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Recherche par mot-clé: ESSAI

1795 résultats. Page 89 sur 90.

Lu par : Delphine Horst
Durée : 1h. 40min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 13874
Résumé:Publiée en 1953 aux Éditions de Minuit, La Fausse Parole ne donne à découvrir qu'une partie de son oeuvre, celle consacrée aux investigations radiophoniques. Cette réédition s'enrichit de deux textes ayant trait au travail de l'écoute, et de quelques bulletins ronéotypés, tels qu'il les distribuait à ses abonnés (parmi lesquels figurait l'Élysée). La Fausse Parole peut être tenue pour la lecture théorique et critique que Robin formule après dix ans de pratique sur son propre travail, qui visait à obtenir des renseignements inédits et à tenter de prévoir l'événement (par exemple la dénonciation du culte de la personnalité après la mort de Staline en 1953 et la tension des relations sino-soviétiques).
Durée : 1h. 43min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 13849
Résumé:L'érudit et archéologue allemand Winckelmann, célèbre apôtre du néoclassicisme, fut poignardé à Trieste, le 8 juin 1768, dans son hôtel, alors qu'il se rendait de Vienne à Rome. Il avait eu l'imprudence de montrer à son voisin de chambre des monnaies d'or et d'argent que lui avait offertes l'impératrice Marie-Thérèse. Convaincu d'homicide par cupidité, l'assasin fut condamné à mort. La postérité entérina cette interprétation du crime. Dominique Fernandez a rouvert le dossier du procès : bien des détails lui ont semblé étranges. Et si un autre mobile avait poussé le meurtrier? Et si Winckelmann, derrière son personnage officiel de savant, cachait une personnalité autre, ambiguë et mystérieuse?
Lu par : Nelly Reymond
Durée : 2h. 7min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 13140
Résumé:L'obsession de Flaubert, les virulences de Rimbaud, de Léon Bloy, de Dada dénonçant la bêtise bourgeoise font partie de l'histoire littéraire et de celle des mentalités? Mais la connerie ? Le sujet reste bizarrement sous-exploité. Par une sorte de fausse pudeur, on le cantonne dans les départements périphériques et bas de l'esprit. Réfléchir sur la connerie, peut-être, mais à condition de mettre des gants et de s'essuyer les pieds en sortant. Pourtant la connerie est un sujet profond, multiforme et universel, indissociable de la condition tragique et dérisoire de l'espèce humaine. Il ne relève qu'accessoirement de la plaisanterie et de la polémique, que ce petit essai, du reste, ne cherche pas à éviter. Il y a ce qu'il faut de rire et de mauvaise foi dans ces pages pour dérouter les tâcherons du discours en trois points. Car, à l'encontre de ce qui st généralement admis, l'auteur soutient que la Raison n'est pas l'ennemie jusrée de la connerie, qu'il existe entre elles une connivence, que la Raison est conne, au moins dans un certain usage grossier de ses pouvoirs. Contrairement à la bêtise, cette marche loupée de l'intelligence, la connerie déborde notre pouvoir de lucidité. Monsieur Teste pouvait prétendre : la bêtise n'est pas mon fort ; il n'aurait pas pu en dire autant de la connerie.
Lu par : Henri Duboule
Durée : 3h. 55min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 13541
Résumé:Mot de l'auteur : Comme chacun, bien sûr, j'ai horreur des travaux forcés. Mais il en est de sournois et l'on vous y condamne à votre insu. Le pauvre quidam, insensiblement, sans en avoir l'entière conscience, finit par s'adonner aux joies de la culture égalitaire. En fait, il ne s'agit pas de la vraie culture, de la connaissance, du savoir appris patiemment à l'aune de ses désirs et de sa volonté d'élévation spirituelle. Il s'agit du gavage des oies. Comme dans un parcours du combattant, il faut lire tant de livres, voir tant d'expos et tant de films, assister à tant de débats culturels. On en sort vidé, déshydraté, car, bien sûr, ce que la pensée correcte, ce Moloch intellectuel, ordonne plus qu'elle ne conseille, est toujours ce qui est à la mode ou ennuyeux. Face à cela, j'adopte la méthode/résistance de Léautaud : je reste chez moi et je fais mes menus moi-même.
