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Val de grâce: roman

Résumé
Est-ce qu on me pardonnera d' avoir été aimée à ce point ? se demande la narratrice. Est-ce qu on lui pardonnera la chance inouïe d avoir passé les vingt-trois premières années de sa vie au « Val de Grâce » ? Comment oublier 200 mètres carrés dans un immeuble haussmanien, rue du Val de Grâce, au coeur de la capitale ? Comment oublier les odeurs, le toucher d un appartement dont on connaît le moindre recoin, la moindre érafl ure ? Les nombreux meubles, l'accumulation des objets, l originalité des décors, le papier doré et argenté des murs ? Comment oublier l enfance heureuse, préservée, qui donne droit à tout : aux confi series et à la boulangerie à compte ouvert ; à la patience de Madame Jacqueline ; aux rêves de princesse de contes de fées ?
Durée: 2h. 30min.
Édition: Paris, Stock, 2008
Numéro du livre: 15990
ISBN: 9782234061590

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Résumé:Comment peut-on aimer quand le monde entier vous désire ? De Paris à Rome à la fin des années 60, une histoire aussi brève que solaire entre « Bri », la plus belle fille du monde, l'une des plus célèbres aussi, et un jeune homme dont elle aura été le professeur d'amour. « Le 29 mai 67, tu as noué dans tes cheveux un foulard à motif jaune et bleu et une mèche de tes cheveux s'est échappée de ce chignon retenu par un foulard. Le sais-tu, toi, que ce jour-là une mèche blonde a glissé de ce tissu serré jaune et bleu ? Je découvre et j'admire tout, ce foulard jaune et bleu, un grain de beauté plat et clair sur ta joue gauche, cette manière que tu as de te tenir debout dans un léger déhanchement, l'odeur mentholée de la lotion que tu appliques sur tes jambes après les avoir exposées au soleil. Ces mots "dégoûtant", "rigolo" qui étaient si nouveaux et qui ne le sont plus, la première télévision couleur, les premiers cinémas d'art et d'essai, les premières pilules contraceptives, tes jupes beaucoup trop courtes, la chanson "Summer of Love" que l'on écoutait à la radio, tout cela est toujours présent. Tu me conduis, ce printemps-là, vers la modernité. »
Durée : 3h. 17min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
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Résumé:Née en Bolivie dans une famille indigène, Azul a grandi dans un paradis où les fruits, les fleurs, les couleurs, les goûts prospéraient. Immigrée économique, laissant mari et enfants, langue et robes indiennes, rites et prières, elle va découvrir l'Europe et ses riches propriétaires. Comment montrer à ses patronnes ce que leurs yeux ne voient pas du monde ? Comment conserver la bonté reçue dans l'enfance ?
Lu par : Emilie Berger
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Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
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Résumé:Selon un excellent dictionnaire des synonymes, borné, commun, conformiste, conventionnel, égoïste, étriqué, formaliste, grossier, lourd, moyen, pantouflard, philistin, médiocre, singe, trivial, vulgaire, c’est la même chose. Les bourgeois sont malheureux et c’est leur faute. Ils sont là, à geindre avec leurs problèmes de riches, leurs dépressions, leurs régimes, les travaux dans leur appartement, la poussière, leurs domestiques, la queue aux télésièges. Quant aux bourgeoises ? Grimaçons ! Un truc étriqué, mal baisé, maigre, pas tendre, la peau trop tendue, les pieds serrés dans des escarpins. Esther et Héloïse se sont rencontrées en sixième, elles sont dans la même classe à l’école Alsacienne, une école privée parisienne, une école pour bourgeois libéraux, les pires, ceux qui ont toutes les chances, sans les règles. Elles sont donc des filles à papa, des gosses de riches, la cuillère en argent dans la bouche, pendant longtemps elles ne connaîtront rien d’autre, des visières sur les yeux, leurs pistons, leurs vacances, les meilleures places dans le train. Qu’elles souffrent comme tout le monde, qu’on les enferme, qu’elles subissent ce que toutes les petites filles, les adolescentes, les femmes du monde subissent ! Il n’y a pas de raison qu’elles échappent, parce qu’elles sont nées dans les bons quartiers, au sort qui leur est réservé.
Durée : 3h. 1min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 73691
Résumé:" De l’âge de 6 ans à celui de 20 ans, j’ai passé toutes mes vacances dans un Home d’enfants situé dans une vallée paradisiaque, en Suisse. Une vie à la dure, des heures de marche dans la montagne, des punitions, des frites : tout me plaisait. Le chalet était tenu par Karl et Anne-Marie Ammann, avec leurs enfants Patou et Vava. Ils ont été ma famille d’adoption alors que mes parents étaient absents. Trente ans après, je suis retournée dans la vallée. Je l’ai retrouvée intacte. J’ai commencé à écrire un livre, je souhaitais qu’il soit tendre et pur comme ce passé. Et voilà que commençant ce livre, j’ai appris qu’il y avait eu mensonge au paradis. Patou était en prison pour escroquerie, il avait passé sa vie à mentir et à voler. Sa sœur Vava, mon amie d’enfance, souffre de délires paranoïaques. Elle est schizophrène, ne sort plus de chez elle, passe ses journées sur les réseaux sociaux. Sidérée, j’ai enquêté de manière obsessionnelle. Que leur est-il arrivé ? Pourquoi ont-ils renoncé à la réalité pour vivre au pays du mensonge ? Mais répondre à ces questions n’était pas suffisant. Pour écrire enfin la vérité, avoir la force de l’accepter, il fallait que je me regarde en face. Pourquoi, alors que j’avais été si heureuse dans cette vallée, n’y étais-je jamais retournée ? Il a fallu que je termine une première fois ce livre pour admettre mon aveuglement. Moi aussi je mentais. En enquêtant sur le passé des autres, j’ai pu ouvrir les yeux sur le mien. "
Lu par : Emmanuelle Dagan
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Résumé:Ce roman dessine le portrait de Denise Glaser, femme de la télévision française célèbre puis oubliée, et met en miroir la vie de Jeanne Rosen, journaliste et auteure d'un livre au succès immérité, qui ressent les fragilités de la gloire. Un hommage et une réflexion sur les revers de la célébrité.
