représentative des nobles familles du faubourg Saint-Germain... (wikipedia.org)
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Résumé:Vendre son âme à Lucifer ! Castanier, le caissier faussaire de la maison Nucingen, l'a fait. Facile, quand on ne croit en rien, et que l'on est amoureux d'unejeune beauté. Finies la quarantaine ingrate et les mains potelées d'homme gras ! A lui maintenant cet insupportable éclat du regard capable de broyer des volontés de fer... Mais à quel prix ! Les pouvoirs du diable sont bien encombrants. Comment s'en débarrasser ? En dénichant l'âme faible prête à signer le pacte. Et où la trouver sinon clans un lieu vénal où se brasse l'argent ? A la Bourse ! Dans Jésus-Christ en Flandre, une barque chavire en pleine tempête. Un homme, qui ne possède rien, marche sur les flots. L'évêque et la vieille dame s'élancent. La pécheresse et le soldat suivent. Dieu, dans les vagues et le noir, y reconnaîtra certainement les siens...
Lu par : Mousse Reymond
Durée : 1h.
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Résumé:Un peintre novice, riche seulement de son talent et de l'amour de la belle Gillette, entreprend, étape obligée de tout parcours initiatique, la visite au grand maître en son atelier. La rencontre entre Nicolas Poussin, car c'est de lui qu'il s'agit, et de Maître Porbus lui réservera bien des surprises. Maître Frenhofer, personnage étrange, est lui aussi de la partie et accapare l'attention des protagonistes et du lecteur. Il fascine par la judicité de ses commentaires savants et par l'art d'allier le geste à la parole. En quelques coups de pinceau, il métamorphose le tableau, fort bon au demeurant, de Porbus. « Marie l'Egyptienne », après son intervention, semble renaître à la vie. Conviés chez Maître Frenhofer, Poussin et Porbus apprennent qu'il travaille depuis dix ans à une oeuvre magistrale, le portrait de Catherine Lescault, en regard duquel toutes les toiles qu'ils ont pu admirer à loisir chez leur hôte ne sont que de vulgaires ébauches. Mais Frenhofer n'autorise personne à pénétrer dans son atelier. Le chef-d'oeuvre n'est pas achevé, Frenhofer doit encore le confronter à une femme réelle, un modèle à la beauté parfaite. Poussin conçoit d'emblée le plan qui l'introduira dans le « saint des saints » de la peinture : sa Gillette n'est-elle pas la femme que Frenhofer recherche désespérément ?
Durée : 2h. 30min.
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Résumé:Ce récit écrit en 1829 sera placé, plus tard, par Balzac en ouverture de la Comédie Humaine. On y retrouve la trame de ce que seront les romans la composant et l'on y croise déjà les héros d'autres épisodes. Tout y préfigure la grande oeuvre de Balzac. C'est en ces quelques pages une miniature parfaite de tout ce qui suivra. La maison du chat qui pelote, titre définitif que l'auteur donna à cette ouvrage, avait à l'origine été intitulé Gloire et Malheur. Il s'y joue le destin d'une femme que tout favorise. Mais l'amour peut-il résister au fil des ans, à la différence des classes ? Questions actuelles que Balzac, comme toujours avec son génie, pose et auxquelles il répond, nous montrant que finalement, aujourd'hui rien n'a changé.