Lu par : Danielle Crot
Durée : 2h. 8min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 13236
Résumé:Dans Pourquoi sommes-nous en guerre, Norman Mailer dont il faut savoir qu'il fut sergent lors de la Seconde Guerre mondiale, ne se prive pas pour attaquer le gouvernement en place. Mais loin de se réduire à une charge pamphlétaire contre l'administration Bush et son prosélytisme guerrier teinté de puritanisme autoritaire, le texte (en réalité une allocution prononcée devant le Club du Commonwealth le 20 février 2003 à San Francisco) se veut surtout une auscultation fine et vigoureuse de la crise identitaire qui affecte les USA depuis de nombreuses années. Selon Mailer, la vraie explication de l'intervention irakienne prend sa source au moment des attentats du 11 Septembre, moment hyperbolique de la contestation de la toute-puissance américaine. Dès lors, la nécessité d'étouffer, à l'heure de la globalisation du monde, l'organisation terroriste Al-Qaida se convertit en l'urgence d'exporter une fois pour toutes le modèle démocratique américain pour répandre le Bien sur la planète et étendre l'Empire.
Lu par : Delphine Horst
Durée : 52min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 13585
Résumé:"J'ai toujours eu de si bons amis que je continue à penser un peu de bien de moi-même."
Lu par : Aline Viredaz
Durée : 6h. 52min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 13583
Résumé:"Je suis né à Jérusalem. Bien plus tard, j'ai lu dans des livres que, au temps du mandat britannique, c'était une ville très cosmopolite. Où l'on trouvait Gershom Sholem, Buber, Bergman et Agnon; moi, c'est à peine si je savais qu'ils existaient, sauf que parfois mon père disait "Regarde cet homme de réputation mondiale qui marche dans la rue." Je croyais qu'une réputation mondiale, c'était un peu comme des jambes malades car, souvent, celui dont il disait qu'il avait une "une réputation mondiale" était un vieillard qui marchait avec une canne, d'un pas hésitant et portait en été un costume très épais. "
Durée : 2h. 49min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 13552
Résumé:G. K. Chesterton, de son nom complet Gilbert Keith Chesterton (29 mai 1874 - 14 juin 1936) est l'un des plus importants écrivains anglais du début du XXe siècle. Son œuvre est extrêmement variée : il a été journaliste, poète, biographe, apologiste du christianisme. (Wikipédia)
Lu par : Udrea Vulcan
Durée : 4h. 25min.
Genre littéraire : Sciences/technologie
Numéro du livre : 13588
Résumé:Passionné de mer, Érik Orsenna a suivi le plus grand courant du monde, le Gulf Stream, qui conditionne la vie quotidienne sur les rives de l'Atlantique, du Mexique au Pôle Nord. Où naît le courant, où il se déploie en vastes bras, où il tourbillonne, où il se dissout : des Caraïbes aux Lofoten, cela donne un récit de voyage fort contrasté. Nous nous promenons donc. Mais nous nous instruisons. Nous apprenons comment se forme une vague, comment fonctionnent les marées, comment la salinité de la mer a modelé nos vies. L'auteur a rencontré les meilleurs scientifiques, à l'Institut du Pôle, à Ifre mer, aux États-Unis, où il a interrogé le « pape » des courants. Le ton, comme toujours chez Érik Orsenna, se veut léger et plaisant, mêlant excitation intellectuelle et humour.
Durée : 2h. 19min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 13557
Résumé:"Il n'y a plus de déserts. Il n'y a plus d'îles. Le besoin pourtant s'en fait sentir. Pour comprendre le monde, il faut parfois s'en détourner..."
