Recherche par mot-clé: Philosophie
347 résultats. Page 17 sur 18.
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 4h. 53min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 16269
Résumé:Paru en novembre 1649 à Paris et Amsterdam, rédigé directement en français comme le Discours de la méthode (1637), Les Passions de l'âme est le dernier grand ouvrage de René Descartes (1596-1650), installé depuis peu à Stockholm, et le dernier texte publié de son vivant. Il s'agit d'abord, comme le titre l'indique, d'un traité des passions, complément inévitable de la physiologie cartésienne. Il peut encore être lu comme un traité de morale, point d'aboutissement d'une oeuvre qui jusqu'alors n'avait proposé - dans le Discours - qu'une éthique " par provision ". Enfin il apparaît comme un effort pour résoudre les apories du dualisme entre le corps et l'esprit, dualisme que l'auteur des Méditations métaphysiques (1641) et des Principes de la philosophie (1644) impose comme problème à toute la philosophie ultérieure...
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 36min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 16150
Résumé:C'est aux croyances sur l'au-delà qu'il s'attaque ici, en se livrant à une véritable Consolation parodique. Afin de ridiculiser et de mettre à bas les préjugés, les mythes et les pratiques funèbres, Lucien renverse les lois du genre en adoptant le point de vue d'un jeune défunt censé consoler son père. Le mort, paradoxalement, parle et se moque des lamentations des vivants. Pour démontrer que leur attitude est stérile, ridicule, que son sort est enviable, et qu'ils feraient mieux de se réjouir de son décès plutôt que de le déplorer, il mobilise et détourne avec ironie les lieux communs de la littérature consolatoire, ceux mêmes que l'on rencontre au fil des Consolations de Boèce, de Plutarque et de Sénèque, traduites également dans cette collection. Dans ce petit traité plein d'humour, Lucien se livre à une critique acerbe des funérailles...
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 1h. 41min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 15950
Résumé:Quatrième de couverture : «La continuité de l'emportement et l'habitude de souvent se choquer déterminent dans l'âme la situation mauvaise qu'on appelle colère, et qui dégénère en débordement de bile, en amertume, en aigreur intraitable. C'est alors que l'âme ulcérée s'irrite des plus petites choses, et cherche querelle à propos des premiers griefs venus. On dirait un fer mince et sans force, qui cède à la plus légère déchirure. Mais si dès l'origine, le jugement lutte contre la colère et la dompte, non seulement il remédiera au mal présent, mais il rendra l'âme désormais vigoureuse, et cette passion ne l'attaquera plus que difficilement...
Essai sur le goût dans les choses de la nature et de l'art
Montesquieu, Charles-Louis de Secondat de
Lu par : Danielle Schwartz
Durée : 43min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 11698
Résumé:Quand d'Alembert propose à Montesquieu de rédiger pour l'Encyclopédie les articles « Démocratie » et « Despotisme », celui-ci juge ces thèmes trop proches de ceux qu'il a traités dans son Esprit des Lois. Un article sur le goût, en revanche, l'intéresserait. L'Essai est donc inséré en 1757 à la suite de l'article de Voltaire sur ce même sujet, après la mort de son auteur. Véritable traité du plaisir, le texte montre combien Montesquieu, pétri de culture classique, est un précurseur des Lumières. Échanges, contacts, transports sont les conditions nécessaires à tout enrichissement, tout se bonifie en se communiquant. Mais les contradictions demeurent : prônant l'ordre, Montesquieu affirme la nécessité de la variété, insiste sur l'importance de la symétrie en vantant la richesse des contrastes...
Lu par : Liliane Pierré
Durée : 5h. 29min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 10899
Résumé:Vivre et mourir en paix : rien de plus facile en apparence. Et pourtant... L'enseignement du dalaï-lama paraît aisé, mais son application exige discipline et persévérance. Elle demeure néanmoins à la portée de chacun, sans la moindre obligation de conversion religieuse ou de longues études philosophiques. Apprendre à être à l'écoute, se soucier d'autrui autant que de soi-même sont les premiers pas vers un bonheur assuré. Ce livre franc et courageux est le fruit d'un demi-siècle d'études, de prières et de méditations sur les grandes questions de la vie et de la mort.