Lu par : Singier
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Résumé:Le roman s'ouvre avec la description sordide et répugnante de la maison Vauquer, une pension parisienne située dans la rue Neuve-Sainte-Geneviève, appartenant à la veuve Vauquer. Plusieurs résidents s'y côtoient, dont Eugène de Rastignac, jeune étudiant en droit, un mystérieux personnage un peu rustre et grossier nommé Vautrin et un ancien vermicellier (fabriquant de pâtes et de pain) ayant fait fortune pendant la révolution, retraité maintenant complètement désargenté et veuf, surnommé le père Goriot par la veuve Vauquer, frustrée dans ses intentions de mariage avec lui à l'époque où il était arrivé à la pension, riche, bien mis et en possession de beaucoup de mobilier. La plupart des pensionnaires se sont mis à l'appeler ainsi aussi, le tournant en ridicule et le considérant comme sénile et diminué. Logent également dans la pension d'autres personnes, entre autres Madame Couture et sa protégée, Mademoiselle de Taillefer, jeune fille pauvre mais belle, élégante et distinguée, dont la mère est morte mais que son père refuse de reconnaître (elle est aussi ignorée par son frère aîné). Ses tentatives pour accéder à sa famille sont ignorées par les deux hommes. Rastignac, qui est issu d'une famille provinciale modeste, est ébloui par la vie parisienne. Il délaisse rapidement ses études et tente de percer dans la haute société. Il est aidé en cela par sa cousine, la vicomtesse de Beauséant, qui l'invite à un bal où il rencontre Anastasie de Restaud. Il tente sa chance avec elle, mais est rapidement mis à l'écart quand il découvre le fossé culturel et surtout financier qui le sépare de la dame, de son mari et de son amant. Décontenancé, exclu des amitiés de ces trois derniers, misérable et vexé, il retourne voir sa cousine, qui l'initie aux mystères du grand monde. Elle lui révèle également le secret d'Anastasie : elle est la fille du père Goriot. Celui-ci s'est quasiment ruiné pour contenter, doter et bien marier ses deux filles, Anastasie de Restaud et Delphine de Nucingen, qui le tiennent à l'écart de leur vie. Elles mènent grand train auprès de leurs maris aristocrates, mais elles ont honte de la façon dont s'est enrichi leur père. Elles ne rechignent toutefois pas à accepter ses aides lorsque les y forcent leurs problèmes financiers. Vautrin, en attendant, révèle cyniquement à Rastignac les rouages de la société et les moyens de parvenir à la puissance. Il veut faire sa fortune et il le pousse à épouser Mademoiselle de Taillefer, dont il s'arrange pour faire tuer le frère en duel afin de lui rendre la disposition d'un riche héritage. Rastignac refuse de suivre Vautrin dans cette affaire criminelle. Il s'engage dans une relation amoureuse avec Delphine, une des filles de Goriot. Une enquête révèle que Vautrin est un ancien forçat, Jacques Collin, portant la marque au fer rouge des bagnards sur la peau et que découvrent les agents venus l'arrêter. Le Père Goriot, qui croyait pouvoir quitter la pension avec Rastignac pour vivre auprès de sa fille Delphine, meurt en apprenant brutalement la situation familiale et financière désastreuse de ses filles, qui lui réclament son aide sans ménagement. Peu de temps avant, on lui avait diagnostiqué une grave crise d'apoplexie. Bianchon, un des pensionnaires et ami de Rastignac, a lui-même diagnostiqué le Père Goriot. Rastignac assiste à l'enterrement du vieillard, que ses filles n'accompagnent même pas au cimetière. Bien qu'il soit assez ému par la détresse du vieillard, Rastignac se laisse emporter par sa passion du pouvoir et de l'argent et, subjugué par la vue des quartiers riches de Paris, il se lance à la conquête de la capitale : « À nous deux, maintenant ! »
Lu par : Bernard Goyez
Durée : 25h. 25min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
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Résumé:Réunit : Les deux poètes ; Un grand homme de province à Paris ; Eve et David
Lu par : Bernard Goyez
Durée : 21h. 22min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
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Résumé:
Durée : 12h. 27min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
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Résumé:Un jeune marquis désespéré, Raphaël de Valentin, reçoit des mains d'un vieil antiquaire un étrange cadeau : une peau de chagrin ayant le pouvoir de satisfaire tous les désirs de son propriétaire. Mais le vieillard l'avertit : « Vouloir nous brûle et Pouvoir nous détruit. » Raphaël deviendra riche et célèbre mais, à chaque désir comblé, la peau se racornit. Seul l'amour pleinement partagé laisse la peau intacte. Balzac a voulu montrer combien la puissance des désirs et la dissipation des idées réduisaient la force spirituelle qui est en chaque être. Cette oeuvre fantastique, qui fait partie des Études philosophiques de La Comédie humaine, est l'un de ses romans les plus lus.