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Résumé:« Je passe mon bac dans un mois. Je suis enceinte. J'ai peur. » Il y a trente ans, Colombe Schneck, romancière et journaliste, a dû avorter. Elle raconte ce secret dans un récit court et sensible.
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Genre littéraire : Roman historique/biographique
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Résumé:"Quand j'évoque mon père devant ses proches, bientôt trente ans après sa mort, ils sourient toujours, un sourire reconnaissant pour sa générosité. Il répétait, il ne faut laisser que des bons souvenirs. Il disait aussi, on ne parle pas des choses qui fâchent. A le voir vivre, on ne pouvait rien deviner des guerres qu'il avait traversées. J'ai découvert ce qu'il cachait, la violence, l'exil, les destructions et la honte, j'ai compris que sa manière d'être était un état de survie et de résistance. Quand je regarde cette photo en couverture de ce livre, moi à l'âge de deux ans sur les épaules de mon père, je vois l'arrogance de mon regard d'enfant, son amour était immortel. Sa mort à la sortie de l'adolescence m'a laissée dans un état de grande solitude. En écrivant, en enquêtant dans les archives, pour comprendre ce que mon père fuyait, je me suis avouée, pour la première fois, que nous n'étions pas coupables de nos errances en tout genre et que, peut-être, je pouvais accepter d'être aimée".
Lu par : Ava Cohen
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Résumé:Jean et sa petite chérie ont 13 ans à peine et passent des heures ensemble à faire leurs devoirs. Une seule fois, Jean lui a demandé si elle voulait sortir avec lui, elle lui a dit non mais l'a aussitôt regretté. Elle a grandi, a aimé et a été aimée, mais n'a jamais perdu de vue ni oublié Jean. Ils se reverront et tenteront de s'aimer enfin.
Lu par : Jean Frey
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Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 15960
Résumé:D'emblée, la citation de Nietzsche, placée en exergue du livre, donne le ton, puisqu'elle met en valeur l'idée de bonheur. Car ce sont bien des promesse de vie et de bonheur que recèle ce roman qui s'élève contre le nihilisme contemporain. Contre, aussi, la littérature de l'impasse, du malheur et de la mélancolie. Car ce texte à contre-courant est aussi en rapport avec l'actualité la plus directe... Le narrateur, professeur de philosophie, s'est vu confier un projet ambitieux par une institution internationale : réfléchir à une philosophie mondiale. Libre à lui de mener ce travail comme il l'entend, à une seule contrainte près : ne pas évacuer la dimension religieuse de l'humanité. Au fil de ses recherches et de ses discussions avec les deux femmes de sa vie, Nelly l'étudiante en philosophie, cérébrale et réfléchie, et Ludivine la frivole qui ne pense qu'à la mode au point d'en faire son métier, le narrateur va découvrir qu'un seul penseur se montre assez solide pour fonder un projet de philosophie mondiale : Nietzsche. Mais un Nietzsche débarrassé des oripeaux dont on a cru bon, par la suite, d'affubler sa pensée jusqu'à la falsifier. Livre politique et roman philosophique, Une vie divine est aussi un texte grave et drôle sur la possibilité - la nécessité, même - d'être heureux.
Durée : 4h. 39min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 22474
Résumé:On est dans l'après-guerre d'une guerre civile qui a opposé ceux du Nord à ceux des plaines et du littoral. Un homme, Schwara, sans doute forestier ou charpentier, descend vers le port principal où réfugiés, trafiquants, humanitaires et même vacanciers se côtoient sans se voir. Il est à la recherche d'un autre homme, qui prend l'allure d'un absolu et tente de venir en aide à ceux qu'il rencontre, ne déclenchant que suspicion et haine. Des veuves de pêcheurs, traumatisées par les viols collectifs tentent de le tuer. Mais lui avance obstinément, atteint le pont en ruines de Ran-Mositar et propose ses services pour sa reconstruction. Sur le chantier, travaille une femme, Iréni, qui porte aussi son poids de malheur et dont la fille Luria se vend aux marins pour survivre. Dans ce climat de douleur et de haine, le destin achèvera ce que la guerre a saccagé.
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Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 16773
Résumé:Dans la ville de Banos de Agua Santa, au centre de l'Equateur, vient d'arriver un étranger, Tchaka, qui se fait engager comme jardinier par un grand propriétaire terrien. Installé sur les pentes du volcan Tungurahua dont il pressent la reprise d'activité, il découvre qu'une jeune femme y a établi en secret un camp de base pour faire passer la frontière aux candidats à l'émigration sans qu'ils tombent sous la coupe des " coyotes ". Pourquoi ont-ils échoué dans cette zone à risque où l'éruption peut à chaque instant tout saccager, est-ce le prix à payer pour qu'ils se réconcilient avec leur passé ?