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Le bonheur dans le crime

Résumé
Hauteclaire Stassin, noire et souple comme une panthère, empoisonne la femme de son amant sans une once de remords. Ce crime commis de sang froid viendra-t-il corrompre leur idylle passionnée ? Le bonheur peut-il réellement s'épanouir dans le crime ? La comtesse de Sierra-Leone, beauté sublime mariée à un grand d'Espagne, vit sa passion jusqu'à la folie. Pour se venger de son mari qui a arraché le coeur de son amant et l'a fait dévorer par les chiens, elle se prostitue avec ostentation dans les bas quartiers de Paris. Jusqu'où peut aller une femme dans le désir de vengeance ? Dans ces deux nouvelles issues des Diaboliques, la passion est flamboyante, immorale et décadente. Un héroïsme noir, inversé, qui érige ces femmes en modèles de perversion morale aussi terribles que fascinants.
Durée: 2h. 13min.
Édition: Paris, France loisirs, 2004
Numéro du livre: 15451
ISBN: 9782744172564
Collection(s): Courts romans & autres nouvelles

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Résumé:"Je m'étais toujours promis d'écrire un livre sur Clarisse. Bien avant qu'elle ne meure. Un livre à sa mémoire. Ce qu'elle me racontait de son enfance, de ses souvenirs, de sa famille. Je lui avais même fait part de ce projet. Un livre sur moi ? Quelle idée ! Elle riait. Sa modestie ou, mieux, son humilité n'y trouvaient pas leur compte. Pourtant, ce que je lui disais ne lui déplaisait pas non plus. Du moment que cette idée restait une idée. La simple preuve de l'affection que j'éprouvais pour elle." Mais si, un souvenir en appelant un autre, l'histoire d'une vie proche aidait à reconstituer une part secrète de la sienne propre ?
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Résumé:De la bouche des enfants sortent souvent, outre des vérités toutes crues, moult questions d'une évidence abyssale. Les éluder serait criminel ; y répondre est suicidaire. «Y avait-il des dinosaures dans l'Arche de Noé ?», a un jour confié à son père la jeune Constance Wackenheim, songeant sans doute que son père datait du carbonifère, en tout cas était du bois dont on fait les radeaux diluviens. Le très digne Vincent Wackenheim, dos collé au mur des siècles, a donc élaboré une réponse, que voici. Panique à bord, donc, ce matin où Noé, qui a pourtant purgé la «zoopole» de tout un fourniment de bizarreries à pattes, à poil ou à cornes, se retrouve avec une paire de dinos bien calés au fond de l'Arche. Soucieux d'ordre à bord, il mande le tout-Arche qui décide de faire avec; une règle de «savoir-survivre» est par ailleurs édictée qui veut qu'on ne se mange pas entre membres, que si, eh bien on est mis à l'eau, les victimes d'amputation génitale seront extradées (pour les inutiles, il n'y a que la baille qui aille) ; la direction s'engage par ailleurs à nourrir les embarqués. Mais point sournoisement dans l'encéphale pourtant ténu des dignes animaux l'idée que les dinos ne sont sans doute pas si bêtes que ça, donc mangeables à souhait. Par ailleurs, ils pèsent, et lourd, et dans un milieu où la fornication a été réduite à rien pour cause d'espace restreint. Mais foin du décret, crie la faune, et bête à deux dos de se multiplier. Peu à peu, la croisière abuse : désordre s'installe et Noé se voit menacé. Il était temps que la très cornarde madame Noé prenne les choses en main et fasse disparaître les bêtes écailleuses dont la volatilisation génère illico trouble et révolte parmi la gent (plus très gente) animale : dégâts, déprédations. Arche alors de sombrer et Noé de périr. Reste Dieu (comme toujours) dont les jours sont comptés. Je ne sais pas si Constance va apprécier. Ci-joint, donc, la Genèse version Wackenheim, associative et entropique. Et... en avant, Arche.