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 6h. 1min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 13025
Résumé:Kierkegaard s'intéresse à l'individu, libre et responsable, maître de son destin. Il montre notamment comment un désespoir conscient et intelligent peut mener à la réalisation de nos aspirations. Ce désespoir, s'alliant à la foi en Dieu, s'oppose au fatalisme et au déterminisme. Il est alors foi dans le possible, lutte pour la vie, dans la mesure du sentiment tragique de la finitude. La pensée de la mort doit nous pousser à vivre !
Lu par : Marina Froidevaux
Durée : 47min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 15021
Résumé:" Parlons donc du monde d'où l'homme a disparu. Il s'agit de disparition, et non pas d'épuisement, d'extinction ou d'extermination. L'épuisement des ressources, l'extinction des espèces, ce sont là des processus physiques ou des phénomènes naturels. Et là est toute la différence, c'est que l'espèce humaine est sans doute la seule à avoir inventé un mode spécifique de disparition, qui n'a rien à voir avec la loi de la nature. Peut-être même un art de la disparition. " J. B.
Le fondement de la morale: mémoire non couronné par la société royale des sciences de Danemark à Copenhague le 30 janvier 1840
Schopenhauer, Arthur
Lu par : Jean Frey
Durée : 9h. 8min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 14661
Résumé:Essai d'Arthur Schopenhauer, Le fondement de la morale en allemand Über die Grundlage der Moral, a été publié en 1840, en réponse à la question d'une société savante. Schopenhauer y critique l'approche kantienne des Fondements de la métaphysique des moeurs et insiste sur une racine naturelle du comportement moral humain : la pitié, que l'on appelerait aujour'hui empathie. Il s'inscrit ainsi dans la continuité du Rousseau du Discours sur l'origine et les fondements de l'inégalité parmi les hommes.
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 8h.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 14489
Résumé:Présentation de l'éditeur : « Le point de départ de ce livre est une conférence dans laquelle j'ai présenté à un large public les points essentiels de mon livre, Apprendre à vivre. On y trouvera une réflexion sur ce qu'est la philosophie, sur ce qu'elle peut nous apporter en termes de sagesse pratique, sur les temps forts qui ont marqué son histoire. J'y développe l'idée selon laquelle les grandes philosophies sont, pour l'essentiel, des doctrines du salut sans Dieu, des tentatives de nous sauver des peurs qui nous empêchent de parvenir à une vie bonne, sans l'aide de la foi ni le recours à un Être suprême...» L. F.
Lu par : Jean Frey
Durée : 12h. 17min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 14405
Résumé:Nietzsche, enquêtant sur l'origine des valeurs fondatrices de la morale chrétienne, paraît emprunter sa méthode à Sherlock Holmes. À qui profite le crime ? Comment la modération, l'humilité, l'abnégation ont pu être élevées au rang de vertus cardinales ? Quel type d'homme peut avoir intérêt à valoriser la capacité de se retenir au point de prétendre qu'il faut plus de force pour ne rien faire que pour agir ? Qui peut vouloir dégrader la vie au point de condamner ceux qui sont assez puissants pour en assumer les contradictions et pour en jouir sans compter ? Des hommes, sans doute, de constitution fragile, incapables de supporter de trop vives sensations... La morale chrétienne serait donc un crime contre la vie. Elle trouverait son origine dans le ressentiment des faibles envers les forts, dans la volonté de vengeance du troupeau qui ne peut s'élever qu'en rabaissant ceux qui le dépassent... (Amazon.fr)
Lu par : Alain Maillard
Durée : 4h. 7min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 14553
Résumé:Présentation de l'éditeur : La construction de soi rassemble une série de lettres qui dessinent un usage de la philosophie envisagée comme un mode de vie, une thérapeutique de l'âme. Ici, les philosophes sont interpellés et mis à l'épreuve. Tour à tour, le lecteur côtoie Boèce, Epicure, Schopenhauer, Spinoza ou Etty Hillesum. Ces guides présentent des voies pour se dégager du passé, des regrets ou de la haine de soi. Ils invitent à se libérer du regard d'autrui et ouvrent au risque de l'acceptation. Alexandre Jollien propose un dialogue intérieur qui prend la forme d'une correspondance adressée à Dame Philosophie, cette figure allégorique dont Boèce imagina recevoir la visite alors qu'il attendait dans sa prison d'être exécuté. Dans cet itinéraire, l'auteur esquisse le portrait de Dame Frayeur et de la Mort, avec lesquelles il faut bâtir une vie. Ces lettre entendent dépeindre un état d'esprit qui tente de répondre à l'invite de Spinoza : " Bien faire et se tenir en joie ".