Durée : 4h. 18min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 13696
Résumé:
Lu par : Jean Frey
Durée : 14h. 11min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 12468
Résumé:L'homme se tient sur une brèche, dans l'intervalle entre le passé révolu et l'avenir infigurable. Il ne peut s'y tenir que dans la mesure où il pense, brisant ainsi, par sa résistance aux forces du passé infini et du futur infini, le flux du temps indifférent. Chaque génération nouvelle, chaque homme nouveau doit redécouvrir laborieusement l'activité de pensée. Longtemps, pour ce faire, on put recourir à la tradition. Or nous vivons, à l'âge moderne, l'usure de la tradition, la crise de la culture. II ne s'agit pas de renouer le fil rompu de la tradition, ni d'inventer quelque succédané ultra-moderne, mais de savoir s'exercer à penser pour se mouvoir dans la brèche. Hannah Arendt, à travers ces essais d'interprétation critique - notamment de la tradition et des concepts modernes d'histoire, d'autorité et de liberté, des rapports entre vérité et politique, de la crise de l'éducation -, entend nous aider à savoir comment penser en notre siècle.
Durée : 9h. 44min.
Genre littéraire : Histoire/géographie
Numéro du livre : 12472
Résumé:De Médée, pensive, s'apprêtant à massacrer ses enfants, à Pline l'Ancien étouffé par son propre embonpoint sous les cendres de Pompéi, Quignard déambule d'un récit à l'autre pour alimenter sa méditation sur la mentalité romaine, tant dans sa conception de la sexualité qu'à travers des thèmes aussi variés que le pouvoir, le regard, l'interdit, la mélancolie, etc.
Durée : 3h. 15min.
Genre littéraire : Sciences/technologie
Numéro du livre : 12171
Résumé:SOS Terre ! C'est un véritable cri d'alarme que lance ici l'ancien président de l'Union soviétique. Mais c'est désormais en tant que président fondateur de Green Cross International qu'il s'adresse à l'opinion internationale. Au moment où s'achève le deuxième Sommet de la Terre de Johannesburg, Mikhaïl Gorbatchev en appelle à une véritable perestroïka des consciences, afin de sauver et protéger l'environnement dans un contexte de développement durable. Élevé dans le Caucase, le Prix Nobel de la Paix évoque son enfance pour expliquer l'origine de sa prise de conscience écologique. "Tchernobyl a fait de moi un autre homme", déclare-t-il dans un étonnant chapitre consacré à la catastrophe nucléaire d'avril 1986 telle qu'elle a été vécue de l'intérieur du pouvoir soviétique. Il revient également sur les raisons qui l'ont poussé à prendre la tête de l'ONG Green Cross International et sur ses plans d'action : faire adopter une Charte de la Terre par l'ONU ; atténuer les conséquences environnementales des conflits guerriers ; prévenir les conflits liés à l'eau ; encourager les nouveaux modes de consommation afin de préserver les ressources naturelles ; enfin, former à l'éducation environnementale. Tel est le credo de celui qui se définit comme "un incorrigible optimiste".
Lu par : Janick Quenet
Durée : 21h.
Genre littéraire : Roman historique/biographique
Numéro du livre : 12430
Résumé:Charmeur, coquin, roublard et fieffé menteur, Baudolino grandit dans la campagne du bas Piémont pendant que l'empereur Frédéric Barberousse y guerroie, quelque part entre Milan et Pavie. Après une rencontre dont le récit restera un joyau de la fantaisie d'Umberto Eco, Baudolino conquiert la curiosité et l'affection de l'Empereur au point d'en devenir le fils adoptif. Doué pour les langues, Baudolino progresse vite, à Paris d'abord où il a connu le double enseignement des maîtres et de la bamboche la plus insouciante, puis en Italie et en Allemagne où il chevauche, aux côtés de Frédéric dont il est l'homme de confiance et le fin conseiller. Mais toujours il rêve, affabule, et tout ce qu'il imagine finit par produire de l'Histoire. Poussé par Baudolino, l'Empereur participera à la troisième croisade, prétexte pour aller remettre au Prêtre Jean la plus précieuse des reliques de la chrétienté. Dès lors, l'histoire de Baudolino se déroulera en une succession de récits plus ardents les uns que les autres. Dans ce voyage au bout de l'Orient, Umberto Eco retrouve et rassemble les clés magiques du roman : histoire d'amour, aventures picaresques, fresque historique, roman policier, vengeances...
