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Recherche par mot-clé: Emigrés

5 résultats.

Lu par:Madiana Roy
Durée:2h. 54min.
Genre littéraire:Roman historique/biographique
Numéro du livre:74819
Résumé: Un fils apprend au téléphone le décès de son père. Ils s'étaient éloignés : un malentendu, des drames puis des non-dits, et la distance désormais infranchissable. Maintenant que l'absence a remplacé le silence, le fils revient à Trappes, le quartier de son enfance, pour veiller avec ses soeurs la dépouille du défunt et trier ses affaires. Tandis qu'il débarrasse l'appartement, il découvre une enveloppe épaisse contenant quantité de cassettes audio, chacune datée et portant un nom de lieu. Il en écoute une et entend la voix de son père qui s'adresse à son propre père resté au Maroc....s
Durée:5h. 28min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:72510
Résumé: "Chaque matin, je me laisse ainsi aller à un moment de dépression où je suis néanmoins en communion avec Mahdi. Mon tout-petit, où peux-tu être ? As-tu péri dans cette mer Méditerranée de malheur?" Sur la route migratoire qu'ils se sont résignés à prendre pour sauver leurs enfants des mariages forcés et des voleurs d'organes, Sultan et Choukrieh égarent leur fils Mahdi, neuf ans. Ressuscité est le récit romancé de cette histoire vraie, du drame de cette famille qui se retrouve soudain amputée de l'un des siens, aux portes de l'Europe. De sa jeunesse afghane à son installation en tant que requérant d'asile en Allemagne, la mère de l'enfant raconte un périple déchirant et pourtant tristement commun.
Durée:5h. 43min.
Genre littéraire:Roman historique/biographique
Numéro du livre:72126
Résumé: À cinquante ans, j’ai décidé d’écrire une lettre à cet odieux personnage. Pour mieux comprendre et peut-être me libérer de cette dette. Je croyais en avoir pour quelques soirs, mais ça m’a pris des mois. Car ce n’est pas tous les jours qu’on écrit à… Nicolae Ceauçescu, tyran de la Roumanie pendant vingt-deux ans. Dans Lettre à mon dictateur, Eugène raconte avec sincérité et humour son parcours de migrant, puis d’écrivain. Il découvre que chez un dictateur, la « chambre des vérités embarrassantes » est vide, puisque celui-ci ose tout et se donne tous les droits.
Durée:2h. 4min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:70440
Résumé: Il fait très chaud à New York cet été 1947. Noah a seize ans, il arrive de Pologne, il est le seul survivant des quatre mille juifs de la ville de Kralov, près de Cracovie, il vit chez sa tante, à Brooklyn, il cherche un professeur d'anglais. C'est Davita Dinn qui lui répond. Elle est à peine plus âgée que lui. Ils se mettent d'accord pour deux cours à cinq dollars par semaine. Il boite un peu, il transpire en écrivant, il tremble, il a du mal à prononcer les mots anglais, il dit d'un air triste "Tellement à apprendre." Il a l'air perdu et découragé. Pourtant, Noah a fait quelque chose d'extraordinaire dans sa vie. Il n'est pas encore prêt à en parler, même s'il en éprouve le besoin. Il peut seulement dessiner pour Rachel, cinq ans, la petite soeur de Davita. Sa maison d'abord. Puis les alentours, un pont, une rivière, une synagogue, une église. Tout le monde est admiratif de son coup de crayon. Alors Noah prend confiance en lui. Ses souvenirs sont encore plus beaux, encore plus précis, encore plus riches que ses dessins. Bientôt, il sera capable de les raconter de sa voix douce.
Durée:4h. 29min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:69844
Résumé: Dans un petit pays à l'intérieur des terres sardes, le Campidanese, rendu à la monoculture d'artichaut et aux mauvaises herbes, la vie des habitants se déroule sans trop de secousses, à l'abri des murs gris ciment des maisons rénovées. Un pays « perdu », sans plus aucune vocation, comme échoué, oublié du monde qui l'entoure. Jusqu'à ce qu'arrivent « les envahisseurs » : une poignée de migrants venus de loin et de volontaires qui les accompagnent, censés s'installer dans le Rudere, une maison abandonnée ouverte à tous les vents. Tout le monde est déconcerté, paysans et envahisseurs : « Ce n'est pas le bon endroit », répète-t-on dans les deux camps - l'un s'effraie d'une telle nouveauté tombée du ciel, l'autre se sent catapulté dans ce « coin perdu » où les trains ne s'arrêtent plus. Mais la vie, même quand elle semble glisser dans l'absurde, est toujours ouverte à l'avenir, dans un éternel « faire, défaire et refaire »