Lu par : Jacques Zurlinden
Durée : 7h. 28min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 14449
Résumé:Présentation de l'éditeur : L'Europe n'a plus conscience d'être une civilisation. Au nom de ses crimes anciens, elle a renié le meilleur d'elle-même. Mais en ce début de XXIe siècle, elle n'a plus rien à renier parce qu'elle a tout oublié. Appauvrie et démunie, elle veut être bien avec tous ses voisins, proches et lointains. Elle veut surtout faire le Bien : nos artistes, nos politiques, nos médias, et jusqu'à notre langage, sont maniaques de la vertu. Hélas, c'est la vertu des faibles. Notre Bien est peureux, négatif, superficiel, et surtout il est vide. Et si, au lieu de vouloir être bons, nous essayions d'être nous-mêmes ? Et si, face aux grandeurs des autres civilisations, nous songions à notre grandeur propre, qui n'est pas de chercher la perfection, mais de nous vouloir perfectibles, et de chercher le bien sans jamais quitter des yeux la beauté ni la vérité ?
Lu par : Jean Frey
Durée : 3h. 59min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 14018
Résumé:Le Neveu de Rameau, dialogue satirique écrit en 1762, revu en 1773 et enfin corrigé en 1778 et 1782, met en scène dans un décor parisien (Palais-Royal, café de la Régence) un dialogue entre le Philosophe (Diderot) et Jean-François Rameau (neveu du compositeur) qui apparaît sous les traits d'un bohème cynique et sans talents. La publication du Neveu de Rameau a fait l'objet de multiples rebondissements : à la mort de Diderot, Mme de Vandeul envoit à Catherine II des manuscrits, parmi lesquels Le Neveu de Rameau qui sera récupéré par Schiller. Celui-ci, persuadé de la valeur du texte, le confie à Goethe qui le traduit en 1805. La première édition française sera en réalité une traduction du texte allemand, complétée et corrigée à partir des autres manuscrits retrouvés au fil du temps. En 1891, la découverte sur les quais par Georges Monval, un érudit, du seul manuscrit autographe, achèvera la rocambolesque histoire de la publication du Neveu de Rameau. Les anecdotes, les événements mentionnés dans ce récit ne suivent pas une chronologie linéaire : les faits sont volontairement brouillés et semblent plutôt resurgir de la mémoire de l'auteur.
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 10h. 59min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 14003
Résumé:L'objet du Gorgias, un des plus importants dialogues de Platon, est la rhétorique, conçue non point seulement comme art de bien parler, mais dans sa signification morale et politique, comme technique de langage et outil de conquête du pouvoir. Platon vise - très durement - la rhétorique sophistique qui ne conduit, à ses yeux, qu'à un pur immoralisme. Le dessein de Platon est donc de souligner l'infériorité de la rhétorique par rapport à la philosophie, en particulier du point de vue moral. Quatre personnages soutiennent la discussion: Gorgias, un des sophistes les plus célèbres de tout le monde hellénique Polos, élève de Gorgias, Calliclès, sophiste imaginaire et personnage fictif inventé par Platon, immoralisme hardi et, enfin, Socrate.