Lu par : Brigitte Cottens
Durée : 1h. 49min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 11171
Résumé:Petit essai où Pagnol nous démontre, par quelques exemples, que le rire est un phénomène très relatif (Le coup de pied aux fesses n'a pas fait rire le maire, encore moins le boucher qui l'a confondu avec Stromboli, son rival...)
Lu par : Claude Pahud
Durée : 3h. 36min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 9983
Résumé:Daniel Pennac raconte d'abord la détresse et le dégoût face à un livre d'un adolescent et les raisons que trouve sa famille pour se rassurer eux mêmes et excuser leur garçon. Puis il fait un retour en arrière dans la vie de l'enfant pour trouver les raisons de cette aversion présente. Il montre d'abord les parents enchantés de faire la lecture à leur enfant et celui-ci, avec un appétit insatiable de lire. Il nous décrit alors la fatigue des parents au bout d'un moment et l' « amour » de la répétition chez l'enfant. L'entrée à l'école est décrite tout d'abord comme un émerveillement pour le maternelle et comme un soulagement pour les parents qui délaisse la lecture du soir car après tout « il peut lire tout seul ». Et quand les parents reprennent la lecture à leur enfant ,ce n'est pas pour le faire dormir mais pour qu'il analyse et comprenne le texte. Daniel Pennac dresse alors un portrait péjoratif des parents qui passe de la lecture sans aucune contrepartie à la lecture de compréhension.
Durée : 5h. 22min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 9832
Résumé:Pendant des siècles, les rois, les prêtres, les seigneurs féodaux, les patrons de l'ère industrielle et les parents ont affirmé que l'obéissance est une vertu, et la désobéissance, un vice. En guise d'introduction à un point de vue différent, opposons à cette idée la proposition suivante: l'histoire de l'humanité a commencé par un acte de désobéissance, et il n'est pas improbable qu'elle se termine par un acte d'obéissance...
Durée : 8h. 40min.
Genre littéraire : Humour-satire
Numéro du livre : 9422
Résumé:Avez-vous déjà eu besoin de mettre un saumon fumé dans le mini-frigo de votre chambre d'hôtel ? Tenté d'installer un logiciel en lisant les trois volumes d'explications fournis par le fabricant. Renoncé à prendre un médicament anodin en raison des risques terribles que sa notice fait peser sur " certains sujets " ? Entrepris de chercher du sexe sur Internet ? Si vous répondez oui à l'une de ces questions, alors vous vous reconnaîtrez dans les pages de ce livre, qui relate, sur un mode hilarant et, hélas, vraisemblable, les aventures et mésaventures de l'homme d'aujourd'hui. En guise de bouquet final, vous découvrirez la Cacopédie : un hallucinant voyage dans le savoir scientifique moderne poussé vers la folle à force d'atomisation et de luxe théorique...
Durée : 3h. 48min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 9086
Résumé:Symbole de la vie, la mer se propose à l'homme comme un infini des possibles, un miroir où il pourra se voir et s'espérer. Tout vient de la mer et tout y retourne. Dans la plupart des grands mythes de la création, la mer est le premier élément existant, la matrice primordiale. L'homme y est né, il y reviendra pour une union éternelle. Une invitation à découvrir la mer et les symboles que les hommes y ont fait naître. Quatre thèmes sont abordés : la mer entre Dieu et l'homme, le monde des dieux et des déesses, le domaine des monstres et des superstitions, la peur et l'aventure.