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Tout là-bas: roman

Résumé
Au large du Labrador se trouve Harrington Harbour, une petite île où une poignées de maisons s'accroche aux rocs et résiste aux tempêtes. On y vit de la pêche , difficilement et pauvrement. De cette petite communauté, de ses drames, de ses espoirs, la romancière nous offre ici la chronique chaleureuse et vraie. Lucy, la postière, qui vit avec son frère jumeau handicapé mental ; Jim Sheltus, le pêcheur, qui se reproche amèrement de peiner à nourrir Clara, sa femme, et leurs sept enfants; Manny dont le compagnon a disparu en mer peu après leur mariage; le vieux Wilbrod, remarié mais qui pleure toujours sa première femme... Autant de personnages qui sont les témoins, au fil de ces pages tour à tour dramatique, souriantes et poétiques, d'une humanité hors du temps-c'est-à-dire, peut-être, éternelle.
Durée: 3h. 58min.
Édition: Paris, Librairie générale française, 2005
Numéro du livre: 13955
ISBN: 9782253113447
Collection(s): Le livre de poche

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Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
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Résumé:A Paris, une ruelle isolée qui pourrait bien être l'abrégé d'un monde. Des « étrangers » vivent là : Stavro le Grec, éveilleur de mythes somptueux ou tragiques, grand conteur d'histoires qu'il cherche derrière sa barbe ; l'Allemand Gambrinus qu'on appelle « le descendant de l'inventeur de la bière » et qui masque sa douleur intérieure par l'observation de menus faits ; Vicente, l'Espagnol, à jamais marqué par la guerre civile ; la blonde et fraîche Ollie et son fils Allem auquel elle a inventé une nationalité ; Crémonési, le luthier, qui rêve au Grand OEuvre ; Straul, bonapartiste passionné d'héraldique ; enfin, Véronka de Wy, jeune comtesse hongroise qui, dans un décor luxueux, cherche l'amour absolu. A la suite d'événements, de drames, chacun recompose son existence, des liens se nouent entre ces « déracinés ». Et le figuier ? Cet arbre famélique tente lui aussi de survivre dans une terre et un climat qui lui sont étrangers. La Mort du figuier marquera-t-elle la fin de ce monde ? L'amour de la vie, l'amitié des hommes peuvent encore tout sauver. Des légendes, des contes, un paganisme joyeux, une vive sensualité accompagnent chaque aventure. Parmi les évocations des patries perdues, fêtes et tragédies se succèdent dans un relief saisissant. Par-delà l'histoire, le « roman », c'est le livre déchirant de « l'homme seul » qui vient d'être écrit, inexorable, mais traversé par ce charme étrange qui fait le prix des livres de Robert Sabatier.
Lu par : Suzanne Bettens
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Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
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Résumé:Elles sont deux. Fanny et Marion. L'une est la mère, l'autre la fille. Elles vivent ensemble dans ce Paris de l'après-guerre, plein de promesses et de blessures encore ouvertes. Fanny est une mère célibataire, Marion une petite fille aimante. Tout pourrait être normal mais une ombre rôde, une dissonance s'installe qui fausse leur relation. La petite fille est alertée, par instinct : la voix de sa mère un ton trop haut, ses emportements inexplicables, ses silences terribles, où plus rien ne semble la rattacher au réel. L'enfant sent le monde vaciller. Elle ne comprend pas pourquoi sa mère n'est pas comme celles de ses amies d'école, différente, si fragile, si fantasque. Si oublieuse lorsque Marion lui pose des questions sur son père qu'elle ne connaît pas, cet Allemand dont on sait bien peu de choses.
Lu par : Lisette Vogel
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Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
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Résumé:« C'est pour rester proche de mes filles que je me suis installé à trois rues de leur mère, trois semaines tout juste après l'avoir quittée pour une autre. Pourtant, j'ai toujours été contre la rupture de proximité. Plutôt du genre à penser que lorsqu'un couple se viande et enterre son histoire, il convient de séparer les tombes, ne pas faire cimetière commun. Je m'étais même toujours dit que, si un jour ça nous arrivait à Alice et moi, eh bien que j'irais me refaire à l'opposé, question de principes et de territoire. Bien sûr, j'ai fait l'inverse. Et j'ai cherché la bonne distance, pour installer un nouveau chez-moi. La bonne distance, c'était la croisée des chemins entre vie d'avant et vie à venir, entre deux saisons, l'été et l'hiver. C'était simple en théorie, jeté comme ça sur le papier. La bonne distance, c'était une sorte de Yalta, un partage sinon du monde, du moins d'un arrondissement, d'un quartier, d'une rue, sans casque bleu pour maintenir la paix, mais un processus, un accord tacite comme entre deux pays belligérants, entre deux bandes rivales au lycée. Avec Alice, on s'était mis d'accord dans l'intérêt des enfants. »