Lu par : Marianne Pernet
Durée : 1h. 52min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 14707
Résumé:Passionnant et riche dialogue entre deux penseurs de notre temps dont le trait commun est l'interdisciplinarité : sociologie, psychiatrie et psychanalyse. Morin et Cyrulnik constatent l'un et l'autre l'indissociabilité du cerveau et de l'esprit, l'interdépendance du culturel et du psychologique, du cérébral et du biologique. À la fragmentation du discours compartimenté, techno-scientifique, ils opposent le discours du rassemblement, de la connexion, de la communication et de l'empathie.
Lu par : Jacques Zurlinden
Durée : 2h. 3min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 14173
Résumé:Grande figure du stoïcisme avec Sénèque et Marc Aurèle, Épictète prône la liberté, ce pouvoir absolu de l'homme en toute situation, cette faculté de penser et d'agir par soi-même en toute circonstance. Héritier des philosophes de l'école cynique qui acceptent l'horreur du réel, il revendique une indépendance intellectuelle totale et dédaigne les conventions sociales en faveur de la nature. Une philosophie aussi exigeante que bienveillante pour développer un véritable art de vivre.
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 14h. 13min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 14248
Résumé:L'oeuvre majeure de Spinoza présente, "à la façon géométrique" (more geometrico) le système spinoziste. Un ouvrage classique qui, s'il constitue une bonne introduction à la philosophie classique, n'en reste pas moins un livre difficile à plusieurs niveaux de lecture. On regrette d'ailleurs que cette édition n'ajoute aucune note ni introduction à l'oeuvre originale. Elle propose néanmoins deux biographies du philosophe hollandais.
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 11h. 6min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 13889
Résumé:Présentation de l'éditeur : L'Éthique à Nicomaque n'est pas seulement l'une des oeuvres les plus célèbres d'Aristote, l'une de celles qui témoignent le mieux aujourd'hui de sa philosophie. C'est aussi, plus généralement, un des grands textes de l'histoire de la pensée. Quelle est l'activité qui, en dernière instance, donne sens à la vie humaine ? Telle est l'interrogation qu'Aristote commence par soulever, sachant que l'être humain est un être rationnel, susceptible d'élaborer de multiples projets. On ne peut lire - ou relire - l'Éthique à Nicomaque sans éprouver combien la réponse à cette question entraîne le philosophe à la découverte de l'homme lui-même, en qui, selon Aristote, s'unissent mystérieusement la bête et le dieu...
Lu par : Paul-André Rousseil
Durée : 52min.
Genre littéraire : Contes et légendes
Numéro du livre : 13915
Résumé:En plein 18e siècle, deux hauts personnages, M. Micromégas de la planète Sirius accompagné d'un citoyen de Saturne, nous font l'honneur de traverser la voûte céleste pour un petit séjour culturel sur notre globe. Que trouvent-ils en arrivant? D'abord rien; puis une baleine; enfin, en y regardant à la loupe et avec beaucoup d'attention, quelque chose comme un léger grouillement d'où monte la rumeur d'une grande bêtise. S'agirait-il du genre humain en action?
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 5h. 1min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 14143
Résumé:" Les anciens avaient l'habitude de comparer à l'or tout ce qu'ils jugeaient sans défauts et beau par excellence: ainsi, par " l'Âge d'or " ils entendaient l'âge des vertus et du bonheur; et par les " Vers dorés ", les vers où la doctrine la plus pure était renfermée. Ils attribuaient constamment ces Vers à Pythagore, non qu'ils crussent que ce philosophe les eût composés lui-même, mais parce qu'ils savaient que celui de ses disciples dont ils étaient l'ouvrage, y avait exposé l'exacte doctrine de son maître, et les avait tous fondés sur des maximes sorties de sa bouche. Ce disciple, recommandable par ses lumières, et surtout par son attachement aux préceptes de Pythagore, se nommait Lysis.